Arrêt du Parlement au sujet d'un conflit entre la fabrique et le curé sur le droit de nommer les prédicateurs (31 mai 1681). - Réponse à un prédicateur : la fabrique ne peut promettre pour le Carême que 1,000 livres d'honoraires, tout compris (7 mai 1757). - Lettre du P. Clément d'Ascain, ex-provincial des Capucins, fournissant des renseignements sur le P. Ambroise de Pau, gardien du couvent de Tarbes (5 juillet 1757). - Indication du sujet des sermons du Carême prêché par le P. Laplace, Cordelier (1774). - Lettre du P. Loth, Minime, demandant à prêcher à Saint-Michel le carême de 1780. « J'ai rempli plusieurs chaires de Paris et je suis destiné à remplir pour le Carême prochain la chaire de Bruxelles à la cour du prince Charles » (31 octobre 1775). - Lettre du P. Gache, religieux Malhurin : « Si... Les nouvelles messageries qui iront en poste étoient établies pour votre ville d'ici à mon départ, je partirois quelques jours plus tard » (Paris, 12 janvier 1776). - Lettre du P. Gache : « J'ai été très satisfait de la nouvelle voiture dont j'ai fait l'essay ; elle est sans contredit bien plus commode que les anciennes, plus prompte et moins dispendieuse » (Paris, 6 mai 1776). - Lettre à l'abbé Fauque de Folaquier, de Pernes, arrêté pour prêcher le carême de 1791, lui fournissant des renseignements sur les obligations du prédicateur : le chapitre cathédral choisit parmi les prédicateurs de Saint-Michel, Saint-Pierre, Saint-Remy et Saint-Projet, celui qui doit prêcher le jour des Rameaux à l'hôpital Saint-André au profit des pauvres : « Il s'y rend ordinairement beaucoup de monde à ce sermon et de[s] plus riches ». Le curé de Saint-Michel, vieillard de 75 ans, est très aimé et respecté ; les 4 vicaires, choisis par lui, « sont d'excellentissimes sujets » (20 mai 1790).