Document d'archives : 1. Avis anonyme de Rome annonçant les difficultés de la sécularisation du chapitre de la cathédrale d'Uzès, dont les membres sont...

Titre :

1. Avis anonyme de Rome annonçant les difficultés de la sécularisation du chapitre de la cathédrale d'Uzès, dont les membres sont chanoines réguliers de Saint-Augustin. L'ordre du Roi ne peut suffire, car le chapitre n'a pas été sécularisé par l'autorité apostolique. Le procureur général de l'ordre, à qui l'affaire sera remise ici en premier lieu, ne consentira point, si ce n'est par ordre exprès de ses supérieurs de France. Il faut que ce soit le chapitre même, l'évêque et le Roi qui fassent les instances de la sécularisation (21 août 1671). — 2. Lettre du P. Asseline. de Rome, à un R. P. non nommé de l'église d'Uzès. Il prie le destinataire d'envoyer bientôt son opposition à un acte des six, opposition signée des treize (3 novembre 1671). — 3. Lettre du P. Maillot, prévôt d'Uzès au P. Asseline, à Rome. Nouvelles de l'évêque d'Uzès, qu'il a laissé à la suite de la Cour, poursuivant un brevet de sécularisation. Le Roi a ordonné, en sa présence, à Louvois, de faire le nécessaire pour la sécularisation jusqu'à l'arrivée de Pomponne. Trois chanoines anciens, avec trois « de nos vieux discoles », ont passé en cachette une procuration, dans le palais épiscopal d'Uzès, pour demander au Saint-Père la sécularisation (6 octobre 1671). — 4. Lettre du P. Asseline. Le Père Général lui a envoyé un mémoire dont Asseline a donné copie au cardinal d'Estrées qui a promis d'en écrire en Cour au sujet des difficultés très grandes qu'il reconnaît lui-même pour la sécularisation (27 décembre 1672). — 5. Avis anonyme s. l. n. d. Le Père Général a jugé que de quatre voies que l'on pouvait prendre [contre la sécularisation], il n'y en a qu'une de sûre : appeler de l'ordonnance de l'évêque au métropolitain. — 6. Extrait du procès-verbal de la séance des États de Languedoc du 22 février 1673, tenue sous la présidence du cardinal de Bonzi. L'évêque d'Uzès demande, en faveur de la sécularisation, la recommandation des États, qui prient Bonzi d'écrire au cardinal patron en faveur de l'évêque d'Uzès et de son clergé. — 7. Lettre du P. Maillot au P. Asseline. Au moment où l'on pensait la sécularisation avortée, l'évêque d'Uzès a envoyé à Rome un député, le prieur de Saint-Pons-[La-Calm], homme dissimulé qui a déjà fait un voyage en Italie et sait l'italien. C'est une créature de l'évêque (25 novembre 1673). — 8. Réponse d'Asseline. Chez l'ambassadeur, le cardinal d'Estrées l'a entretenu de la sécularisation. Les surprises que Maillot appréhende, surtout à la fin d'un pontificat, n'arrivent point dans des affaires contestées et commises à des congrégations (Rome, 27 décembre 1673). — 9. Lettre d'Asseline à un Père, contenant copie du mémorial présenté, au nom de l'évêque d'Uzès, au cardinal Altieri, pour la sécularisation de son chapitre (7 février). — 10. Lettre d'Asseline au sujet du mémorial (7 février). — 11. Lettre du même, annonçant l'établissement d'une congrégation particulière pour connaître de la sécularisation. Elle est composée de 7 cardinaux et de 7 prélats. L'affaire n'ira donc, ni à la congrégation des Réguliers, comme le Pape l'avait promis, ni à la congrégation consistoriale ou naturellement elle devait aller (21 février). 12. Lettre non signée, à Maillot. Les supérieurs jugent sa présence nécessaire à Rome (Paris, 27 février). — 13. Lettre d'Asseline. Il envoie l'enquête faite par l'évêque d'Uzès contre son chapitre et demande des instructions sur cette enquête pour s'opposer à la sécularisation (28 février). 14. Copie de lettres de Maillot à Asseline sur la sécularisation (Uzès. 17 et 25 mars 1674). 