Inventaire d'archives : 6 V - Clergé catholique régulier.

Contenu :

La sous-série 6 V regroupe les documents en provenance de la préfecture se rapportant aux congrégations et communautés religieuses au cours du XIX siècle jusqu'au vote des lois anti-congréganistes, voire au-delà.
Les archives ont été constituées dans un contexte politique et législatif particulier, et évolutif : de l'autorisation de constitution de congrégations hospitalières en 1809, ouvrant une période de relative tolérance, jusqu'à un régime plus rigoureux de restrictions et d'interdictions de 1880 à 1905.
Deux chapitres très inégaux, de par la différence de documents présents pour chacun, ont été constitués : le premier est consacré aux congrégations (6 V 1 à 97), la deuxième aux associations religieuses (6 V 98).
Le chapitre des congrégations comprend dans une première partie des documents généraux (6 V 1 à 31). Cette première partie est consacrée à l’organisation des congrégations (an X-1923) et aux différents rapports, enquêtes et statistiques concernant les communautés religieuses (1807-1925).
Dans l’organisation des congrégations (6 V 1 à 15), on retrouve les demandes de reconnaissance légale de communautés et leurs établissements, ainsi que des demandes d’autorisations d’acquérir ou d’aliéner des immeubles ou rentes, d’accepter des dons ou legs.
On retrouve également les dossiers relatifs à la dissolution des congrégations non autorisées en exécution des décrets du 29 mars 1880, les dossiers relatifs à la fermeture des établissements congréganistes et à la liquidation de leurs biens exécution des lois du 1 juillet 1901 et du 4 décembre 1902, les dossiers relatifs aux conséquences de la loi du 17 juillet 1903 sur les contrats d’association, les dossiers sur à la suppression de l’enseignement congréganiste en exécution de la loi du 7 juillet 1904. Les derniers dossiers portent sur les établissements congréganistes irréguliers.
La partie relative aux statistiques comprend différents états, tableaux et listes relatifs aux congrégations religieuses autorisées et non autorisées (6 V 16 à 26) ainsi que des rapports sur les opérations effectuées en vertu des lois relatives à la liquidation des congrégations (6 V 27 à 28). Des enquêtes et rapports relatifs aux établissements congréganistes sont postérieurs à 1905 (6 V 27 à 31). La liasse 6 V 31 concerne plus spécifiquement les congréganistes de nationalité étrangère.
Une deuxième partie est consacrée aux pensions et secours de l’an X à 1825 (6 V 32 à 33).
La troisième partie est consacrée aux dossiers des congrégations (6 V 34 à 94) en distinguant les congrégations mixtes, les congrégations d’hommes et les congrégations de femmes. Les congrégations sont ensuite regroupées en fonction des activités qui les caractérisent : enseignement, soins et charité, contemplation.
Ces dossiers comportent des documents relatifs au statut, à l’état des membres, au personnel (lettres d’obédience, pensions, secours et aux admissions en maison de retraite des congréganistes), à l’état des ressources, à des demandes en exemption de taxe d’accroissement l’état, des documents relatifs à  la gestion des biens (vente, échange et acquisition d’immeubles, construction, location) et des rentes et créances, des demandes d’autorisation d’ouverture d’établissement et l’instruction de ces demandes, des documents relatifs à la liquidation et l’expropriation des congrégations.
Cette partie du 6 V est très instructive sur le déroulement des procédures de fermetures, et apporte de nombreux renseignements sur les congrégations de l’Ardèche, leurs établissements et leur rôle. Pour faciliter la recherche, une liste alphabétique des congrégations a été faite avec renvoi aux cotes correspondantes.
Les associations religieuses ne représentent qu’une seule liasse.
 

Cote :

6 V 1 à 98

Publication :

Archives départementales de l’Ardèche
2024
Privas

Informations sur le producteur :

Ardèche. Préfecture
Certaines congrégations religieuses avaient déjà été supprimées pendant la Révolution par la loi du 18 août 1792. Cette loi est confirmée par l'article 11 de la loi du 18 germinal an X (8 avril 1802) supprimant « tous les établissements ecclésiastiques autres que les chapitres cathédraux et les séminaires ».
Le décret du 3 messidor an XII (22 juin 1804) prévoit la dissolution de toutes les associations religieuses non autorisées et décide qu'aucune « agrégation ou association d'hommes ou de femmes sous prétexte de religion » ne peut se former sans être autorisée par un décret impérial.
Le décret du 18 février 1809 autorise les congrégations à vocation hospitalière, charitable et enseignante déjà implantées dans le département sous la Révolution française sur approbation de leurs statuts, et leur concède le droit de recevoir dons et legs. En effet, dès le début du XIX siècle, les congrégations à vocation hospitalière s'étaient progressivement reformées, leur interdiction ayant été suivie d'un grand vide dans les soins portés traditionnellement aux malades et aux indigents.
 
