Document d'archives : Détail du Temple d'Isernore / Alphonse de Cailleux ; C. Mulle. 1825-1825

Contenu :

<p>Détails et plans du temple d'Izernore.</p>

Cote :

1 Fi 143

Description physique :

Description physique: <LB></LB> <LB></LB> <LB></LB> <LB></LB> <LB></LB> <LB></LB> Document iconographique
Noir et blanc ou couleur
Noir et blanc ou couleur: en noir
Collation
Collation: 1 estampe sur papier
Support
Support: papier
Données techniques
Données techniques: gravure
Dimensions
Dimensions: 35 × 53,5 cm (image), 35 × 53,5 cm (feuille)

Ressources complémentaires :

Sources complémentaires
<P>Une litographie sur les ruines du se trouvent sous la cote 1 Fi 141 et une reconstitution du temple d'Izernore se trouve sous la cote 1 Fi 142.</P>
<P>La gravure est extraite de la planche 50 bis.</P>

Observations :

<p>Feuille en mauvais état : nombreuses déchirures, jaunissement. Présence d'échelles.</p><p>Dès le début du VIe siècle, des textes mentionnent la présence de ce monument. Plus tard, en 1650 et 1706 sont décrits les vestiges visibles du temple. Il s'agit de trois colonnes, et de la base d'une quatrième. Les premières fouilles datent de 1784. Tout de suite, on remarqua qu'il y avait eu deux temples successifs. Le deuxième ayant été construit sur les fondations du premier mais étant plus grand. On suppose qu'un large escalier permettait l'accès par l'est. Les trois piliers restant aujourd'hui sont les vestiges d'un portique en pierre grise. Il semblerait également qu'a l'intérieur le sol était en mosaïque.</p><p>Le lieu de construction du temple prête à croire que le temple était dédié à Mercure, même si certains pensent qu'il est consacré à Mars.</p><p>Aux abords du temple, les fouilles ont révélé un réseau serré d'aqueducs et d'égouts mais également une « chambre de captage de l'eau de la nappe phréatique », puis en 1863, deux hypocaustes ont été découvert.</p><p>Le temple est le seul vestige du passé gallo-romain d'Izernore. Des grillages de protection ont été placés autour du site afin d'éviter tout pillage, et l'effondrement des trois colonnes restantes.</p>

Archives départementales de l'Ain

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