- Diocèse d'Agde. - Chemins (1752). - Diocèse d'Albi. - Route de Toulouse à Albi, conservation des fossés de la ville, plantations d'arbres (1785).

- Diocèse d'Alès. - Chemin du Vigan à Alzon. Contestation entre le marquis de Vissée, baron d'Hierle, colonel de dragons, Bastier et autres (1695-1785).

- Diocèse d'Alet. - Protestations anonymes contre l'absence d'adjudication et de réception des chemins, la construction étant confiée à des gens agréés par l'évêque, d'où 300 000 livres de dettes pour le diocèse. Réponse de Ribes, subdélégué de Limoux : « Les syndics sont l'âme qui anime les corps de la province et des diocèses, en eux réside... la plénitude du pouvoir..., le syndic a toujours joui de la confiance pleine et entière du prélat... Le diocèse d'Alet est peut-être, de tous les diocèses du roïaume, celui qui a le moins de routes... Lorsque M. l'évêque actuel fut nommé... il n'existait aucun chemin pratiquable pour les voitures... Tous les baux d'entretien ont été passés par le sieur Larade, sindic... M. l'évêque d'Alet... a donné dans le cours de cette malheureuse année plus de la moitié de son revenu... (Le mémoire anonyme) est un coup de poignard sur un cadavre, c'est-à-dire sur une administration expirante, et qui est au moment d'être remplacée par une nouvelle qui renfermera peut-être plus d'inconvéniens sans avoir les mêmes avantages, et qui confirmera malheureusement cette vérité triviale que le plus grand des abus est de vouloir les réformer tous » (14 septembre 1789).