M. Georgy connut l'arrivée de la télévision lorsqu'il avait une quinzaine d'années, et elle se trouvait dans la salle des fêtes communale. Petit à petit, les plus aisés s'en achetèrent. En dehors de cela, on écoutait la radio, le plus important étant le buleltin météo, qui indiquait les travaux extérieurs en capacité d'être réalisés les jours suivants. Avant la radio, on ne se posait pas la question du temps, on se repérait grâce à des dictons, des signes climatiques annonciateurs fiables.