Sous la Restauration, la loi du 2 janvier 1817 impose la reconnaissance des congrégations existantes, autorise l'acquisition de biens immobiliers et rentes tout en maintenant le droit de recevoir dons et legs.
La législation des décennies qui suivent est de plus en plus favorable aux congrégations de femmes. Les ordres masculins apparaissent souvent suspects aux yeux des gouvernements successifs et n'obtiennent pas toujours leur reconnaissance légale, contrairement aux congrégations de femmes, plus favorisées par la législation en vigueur. Cependant, les congrégations religieuses d'hommes établies sans autorisation sont plus ou moins tolérées jusqu'en 1880.
 
La loi du 24 mai 1825 autorise l’ouverture de nouvelles congrégations, tandis que celles qui existaient avant le 1 janvier 1825 sont ouvertes par simple ordonnance royale d’autorisation.
Le décret du 31 janvier 1852 confirme ces dispositions. Le pouvoir politique considère l'ensemble de ces congrégations de manière bienveillante et tolérante, conscient de leur forte implication pour l'instruction et l'éducation de la jeunesse, mais également dans les soins hospitaliers ou caritatifs portés aux plus défavorisés. L'article 1 du même décret prévoit la reconnaissance d'une congrégation sur simple adoption de ses statuts, déjà vérifiés, enregistrés et approuvés.
 
À partir de 1880, la législation et surtout son application se durcissent progressivement.
L'expulsion des congrégations de 1880 est un événement  majeur qui consiste en la dispersion des , . Ces expulsions font suite à la signature, le 29 mars 1880, de deux  par le gouvernement de , et plus précisément par , , et , . Le premier prévoit la suppression de la  (les Jésuites) sur le territoire français, et le second met en demeure les autres congrégations non autorisées de demander une autorisation légale sous peine de subir le même sort que les Jésuites.
Ces décrets sont publiés dans le contexte de l'installation de la III République. Cet affermissement du régime est marqué par un  militant de la part des  et des  ainsi que par une volonté de soustraire l'enseignement à l'influence des congrégations accusées d'être des ferments de .
 
L'application du premier décret entraîne dès le 30 juin 1880 l'éviction des Jésuites de tous leurs établissements. Les autres congrégations ayant refusé de déposer les demandes d'autorisation par solidarité avec la Compagnie de Jésus, Charles de Freycinet entame des négociations pour obtenir leur ralliement déclaratif à la République. La révélation de ces tractations secrètes par le journal  provoque sa démission et l'arrivée au pouvoir de . Ce dernier fait appliquer le second décret avec sévérité, entraînant l'expulsion des autres congrégations masculines non autorisées. La plupart des membres des congrégations s'étant barricadés dans leurs locaux, l'intervention de l' est plusieurs fois requise par les  et les expulsions donnent lieu à des scènes parfois violentes, dont l'ouverture de portes à la hache ou la destruction de serrures.
L'application des décrets rencontre un mouvement d'opposition non négligeable. Contestés devant les , ils font également l'objet de débats et d'incidents à la  et au . Des groupes de fidèles et de militants  assistent aux expulsions pour acclamer les religieux et conspuer les . Enfin, plusieurs centaines de  et de  chargés de faire exécuter les décrets présentent leur , heurtés dans leurs convictions personnelles.
L'expulsion des congrégations provoque la dispersion de 6 589 religieux. Si certains choisissent de continuer à mener une  par petits groupes, dans des maisons mises à dispositions par des , d'autres prennent le chemin de l'exil pour reconstituer leur congrégation à l'étranger comme en , destination principale des congréganistes. Le retour des religieux dans leurs établissements se fait peu à peu dans les années suivantes à l'occasion de la politique d’apaisement qui s'installe entre le  et le gouvernement français à partir de 1885, apaisement qui conduira finalement au . Néanmoins, les  ne renoncent pas à leur entreprise de  ; le déclin de l'enseignement congréganiste est amorcé et le coup fatal lui est porté par la  en 1904, soit vingt-quatre ans après l'expulsion de 1880.
 
En outre, une taxe d’accroissement, fixée par les lois du 28 décembre 1880, 29 décembre 1884 et 16 avril 1895, touche les congrégations : il s’agit une taxe annuelle et obligatoire sur la valeur brute des biens meubles et immeubles due par toutes les congrégations, autorisées ou non. Les biens affectés à des œuvres d’assistance aux infirmes, malades et indigents, enfants orphelins et abandonnés peuvent être exemptés par un décret en conseil d’État.
 
