Louis est très heureux d'apprendre que son frère Marcel soit incorporé dans le 27e bataillon de chasseurs alpins, "troupe d'élite". Il est persuadé que la guerre touche à sa fin en raison de batailles perdues par les allemands dans la Marne et des zones occupées par les troupes russes : "la posture de l'ogre teuton est très critique, sinon désespérée".

Louis donne également des nouvelles de ses blessures : il se sert difficilement de son bras le plus atteint et la convalescence sera longue ; il doit changer d'hôpital car des trains pleins de blessés arrivent chaque jour.