L’informateur commence par évoquer la disparition du provençal et le fait que lorsqu’il était enfant tout le monde le parlait sauf en classe. Pour protéger la langue, il considère qu’il faudrait un enseignement et des professeurs. Il se souvient également des veillées, dont il garde de très bons souvenirs et spécialement celle de Noël. Il évoque un récit de Cuers sur le « gros souper ». Ensuite, il évoque les fêtes de la Sainte-Christine et Sainte-Madeleine, qu’il appréciait particulièrement. Il dit que bien qu’elles existent encore, l’ambiance n’est pas comparable.

Puis ce sont deux cercles qui sont évoqués : le cercle de la lune et le cercle de la fraternité. Le premier concerne les personnes âgées, qui y jouent à la quadrette. Enfin il parle des banquets et charivaris, auxquels le témoin ne participait pas car il dit aimer la paix et la tranquillité. Dans les dernières minutes le témoin s’exprime en provençal, semble-t-il au sujet de bateaux à voile.