La loi du 1 juillet 1901 portant sur le contrat d'association, décide que les congrégations doivent être autorisées par une loi à la différence de toute autre forme d'association, et que les établissements qu’elles souhaitent fonder doivent l’être par un décret rendu en conseil d’État. Pour y parvenir, les congrégations doivent déposer une demande d’autorisation. Un décret rendu en conseil des ministres peut dissoudre la congrégation ou fermer un établissement. L’article 14 de cette loi s’attaque finalement à l’enseignement en l’interdisant aux congrégations non autorisées. À l’été 1902, 3000 écoles non autorisées de congrégations autorisées sont fermées sur le territoire national, par ordre d’Emile Combes, président du conseil.
En mars et juin 1903, la Chambre rejette massivement les demandes d’autorisation des congrégations déposées selon la loi de 1901, à la demande d’Emile Combes.
Enfin, la loi du 7 juillet 1904 interdit à toute congrégation religieuse d’enseigner et ordonne la suppression sur dix ans de toutes les congrégations exclusivement enseignantes. Les congréganistes sont donc obligés de cesser d’enseigner ou de se séculariser.
Le décret du 2 janvier 1905 oblige les congrégations mixtes à modifier leurs statuts en supprimant les clauses relatives à l’enseignement.
politique congrégations religieuses, principalement masculines non autorisées décrets Charles de Freycinet Charles Lepère ministre de l'Intérieur Jules Cazot ministre de la Justice Compagnie de Jésus anticléricalisme républicains modérés radicaux contre-révolution La Guienne Jules Ferry armée préfets juridictions civiles Chambre des députés Sénat catholiques forces de l'ordre magistrats fonctionnaires démission vie en communauté laïcs Espagne Saint-Siège Ralliement de 1892 républicains laïcisation de l'éducation suppression des congrégations enseignantes 

Informations sur l'acquisition :

versement de date inconnue versement numéro via 2023-336 Ardèche. Préfecture
Historique de conservation :
Les documents ont fait l’objet de versements successifs de la préfecture (service des finances, secrétariat général, cabinet) et des contributions directes. Un premier répertoire numérique concernant l’ensemble de la série V a été élaboré en 1953 par Paulette Vincent mais les documents étaient présentés sans ordre logique et beaucoup d’analyses étaient incomplètes voire inexactes. Un travail de refonte a donc été entrepris en 2020 pour organiser les archives dans les sous-séries réglementaires.

Description :

Mise en forme :
Le cadre de classement de la série V consacrée aux archives cultuelles de la période concordataire du département de l’Ardèche donne les subdivisions suivantes :
1 V      Clergé des cultes catholique et non catholiques.
2 V      Organisation et police du culte catholique.
3 V      Immeubles et bâtiments diocésains.
4 V      Immeubles et bâtiments paroissiaux.
5 V      Fabriques.
6 V      Clergé catholique régulier.
7 V      Cultes non catholiques.
8 V      Séparation des Églises et de l’État.  
 
Conformément à l’Instruction sur le classement et la cotation des archives dans les services d’archives départementales du 18 décembre 1998, la sous-série 6 V s’intitule « Clergé catholique régulier ».

Conditions d'accès :

Archives publiques. Cet instrument de recherche peut contenir des articles non consultables en raison de leur mauvais état de conservation.
Publiable sur internet

Ressources complémentaires :

L’ensemble des instruments de recherche, inventaires et bordereaux de versements (archives postérieures à 1940) est accessible via l’état général des fonds en ligne sur
1 T 104, 113, 187 à 190, 624 à 635
3 U 3/1529-1533
Liste des congrégations
 
