11 novembre, "fête supprimée de la Victoire" et 70e jour de guerre : Valentin voudrait "agir dans le sens du Bien" plutôt que subir. Il dit qu'il a envoyé en recommandé la copie de lettre du 20 février 1939 et s'inquiète de savoir si elle est bien arrivée.

La lettre du 23 novembre est écrite dans la cave pendant une alerte.

30 novembre : il n'a pas reçu d'accusé de réception de la dernière lettre, dont il redoute la perte ou la confiscation... ou un oubli de Pierrette. Du coup, il poste aussi une carte à lui renvoyer pour accuser réception de celle-ci.

8 décembre : "la 243e lettre a bien été volée par les puants valets de la censure". Valentin recopie donc intégralement le document censuré et décide de ne plus confier ses lettres à la poste ; il les déposera lui-même la prochaine fois qu'il ira à Bernay.

26 décembre : Jean, qui était rentré à Houilles suite à une blessure, est reparti. "La Terreur prend un caractère aigu. Le "groupe socialiste" du Parlement vient tout de même de s'en apercevoir en ce qui le concerne. ".