Samia Messaoudi évoque l'importance de la transmission. Elle évoque le travail de son association Au nom de la mémoire, qui s'articule autour de trois axes majeurs : la mémoire de l'immigration, la mémoire urbaine et la mémoire ouvrière. Elle insiste sur le fait que chacune de ces mémoires est liée aux deux autres. Elle évoque son travail collaboratif avec Medhi Lalloui autour de ces questions avec la publication de livres et la réalisation de films sur ces sujets. Elle revient sur son ouvrage rédigé avec Mustapha Harzoun sur l'histoire de l'immigration racontée aux jeunes. Elle évoque également les interventions qu'elle fait dans les milieux scolaires pour débattre de ces questions, elle se dit particulièrement sensible et attentive aux questionnements des jeunes sur l'immigration. Elle termine sur l'évocation de la transmission de l'histoire du 17 octobre 1961 avec la réalisation d'un ouvrage sur le sujet regroupant 17 écrivains français et algériens.