Constitutions de patrimoines ecclésiastiques en faveur : d'Antoine Alivons, par Balthasar et Jean-Honoré Alivons, ses frères, de Mézien, 22 mars 1670 ; — d'Antoine Arnaud, de Valernes, « auditeur en sainte théologie », par « Marie Moinière, vefve à feu Me Anthoine Arnaud, et Jean-Pierre Arnaud, son fils », 14 novembre 1670 ; — de Charles Heyriès, fils de Guillaume et de feue Suzanne Masse, de Sourribes, par led. Guillaume, 24 février 1671 ; — de Gaspar Gontin, de Mévouillon, par Jean Gontin, bourgeois dud. lieu, son père, 29 août 1672 ; — de Melchior Ferrand, fils de Jean et d'Isabeau Deiglun , de Sourribes, par Jean, son père, 6 février 1673 ; — d'Antoine Boyer, par Henri Boyer, fils de feu Guillaume, « du Villar, perroisse de Saint-Maurice-en-Valgaudemar », 22 mai 1673 ; — de Jacques Amandric, par Honorade Moysson, sa mère, et Joseph Amandric, son frère, « de Mézel, habitans au lieu du Bignosc », 15 août 1673 ; — d'Elzéar Touche, par François Touche, son père, et Jean-Pierre Touche, son frère, de Bayons, 5 septembre 1673 ; de « Messire André David,... prieur du prieuré Saint-Sépulcre, diocèze de Gap », par Anne Ricard, sa mère, et Georges Robert, époux en 2e noces de ladite Anne Ricard. Veynes, 6 mars 1680 ; — de Jacques Jouve, par Imbert Jouve, de Cornillac, son père, 17 avril 1682. — Certificats de bonnes vie et mœurs, de constitution de patrimoine, de publications des bans de promotion aux ordres sacrés, etc., délivrés : par les consuls de Mévouillon en faveur de Gaspar Gontin, 29 août 1672 ; — ,par le curé et les consuls de Nibles, en faveur de Gaspar Touche, étudiant en théologie, 7 mai 1679 ; — par les curé, juge, châtelain et consul de Veynes, en faveur d'André David, « prieur clerc du Saint-Sépulcre, âgé d'environ 24 ans », qui « a déjà estudié une année en théologie et passé quelques mois au séminaire de Gap », 13 avril 1680 ; — par Joseph d'Aigremont, curé, et F. Paret, secondaire de Vaumeilh, en faveur de Gaspar Touche, 1er décembre 1681. — Certificat délivré par Mottier, directeur du séminaire de Gap, en faveur d'Antoine Amayon, qui, durant six mois, est resté au séminaire et a été trouvé capable d'être élevé au sous-diaconat. Gap, 1er septembre 1684. — Extrait : des lettres de prêtrise délivrées à Jacques Arnaud, de Ribiers, diocèse de Gap, par Jean-Baptiste de Sade de Mazan, évêque de Cavaillon. Cavaillon, 7 avril 1685. — Déclaration faite par les consuls de la ville de Saint-Maximin, suivant laquelle led. Jacques Arnaud, prêtre, de Ribiers en Dauphiné, enseigne « au collège royal et séminaire de ladite ville... les leçons des humanités, depuis deux ans et demy, et qu'il est engagé en l'exercice d'icelles pour une année et demy encore, ainsy qu'il résulte par délibération du mois d'avril 1684,... et qu'il ne peut point se retirer sans risquer la paine des dommages et intérêts que la communeauté exigeroit sur son absence ». Saint-Maximin, 16 avril 1685 ( Visa et sceau du lieutenant au siège royal de Saint-Maximin), etc.