La lettre du 12 avril est rédigée dans un hôtel du Mans, ville dans laquelle Valentin a vécu quatre ans.

Le 18 avril, il écrit ces lignes inquiétantes à Saarbrücken : "Nous voici à quelques mois du fameux plébiscite qui doit décider du sort de la Sarre. (...) Or, dans la ville de Sarrebruck toutes les vitrines sont "ornées" – si l'on peut dire – du portrait du divin Adolf et les jeunes gens se promènent en bottes, les jeunes filles en corsage de velours brun (la tenue hitlérienne étant défendue par le gouvernement de la Sarre... image et émanation de l'énergique Société des Nations). Partout la croix gammée."