Fils et successeur de Claude Royer I ( MC/ET/XXXIV/344, 27 avril 1709, soumission de Claude Royer II, pourvu de l'office de notaire qui appartenait à son père, aux règlements de la compagnie des notaires).

Il demeure rue de Buci, faubourg Saint-Germain, paroisse Saint-Sulpice, dans une maison au coin de la rue de Buci et de la rue Sainte-Marguerite, laquelle appartient à Amiot, greffier du criminel au Parlement, lequel la lui loue.

Ses lettres de provisions d'office ont été signées le 21 avril 1709, il a été reçu dans son office par sentence du châtelet du 24 avril 1709 (Chaillou, greffier de la chambre civile, Y4188). Il exerce peu de temps et meurt, sans doute brutalement, un an à peine après sa prise de fonction.

Marié à Anne Marchais le 12 mai 1709 (MC/ET/VI/630, contrat de mariage), laquelle est encore mineure lors de son veuvage (MC/ET/VI/631, 21 mai 1710, inventaire après décès de Claude Royer II), et est donc représentée par Jean-Baptiste Marchais, officier du roi, demeurant paroisse Saint-Sulpice, son père. Elle est alors enceinte, et Claude Royer I, père du défunt, est curateur au posthume.

Pierre de Marsolle est son principal clerc (il est présent lors de l'inventaire après décès mentionné ci-dessus).