15. Réfutation [adressée par Maillot à Asseline] du mémorial présenté au nom de l'évêque au cardinal Altieri (Uzès 27 février 1674). — 16-18. Lettres d'Asseline. L'ambassadeur demande une surséance pour instruire la sécularisation 7 mars 1674 : l'affaire ne peut être jugée avant un an (27 mars) ; le P. Ferrier, regardé à Rome comme l'auteur des démarches pour la sécularisation, n'y pas, là-dessus, grand crédit (11 avril 1674). — 19. Lettre du P. Morin à Maillot, prévôt de la cathédrale d'Uzès. L'évêque de Pamiers servira en tout ce qu'il pourra, le chapitre d'Uzès, pour en empêcher la sécularisation (Foix. 25 avril 1674). — 20. Lettre de Maillot à Asseline. Il lui exprime sa douleur d'apprendre son rappel de Rome, et souhaite de conférer avec lui (Uzès, 29 avril). — 21. Lettre d'Asseline. Les supérieurs ne veulent pas qu'il paraisse agir à Rome contre la sécularisation. On doit envoyer quelqu'un pour le faire à sa place. On ne risque pas de voir achever de sitôt cette affaire (2 mars 1674). — 22. Lettre de Jean Malgoires à Maillot. Il a appris, par un courrier extraordinaire, la mort d'Asseline, nouvelle qui l'a extrêmement abattu. Le P. Boucher prend sa place. Le procureur de l'évêque d'Uzès retourne en France (Rome, 19 septembre 1674). 23. Lettre du P. Beurrier au P. de Cambronne, prieur de Saint Nicolas de Campagnac [Depuis 1634, le chapitre d'Uzès avait embrassé la réforme des chanoines réguliers de la congrégation de France, dite de Sainte-Geneviève, à laquelle appartenaient déjà les chanoines réguliers de Saint-Nicolas. Il en était résulté, entre le chapitre cathédral et le monastère, des relations intimes (Cf. Germer-Durand, Le prieuré de Saint-Nicolas de Campagnac, in Mémoires de l'Académie de Nîmes, année 1863)]. Il va travailler avec l'évêque d'Uzès à régler les contestations sur le maintien des religieux de la congrégation à l'Uzès Sainte-Geneviève. (22 mars 1678). — 24. Lettre du même au même. Il faut attendre, avant de s'alarmer que l'évêque d'Uzès se soit déclaré (Paris, 13 décembre 1678). — 25. Lettre du P. du Molinet à de Cambronne. Il est à craindre qu'après s'être séparé extérieurement de la congrégation et en avoir quitté l'habit, le chapitre d'Uzès n'en perde aussi l'esprit de communauté et de régularité. C'est un changement que tout l'ordre blâmera. Le prévôt se serait vanté d'avoir trouvé des papiers prouvant que la maison de Saint-Nicolas de Campagnac venait du chapitre d'Uzès, et qu'on pourrait bien en chasser les religieux, s'ils donnaient de l'appréhension (Paris, 30 mars 1679). — 26. Lettre de Bourrier à Cambronne. Il le prie de remettre une lettre en mains propres au P. de Veelu, qui entre dans la congrégation en quittant le chapitre d'Uzès (Paris, 16 juillet 1679). — 27. Lettre du P. Pommereau à Cambronne. Il quitterait plutôt son bénéfice que son habit [1679]. — 28. Lettre du P. Chaponnelle à Cambronne. Le P. de Veelu a écrit plusieurs lettres au Père Général pour demander à revenir dans la congrégation en permutant son canonicat d'Uzès. On l'accueillera très volontiers (28 décembre 1679). — 29. Lettre du P. Doufrère à Cambronne. En l'absence du P. Général, qui est en Flandre, les Assistants désirent faire savoir au P. de Veelu qu'on ne saurait répondre à rien de ce qu'il propose, sans avoir connaissance de l'acte qu'il a passé avec l'évêque d'Uzès touchant son canonicat Sainte-Geneviève, (10 mai 1680). — 30. Lettre du P. Bourrier à Cambronne, pour qu'il avise le P. de Veelu d'attendre, dans une maison de la congrégation, à Foix, Quarante ou Cassan, à son choix, l'ordre de résigner son canonicat d'Uzès. Il faut, en effet, que le visiteur le voie et l'apprécie (Paris, 8 avril [1680 ?]). — 31. Lettre du P. Morin à Cambronne, au sujet de la permutation du P. Pommereau et du refus d'approbation du P. Le Gros par l'évêque d'Uzès (Paris, 29 décembre 1687). — 