Pierre Vitalis, du lieu de Bouillargues, reconnaît tenir de l'abbesse de Saint-Sauveur-de-la-Font une terre dite le Fesc, audit lieu, sous la cense de 50 sous (1467). — Reconnaissances passées : par Jean Vitalis, en faveur de dame Blanche d'Albignac, abbesse dudit monastère, pour une terre sise à Bouillargues, au lieu dit : la Font-de-Massilhac, sous la cense de 16 sous, 8 deniers (1513) ; — par Jean Vidalon le vieulx , pour une terre sise au lieu dit la Condamine des Mourgues (1513) ; — par Simon Vidalon, en faveur dudit couvent, pour plusieurs terres sises à Bouillargues (1550). — Poursuites intentées par dame Marguerite de Murot, abbesse de Saint-Sauveur, contre le sieur Etienne Vidalon, pour le contraindre à passer reconnaissance en faveur dudit couvent (1608). — Reconnaissances en faveur du monastère de Saint-Sauveur, faites par Pierre et Etienne Granier (1614) ; — Jean Vidalon, docteur et avocat (1641) ; — Antoine Pellissier (1663) ; — Jean Vidalon (1670). — Poursuites en féodale faites au nom de dame Marguerite de Georges de Tharaux, abbesse dudit monastère, contre Isaac Berger, Etienne Ranquet de Bouillargues, etc. (1695). — Le sieur Pellissier est condamné, par le sénéchal de Monténard, à passer reconnaissance en faveur de ladite abbesse (1695).