Document d'archives : Bayon.

Contenu :

(Liasse). — 25 pièces parchemin ; 1 pièce papier ; 1 sceau. — Vente de vignes par le maire Jean Henry de Hadonville et consorts à Thomas Genot, boucher de Bayon (1628, 19 juillet). — Vente, par Jean Picot, tailleur d’habits à Chamagne, à Nicolas Pierrey, marchand mercier à Bayon, de deux vignes sises à Bayon, au Hellenot (1693, 23 août). — Vente par François Collenot, ancien prévôt à Bayon, à Pierre Cainville (?), de Bayon, d’une maison avec jardin sise à la Petite-Rue (1700, 21 juin). — Vente par Jean Grandemenge, cordonnier, bourgeois de Bayon, à Nicolas Pierré, bourgeois du même lieu, d’une vigne, lieu-dit «En allant au Bambois» (1701, 24 décembre). — Vente par Nicolas Grandemenge, compagnon maréchal, et Dominique Grandemenge, compagnon cordonnier, de Bayon, à leur frère Jean Grandemenge, maître cordonnier au dit lieu, d’une vigne sise à Bayon (1701, 6 avril). — Vente par Joseph Feriet, à Jean Grandemenge, tous deux de Bayon, d’une vigne sise en ce lieu (1713, 26 décembre). — Vente d’une pièce de vigne, par Joseph Evrard, maréchal-ferrant et Sébastienne Grandemenge, sa femme, à Dominique Collin, maître boulanger, bourgeois de Bayon (1717, 16 juin). — Vente d’un champ et d’une vigne par Henry Thiriot, maréchal, et sa femme, à Dominique Collin, boulanger (1723, 12 septembre). — Vente de deux parts de vignes par Marguerite Pierre, femme autorisée de Frédéric Leclerc, tonnelier de S.A.R. demeurant à Nancy, à Dominique Collin l’ancien, boulanger, bourgeois de Bayon (1724, 17 avril). — Vente par Pierre Thibault, cordonnier et «hostelain» de Neuviller, à Fleurant Masson, chapelier, bourgeois de Bayon, d’une maison, avec ses dépendances sise à Bayon, rue de la Cloche (1726, 2 octobre). — Partage entre les divers héritiers de la succession de feu Gabrielle-Françoise George, femme en première noces de feu François Gaillard (1727, 3 mars). — Requête de Fleurant Masson, maître chapelier à Bayon, aux juges du siège de ce lieu, afin de contraindre Pierre Thébault, maître-cordonnier à Neuviller à produire les preuves de nullité des criées d’une maison sise rue de la Cloche, à Bayon. Sentence proclamant valables les dites criées (1727, 30 décembre). — Vente d’une vigne par Claude Fériet, bourgeois de Lunéville, et consorts, à Dominique Collin «hostelain où pend pour enseigne l’arbre vert» à Bayon (1727, 29 novembre). — Vente par Georges Gérard, laboureur à Mangonville, à Sébastien Bainville, bourgeois de Bayon, d’une maison sise rue de la Cloche (1746, 5 mai). — Vente d’immeubles à Amé Tissier, négociant à Remiremont, par les héritiers de Nicolas-François Aubert, de Lunéville (1780, 2 août). — Vente d’une vigne, au même, par Dagobert Drouin (1780, 21 octobre).

Cote :

7 H 12

Inventaire d'archives :

Clergé régulier

Informations sur le producteur :

Producteur public inconnu

Informations sur l'acquisition :

inconnue versement numéro via reprise-0206 Producteur public inconnu

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