Document d'archives : 43 min 03 s : La mort (4')
Contenu :
Lorsque quelqu'un était mort, on devait le vêtir de ses plus beaux habits, l'allonger sur son lit, pour que tous puissent venir le voir. On le veillait jusqu'à l'enterrement, où l'on allait à pied, derrière le corbillard tiré par un cheval. Il n'y avait pas d'enterrement civil, et le curé était systématiquement sollicité, par un voisin. Les femmes devaient garder le deuil, de 6 mois à un an, et ne pas aller danser durant cette période.
Cote :
15
Inventaire d'archives :
Personnes :
Lieux :
Capèla Albarèlh, la, Chapelle-Aubareil, la, Sarlat e la Canedat, Carsac-Aillac, Carsac e Alhac, Cambord, le (comm. Sarlat-la-Canéda), Sarlat-la-Canéda
Thèmes :
Languedocien, Parler sarladais, alimentation, bal public, bâtimnt industriel, changement sociétal, chanson, cuisine, décès, enfant, espace domestique, examen, famille, femme, forie, fête, jardin familial, manifestation commerciale, mariage, ouvrier, pratique sociale, pratiques agraires, pratiques linguistiques, régime matrimonial, rémunération, tabac, travail des enfants, véhicule à deux roues, véhicule à traction animale, école