Certaines vaches étaient dures à dresser, et M. Boisserie les attachait lorsqu'il devait les traire. Pour les vendre, il se rendait sur les foires avec un camion ou attendait le passage des paysans. Il y avait un roulement entre le foires, de Bergerac, Faux, Sainte-Foy, Beaumont, Issigeac. En plus, il achetait des vaches du Cantal, qui venaient en train, plus faciles à engraisser, préférées par les bouchers aux vaches locales qu'étaient la garonnaise, la hollandaise, la normande, davantage laitières.