Carmélites des Vans                                                                             6 V 97
Cisterciens de la stricte observance dits trappistes de l’abbaye Notre-Dame-des-Neiges                       6 V 45
Clercs de Saint-Viateur                                                                          6 V 46    
Clarisses de Vals-les-Bains                                                                   6 V 14, 95
Conférences de Saint-Vincent-de-Paul                                                 6 V 35
Confrérie des Pénitents                                                                         6 V 34
Dames du Sacré-Cœur à Annonay                                                       6 V 56 
Dominicains de Serrières                                                                      6 V 40
Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul de Paris                         6 V 81
Frères des écoles chrétiennes dits de Saint-Yon                                 6 V 14, 37 
Frères du Sacré Cœur du Paradis                                                        6 V 38
Frères et sœurs hospitaliers de Sainte-Marie de l’Assomption de Clermont-Ferrand                                                                                                  6 V 36
Frères maristes de Saint-Genis-Laval                                                   6 V 21, 41
Frères mineurs Capucins                                                                      6 V 48
Jésuites de Lalouvesc                                                                           6 V 6, 39
Missionnaires oblats de Marie Immaculée de Lablachère                    6 V 14, 43 
Notre-Dame de Tournon-sur-Rhône                                                     6 V 84
Oblats de Notre-Dame de Lablachère                                                  6 V 6
Oratoriens                                                                                              6 V 42
Ordre de la Très-Sainte-Trinité et de la Rédemption des Captifs de Valence                              6 V 65
Pères basiliens                                                                                      6 V 47
Petites sœurs de l’Assomption                                                              6 V 14
Petites sœurs des pauvres                                                                   6 V 87
Petits frères de Marie                                                                            6 V 7, 14
Présentation de Marie                                                               6 V 14, 51-52, 69
Récollets de Bourg-Saint-Andéol                                                          6 V 6
Religieux de la Trappe à Soligny-la-Trappe                                          6 V 44
Saints-Cœurs de Tournon-sur-Rhône                                                   6 V 68
Sœurs Carmélites des Vans                                                                 6 V 97
Sœurs de la Nativité de Notre Seigneur                                               6 V 59
Sœurs de la Présentation de la Bienheureuse Vierge Marie               6 V 69
Sœurs de la Présentation de Marie de Bourg-Saint-Andéol       6 V 14, 51-52, 69
Sœurs de la Providence d’Annonay                                                     6 V 75
Sœurs de la Sainte-Famille de Saint-Gervais-sur-Mare (Hérault)       6 V 63
Sœurs de l’Enfant-Jésus                                                                       6 V 60
Sœurs de l’Immaculée Conception de Meysse                                    6 V 74
Sœurs de Notre-Dame de Charité du Bon-Pasteur d’Angers              6 V 76
Sœurs de Notre-Dame de Tournon                                                      6 V 14
Sœurs de Notre-Dame-Auxiliatrice de Montpellier                               6 V 92
Sœurs de Saint-Charles de Lyon                                                          6 V 15, 49
Sœurs de Sainte-Marthe de Romans-sur-Isère                        6 V 72
Sœurs de Saint-François d’Assise d’Angers                                        6 V 89
Sœurs de Saint-François d’Assise de Montfaucon du Velay               6 V 71
Sœurs de Saint-François d’Assise de Rodez                                       6 V 96
Sœurs de Saint-Joseph d’Aubenas                                                      6 V 77
Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Etienne-de-Lugdarès                       6 V 70
Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Félicien                                            6 V 14, 86
Sœurs de Saint-Joseph-de-Gap                                                6 V 90
Sœurs de Saint-Joseph de Ruoms                                                       6 V 14, 79
Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Prix                                                   6 V 62
Sœurs de Saint-Joseph de Satillieu                                                      6 V 67
Sœurs de Saint-Joseph des Vans                                            6 V 14, 66, 80
Sœurs de Saint-Joseph de Vanosc                                                      6 V 64
Sœurs de Saint-Joseph du Cheylard                                                    6 V 14, 78
Sœurs de Saint-Joseph dites de la Sainte-Famille de Saint-Gervais-sur-Mare (Hérault)                                                                                            6 V 63
Sœurs de Saint-Joseph dites de l’union de Sainte-Colombe               6 V 91
Sœurs garde-malade de Notre-Dame-Auxiliatrice de Montpellier        6 V 92
Sœurs de Saint-Régis d’Aubenas                                                         6 V 50
Sœurs de Saint-Roch de Viviers                                                           6 V 93
Sœurs des filles de Marie de Saint-Marcellin                                       6 V 85
Sœurs des Sacrés-Cœurs de Jésus et Marie                                      6 V 68
Sœurs des Saints-Cœurs de Jésus et de Marie                                  6 V 68
Sœurs dites de Saint-Charles de Lyon                                                 6 V 49 
Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus                                                          6 V 68
Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus d’Annonay                                        6 V 53
Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus de Privas                                          6 V 14, 54
Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus et de Marie de Tournon-sur-Rhône 6 V 55
Sœurs du Sacré-Cœur de Marie de Béziers                                        6 V 88
Sœurs du Sacré-Cœur de Marie de Recoubeau                                  6 V 73
Sœurs du Saint-Sacrement d’Autun                                                     6 V 58
Sœurs du Saint-Sacrement de Valence                                               6 V 14
Sœurs du Tiers Ordre de Saint-Dominique                                          6 V 61
Sœurs du Très-Saint-Sacrement de Valence                                       6 V 14
Sœurs du Très-Saint-Sacrement et de la Charité de Romans-sur-Isère  6 V 15, 57
Sœurs hospitalières de la Sainte-Trinité de Valence                           6 V 94
Sœurs trinitaires de Valence                                                                 6 V 14
Trappistes de l’abbaye Notre-Dame-des-Neiges                                  6 V 45
Union de Sainte-Colombe                                                                     6 V 91
Ursulines d’Annonay                                                                              6 V 83
Ursulines de Boulieu-lès-Annonay                                                        6 V 82
 
 

Références bibliographiques :

Consulter le catalogue de la bibliothèque des Archives départementales en ligne à l’adresse : https://archives.ardeche.fr/n/bibliotheque-des-archives/n:112

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD007_1275623

Archives départementales de l'Ardèche

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