32. Lettre de Pommereau à Cambronne, au sujet de sa permutation avec le P. Quay, prieur de Billy («St-V.», 9 février 1688). — 33. Lettre de Michel [Poncet de La Rivière], évêque d'Uzès, au P. Roux, prieur de Saint-Nicolas, au sujet des novices. L'évêque s'est réuni plusieurs fois avec ses chanoines, pour traiter d'accommodement, auquel ne voit présentement aucune apparence. Aussi consent-il que les quatre novices se retirent dans leur famille. Il le prie de témoigner à l'abbé de Sainte-Geneviève sa reconnaissance pour avoir souffert les novices à Saint-Nicolas, et pour les soins donnés à leur éducation (Uzès, 25 février 1704). — 34. Lettre du P. de Montenay, général, au P. Roux. Avant d'entreprendre de retirer des biens usurpés il faut s'assurer qu'on réussira. Le P. de Nantigny, qui demande à rentrer dans la congrégation sera reçu volontiers, mais il doit écrire lui- même (Paris, 19 novembre 1704). — 35. Copie en forme du catalogue des chanoines d'Uzès qu'a vus mourir le chanoine Despauses, syndic du chapitre, de 1580 à 1620. — 36. Articles concernant la sécularisation à faire du chapitre d'Uzès (1639). — 37 Obligation de 6.000 l. passée par Jacques Godinot, chanoine d'Uzès, prieur de Fontanès, prieur claustral de Saint-Nicolas. Les cautions de cet emprunt sont Guillaume Brunet chanoine et sacristain, et Augustin Senet, capiscol. La suscription de l'acte mentionne que la destination des fonds est le rétablissement de la conventualité (12 juillet 1651). — 38. Arrêté de comptes entre le procureur général de la congrégation et le chapitre d'Uzès. Celui-ci doit 10.450 l. 10 s., modérés à 8.850 l. Les 1.600 l.10 s. restants sont compensés avec une avance faite par le chapitre pour Saint-Nicolas (19 septembre 1655). — 39. Déclaration des deux chanoines syndics vieux et nouveau, au sujet d'un emprunt de 1.200 l. Il a été remboursé des deniers du P. Joseph Andrieu, chanoine régulier de la congrégation de France, prieur claustral de Saint-Nicolas de Campagnac (Uzès, 7 octobre 1655). — 40. Mémoire non signé ni daté contre la sécularisation [1659]. — 41-42. Copies en forme de la procuration envoyée à Borne par les chanoines d'Uzès pour s'opposer à l'homologation du brevet concernant la sécularisation du chapitre (28 janvier 1659). — 43-44. Actes latins d'opposition à la sécularisation du chapitre, faits en cour de Rome par plusieurs chanoines réformés. Copies en forme. Les opposants sont le capiscol Augustin Senet, l'aumônier Pierre Bonol ; Nicolas de Rouvren, prieur du Garn ; Jean de Veelu, infirmier : Pierre Maillot, prieur de Saint-Privat des Vieux : Louis Le Normand, prieur de Saint-Victor de Lacoste ; Raimond Bonnet, prieur de Valliguières, et Adrien Mamet, tous chanoines réguliers réformés de Saint-Augustin, ordre existant dans l'église d'Uzès depuis douze siècles ; agissant pour eux et pour Jacques Godinot, prieur de Fontanès ; Gabriel Antheaume, prieur de Saint-Paul, et Antoine Chaumet, prieur d'Auzon, ainsi que pour huit autres chanoines. L'évêque d'Uzès, le prévôt et plusieurs autres chanoines anciens de l'église d'Uzès ont, sous de faux prétextes, tenté d'extorquer au roi de France des lettres patentes pour la sécularisation, ainsi que les bulles nécessaires. Les mandants s'opposent à la sécularisation par l'organe de leur procureur Louis Asseline, ainsi qu'à toute infraction à l'accord intervenu entre l'évêque d'Uzès et le supérieur général de la congrégation de France. Le premier acte est passé à Rome par Antoine Jordan, notaire de la chambre apostolique, le 27 mai et la copie émane des notaires du Châtelet (Paris, 20 septembre 1659). Les dates du second acte sont les mêmes. La rédaction en est différente et il est reçu par le notaire de la chambre apostolique Malthiou Valinnon avec des témoins différents. — 45. Mémoire