Mario Marret, qui lors des conférences continue à tourner des documentaires, est à Toulouse (21 mars 1962), Poitiers (mars 1962), Saujon (2 avril 1962), dans le Vaucluse (avril 1962). En juin 1962, il est à Tunis avant de gagner les maquis de Guinée portugaise. De retour en France à l'automne 1962, il reprend les tournées de conférences dans l'Allier, en Auvergne, à Niort, à Châteauponsac, à Colombey-les-Deux-Eglises (novembre 1962). Les lettres sont adressées à Christa Geitner, alors étudiante.

Mario Marret commente dans les courriers les événements politiques liés aux négociations pour le cessez-le-feu en Algérie et au référendum de 1962. Il relate son expérience militante lors des conférences-débats et projections qu'il réalise dans la France rurale et ouvrière et analyse également les mentalités de son auditoire, sondant ainsi la France des campagnes.

Le 12 juin 1962, depuis Tunis, il brosse un tableau détaillé de la capitale tunisienne.