Document d'archives : L'alimentation électrique

Contenu :

- L'éclairage des quais des stations du réseau métropolitain (1954),
- Les sous-stations mono groupes (1956),
- Plan du réseau Haute tension (1959),
- Eclairage des trains et sonneries : instruction technique n° 3 (date inconnue),
- Alimentation exploitation du réseau d’énergie : plaquette éditée par l’AE (date inconnue),
- Poste de commande d’énergie, système informatique : rapport (décembre 1976),
- Musée des sous stations : plaquette (1971-1988),
- Les sous stations : 5 planches photo (date inconnue),
- La conduite des sous stations du chemin de fer métropolitain par CMP (1939),
- Alimentation en courant traction du métro : plan (1979),
- Matériel 24 V (date inconnue),
- Panneaux de départs d’éclairage et pompe en sous stations : plans (1957),
- Chaufferettes pour receveuses : plan (1943),
- CMP, appareillage électrique (1951),
- Interrupteur 300 ampères sur marbre : plan édité par la CMP (1930),
- Interrupteur d’urgence : plan édité par la CMP (1934),
- Pose des canalisations à haute tension : devis et cahier des charges (date inconnue),
- Fourniture de l'énergie destinée à l'exploitation du métro : contrats entre la CMP et la Société d'électricité de Paris, cahier des charges, textes législatifs et correspondances (date inconnue),
- Sous-station Laborde : schéma général (1937),
- Distribution de l'énergie électrique sur le réseau urbain (1958),
- Le Késar en traction électrique (1976),
- La future alimentation en énergie électrique du chemin de fer métropolitain de Paris (1947),
- Dimensionnement des installations d'alimentation traction à courant continu dans le cas de matériels roulants à hacheur (date inconnue),
- Distribution d'énergie HT et les sous stations de transformation : note (1934).

Cote :

2G2/12

Inventaire d'archives :

Réseau métropolitain

Informations sur le producteur :

Compagnie du Chemin de fer Métropolitain de Paris
Régie Autonome des Transports Parisiens
La Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) est l'un des ancêtres de la Régie autonome des transports parisiens (RATP), établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) assurant l'exploitation de l'intégralité des lignes du métro de Paris.

Afin de ne pas dépendre de la Compagnie des chemins de fer de l'État pour la desserte urbaine, la ville de Paris décide en 1883 la construction d'un réseau de métropolitain. En dépit des tensions entre l'État et la Ville pour le contrôle de l'opération, la proximité de l'échéance de l'Exposition universelle de 1900 amène les responsables à accélérer les démarches. En 1895, Louis Barthou, ministre des travaux publics, reconnaît un intérêt local aux lignes à construire.

Les travaux d'ouvrages d'art (tunnels, viaducs et stations) sont confiés à la Ville ; ceux des accès, des voies et l'exploitation le sont à un concessionnaire. Le conseil municipal choisit en 1897 la Compagnie générale de traction, propriété du baron belge Édouard Louis Joseph Empain. La loi du 30 mars 1898 déclare d'utilité publique « la construction d'un chemin de fer métropolitain à traction électrique, destiné au transport des voyageurs et de leurs bagages à main ». La Compagnie générale de traction s'associe avec les établissements Schneider du Creusot et fonde la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) le 18 avril 1899 avec un apport de 100 000 actions de 250 francs souscrites en Belgique.

Le 1er janvier 1931, la CMP achète la Société du chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris dont les lignes A et B deviendront respectivement les lignes 12 et 13.

Le 18 janvier 1938, la CMP reprend la ligne de Sceaux entre Massy et Luxembourg, qui était exploitée jusque là par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO).

Le 1er janvier 1942, le gouvernement de Vichy remplace le Comité des Transports Parisiens (autorité organisatrice instituée le 12 novembre 1938) par le Conseil des Transports Parisiens d'où sont exclus les représentants du Conseil municipal de Paris et du département de la Seine. Ce Conseil impose l'exploitation du réseau d'autobus par la CMP. Cependant, sur le terrain, en cette période difficile, aucun changement n'est visible.

Après la Libération, le nouveau ministre des Transports René Mayer écarte la CMP le 3 janvier 1945 et la remplace par une Administration Provisoire des Transports Parisiens (APTP) chargée d'assurer le fonctionnement des réseaux avant la mise en place d'un nouveau régime juridique.

La loi no 48-506 du 21 mars 1948 alloue une indemnité à la CMP pour rupture de la concession au 1er janvier 1945 et lui impose de changer de nom et d'activité. Les archives de la CMP sont reprises par la toute jeune RATP qui prend la suite de l'APTP le 1er janvier 1949

Description physique :

Inconnue.

Observations :

Publié

Où consulter le document :

Régie autonome des transports parisiens (RATP) - Archives Groupe

Régie autonome des transports parisiens (RATP) - Archives Groupe

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