Rentes de 660 et 360 livres : cession par Suzanne de Voluire et Claude Michaud, son beau-frère, curé de la paroisse de Saint-Vincent, au sieur Delagrange, avocat demeurant à Confolens, d'un corps de domaine à Sabaussac, moyennant une rente viagère de 660 livres qui reviendra à la communauté à la mort des bénéficiaires, et d'une rente de 360 livres à verser à la communauté (1768). - Rente de 50 livres, rachat : rachat par Anne Dupont, demeurant à Chabanais, et Jean Palland et sa femme Florence Dupont, à la communauté, et paiement des 12 livres 10 sols pour 3 mois d'arrérages (1782). - Rente de 20 livres : cession par Jeanne Gaillard, veuve de Martial Leproux, demeurant à la Malicherie, paroisse de Chabrac, à Marie Delimaigne, veuve de Léonard de la Rapidie, notaire à Chabanais (1696), cession par Marie Delimaigne à Jean Guerguigne, chirurgien, sieur des Essarts (1706), cession par Jeanne Raynaud, veuve de Jean Guerguigne, à la communauté (1720), supplique de la supérieure au juge sénéchal pour faire comparaître Pierre Leproux comme héritier de Jeanne Gaillard pour le recouvrement des arrérages, et approbation du sénéchal (1739), idem (1740), reconnaissance de rente par Jean et Léonard Leproux (1742), état de ce qui est dû par eux (1743), autre reconnaissance (1172). - Rente de 18 livres, procès devant le juge sénéchal du lieu pour le recouvrement des arrérages : assignation à comparaître donnée à Jean Delagrange (1774), lettre de M. Delagrange, curé de Saint-Quentin, en accompagnement des deux années d'arrérages dues par son frère (1774), jugement condamnant Jean Delagrange (1774), quittance au même (1776), commandement et signification du jugement qui condamne Delagrange, sieur de la Vatelle, demeurant à la Chetardie, paroisse d'Exideuil (1784). - Rente de 15 livres : accord donné par Marguerite de Bord, supérieure, au transfert de la rente à la charge de Maître Jean Guerguine, notaire (1785). - Rente de 12 livres : procès-verbal de saisie des meubles de Marie Pertus, veuve d'Etienne Tardieu, seigneur de Lage-Bonneau, paroisse de Mouzon (1712), acte de vente à Vigneron par Marie Pertus d'une maison et jardin à Mouzon (1718), acte de vente à Jean Boissonnot moyennant une rente seconde de 12 livres au bénéfice des Filles de la Croix (1718). - Rente de 10 livres : signification du jugement qui condamne Jean et Pierre Aucouturier à payer la rente à la communauté (1712). - Rente de 10 livres : contrat de constitution par Louise Béchemeilh, veuve de Jean Tardieu, et ses enfants, au bénéfice des Filles de la Croix (1782). - Rentes de 10 livres et 5 livres : obligation par Jean Michaud (1774). - Rente de 7 livres 10 sols : reconnaissance par Louise Béchemeilh et ses enfants (1782). - Rentes de 7 et 4 livres dues à la communauté par Jean Boissonnot puis ses héritiers, affaire portée devant le juge sénéchal de Chabanais : reconnaissances de rente, assignations à comparaître, copie de jugement, significations de jugements, sommations à payer, défaut donné au procureur des plaignantes (1742-1782). - Rente de 6 livres : reconnaissance par Michel de la Colombarie, laboureur, Jean Aucouturier et leurs épouses, demeurant paroisse de Mouzon (1783). - Rente de 15 sols : constitution par Suzanne Rondeau, de Mouzon, veuve de Léonard Pressignon (1693). - Rente de 12 sols : constitution par Suzanne Rondeau (1694), supplique de la supérieure au juge sénéchal contre Martial de Pressignon, débiteur de la rente (1715).