sur les persécutions exercées contre les chanoines réformés du chapitre d'Uzès (1660 ?) — 46. Requête (copie) du procureur général des chanoines réguliers de l'ordre de Saint-Augustin de la congrégation de France au Conseil privé, pour que la réforme soit maintenue dans le chapitre d'Uzès (1671 ?). — 47. Exposé des raisons pour la conservation de la régularité dans la cathédrale d'Uzès (1670 ?) — 48. Requête (copie) de l'évêque d'Uzès au Conseil privé pour que les concordats passés entre les évêques d'Uzès et les abbés généraux des chanoines réguliers de la congrégation de France, les 14 décembre 1638, 19 décembre 1643 et 25 octobre 1664 soient exécutés suivant leur forme et teneur et homologués où besoin sera, ainsi qu'ils auraient pu l'être avant l'arrêt du 24 juillet 1671 ; et pour que, en conséquence, lesdits chanoines réguliers fassent le service, dans la cathédrale et le chapitre d'Uzès, comme ils y sont tenus par le concordat du 25 octobre 1664. L'évêque demande que l'intendant de Basville soit commis pour remettre les chanoines en possession et juger tous les différends qui pourraient naître de l'exécution du concordat (1707 ?). — 49. Requête (copie) présentée au Conseil privé par l'abbé de sainte-Geneviève du Mont, supérieur général des chanoines réguliers de Saint-Augustin, dans le même sens (1707 ?). — 50. Copie en forme d'un arrêt du Conseil d'État cassant les concordats de 1638, 1643 et 1664 intervenus entre les évêques d'Uzès et l'abbé de Sainte-Geneviève du Mont, à Paris ; ordonnant que les chanoines réguliers présentement pourvus continueront de servir, dans la cathédrale et le chapitre d'Uzès, comme chanoines réguliers de Saint-Augustin, jusqu'à nouvel ordre ; et renvoyant au parlement de Toulouse les contestations sur le possessoire des prieurés de Saint-Dézéry et d'Estèzargue (Saint-Germain en Laye, 24 juillet 1671). — 51. Copie en forme d'une délibération du chapitre d'Uzès faisant sortir les frères Lavondès et Choisity comme n'étant ni titulaires ni pourvus, et déclarant que le frère Hameau ne sera pourvu d'aucun bénéfice (24 octobre 1672). — 52. Premier feuillet d'un mémoire contre les sécularisations (s. d.). — 53. Copie en forme d'une ordonnance de l'évêque d'Uzès, rendue sur la requête de son promoteur, et portant que les frères Hameau. Lavondès et Choisity, religieux profès de la congrégation des chanoines réguliers de France, se retireront dans les monastères de leur ordre (8 novembre 1672). — 54 Cédule récusatoire desdits Hameau, Lavondès et Choisity contre l'évêque et son official (Novembre 1672). — 55. Procuration en blanc signée par la majorité des chanoines d'Uzès et donnée à un procureur en cour de Rome pour s'opposer à la sécularisation du chapitre. L'évêque, l'archidiacre, le sacristain et les prieurs de Gaujac et de Bagnols ont tenté d'obtenir du Roi un brevet de sécularisation, Le prévôt a donné procuration pour s'opposer à l'obtention des bulles de sécularisation (15 novembre 1672). — 56. Cédule récusatoire de Hameau et consorts (Cf. pièce 54. Novembre 1672). — 57. Procuration du P. Mailhot, prévôt d'Uzès, donnée en blanc pour s'opposer à la sécularisation du chapitre. Le notaire est Pierre Chambon (15 novembre 1672). — 58-59. Copie et minute de la notification faite à Jacques Drome procureur fiscal de l'évêque d'Uzès de l'appel de Hameau et consorts en la cour du métropolitain de Narbonne de l'ordonnance de l'évêque rendue contre eux (Cf. pièce 53. Novembre 1072). — 60. Liste des titulaires occupant les dignités, personnats et canonicats d'Uzès (1673 ?). — 61. Liste des questions à soumettre au « conseil » à propos de l'ordonnance épiscopale [1672]. — 62. Copie de la réponse du conseil aux dites questions [1672]. — 63. Copie d'un mémorial sommaire pour « le cardinal » [1674 ?]. — 64. Réfutation du mémorial du député de l'évêque d'Uzès à Rome pour obtenir la sécularisation [1674 ?]. — 65. Lettre confidentielle du P. Pounnereau à un Père non désigné. Il a été suspendu par l'évêque d'Uzès pour n'avoir pas voulu se conformer au chapitre au sujet des vœux et de l'habit. Il suspend la signification de son exploit d'appel jusqu'à ce qu'il sache le sentiment du Père Général (Saint-Nicolas, 14 décembre 1687). La lettre contient copie de divers textes: 1° Sommation faite à Pommereau, prieur de Saint-Victor de Lacoste, à la requête de l'archidiacre et syndic du chapitre, par ordre de l'évêque, d'avoir à se rendre au chapitre le 16 août 1687, pour s'expliquer et déclarer sa volonté, tant sur sa réception au chapitre dans les formes accoutumées et avec l'habit commun des autres chanoines, que sur les vœux qu'il est tenu de faire entre les mains de l'évêque, suivant le formulaire et l'usage du chapitre, le délai qu'il a demandé le 25 juin dernier, pour se déterminer, étant expiré ; 2° Acte capitulaire du 14 mars 1679 touchant le rochet. Dans ce chapitre général, l'évêque Michel Poncet de La Rivière, tout en rendant hommage à la piété et à la science des religieux de Sainte-Geneviève, exige d'eux, pour les recevoir dans sa cathédrale, une entière soumission. Ils prendront, en conséquence, la soutane blanche sans rochet, qui est l'habit des anciens avant l'introduction de la réforme dans le chapitre. Il prie les chanoines actuels de quitter le rochet, quoique ses prédécesseurs les en aient revêtus en les recevant. Ses motifs sont l'uniformité d'habit dans un même corps, et le libre accès qu'il faut avoir auprès des laïques et des hérétiques. Bonot déclarant vouloir garder le rochet, l'évêque lui ordonne de se retirer dans son bénéfice. Le capiscol Sandrier se soumet, ainsi que les autres ; 3° Chapitre du 15 mars, touchant le mauvais service de la sacristie, la nécessité pour l'archidiacre d'entretenir un prêtre servant, le dessein de l'évêque d'augmenter le service divin et de transporter dans sa cathédrale les bénéfices simples et les chapelles ruinées où le culte ne se fait pas. — 66. Certificat de bonne vie et mœurs délivré par Roux, prieur de Saint-Nicolas, à M. de Barbonte, novice de la cathédrale d'Uzès, qui a fait son noviciat à la maison de Saint-Nicolas (5 mars 1704). — 67. Note non signée du P. Bauduy. II craint que l'évêque ne parle de réforme que pour obliger les chanoines à se désister de leurs procès avec lui (1707 ?). — 68. Tableau des bénéfices du chapitre avec leurs revenus et charges (s. d.). — 69. Inventaire des papiers du chapitre d'Uzès qui sont à Rome (1674 ?). — 70-71. Notes sommaires de registres de reconnaissances et censives pour le couvent de Saint-Nicolas. Les documents vont du XIVe au XVIIIe siècle. — 72. Lettre du P. Morin au P. Andrieu, à Uzès, au sujet d'une fourniture d'huile (Paris. 13 janvier 1651). — 73. Lettre du P. Boulart au P. Cambronne, chanoine d'Uzès, à Saint-Nicolas de Campagnac, au sujet du P. Sconin (oncle de Racine). Il est heureux des bonnes dispositions que la grâce a imprimées dans son cœur, et le servira cordialement. Il voudrait avoir des ailes de colombe pour être auprès de Cambronne (Paris, 18 mars 1662). — 74. Requête des fermiers du bénéfice de Saint-Nicolas contrôles religieux de la cathédrale d'Uzès, adressée au sénéchal, pour pouvoir payer valablement certaines rentes, par ordre de justice (22 janvier 1653)

Cote :

G 1634

Inventaire d'archives :

Clergé séculier (816-1835) - G

Description physique :

Description physique: (Portefeuille.) [Document ayant appartenu à la fabrique de l'église Saint-Théodorit d'Uzès (cathédrale).] — 74 pièces, papier, dont une volante. 7 sceaux ou cachets en papier.

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