1 et 2. Reconnaissances consenties à l'abbé de La Chaise-Dieu par André Merle, meunier de Combomard, pour un moulin et terres sis audit lieu, au cens annuel de 14 deniers tournois et 7 setiers de seigle (21 septembre 1527). – 3. Vente par Jeanne Yssamas, veuve de Pierre Passelaigue, tailleur de La Chaise-Dieu, à Benoît Chabrier, dudit lieu, de deux près sis à Lozange et aux Chaloux, d'une contenance totale d'une journée et demie, moyennant 13 écus et 20 sous (7 novembre 1585). – 4. Jacques Bonnefoy, lieutenant de l'ouvrerie de La Chaise-Dieu, cède à Peronnelle Yssamas, veuve de Jacques Mayres, meunier de Combomard, un jardin et un pré sis aux Chapuis et reçoit en échange une maison et 4 moulins sis à Combomard (15 juillet 1610). – 5. Accord entre Benoit Chalvon, marchand de La Chaise-Dieu, et Jean Gaydamon, de Combomard, pour la délimitation de leurs terres sises audit lieu (17 février 1615). – 6 et 7. Echange entre Benoit et Jacques Chalvon, marchands de La Chaise-Dieu, avec le susdit Gaydamon, meunier de Combomard, de deux prés sis audit lieu (20 janvier 1620). – 8. Vente par les mêmes Chalvon audit Gaydamon, d'un pré sis à Combomard, contenant 4 charrettées, moyennant 126 livres (24 juin 1620). – 9. Vente par Mathieu de Champse, laboureur de Lavès, audit Gaydamon, de divers tènements sis à Chappe, contenant 6 cartonnées, pour le prix de 10 livres tournois (2 juillet 1626). – 10 el 11. Ventes à Gaydamon par Antoine Chalvon, praticien de Montrecoux, de divers tènements sis audit lieu, pour la somme totale de 950 livres tournois (16 mai 1627-28 avril 1628). – 12. Sentence du sénéchal d'Auvergne ordonnant la vente par expropriation des biens de Maximilien Gaydamon, propriétaire du moulin de Combomard, à la requête de Pierre Faure, son créancier (21 mai 1639). – 13 et 14. Vente par Sébastien Belledier, sieur de Josat, à l'abbaye de La Chaise-Dieu, de 5 annuités échues de ses droits de dîme sur Combomard pour le prix de 80 livres (27 février 1656). – 15-34. Vente à l'audience des criées de la sénéchaussée d'Auvergne séant à Riom, des biens saisis au préjudice du susdit Maximilien Gaydamon et comprenant une maison avec trois moulins, une grange et étable, des prés et champs, le tout sis à Combomard. L'abbaye de La Chaise-Dieu est déclarée adjudicataire au prix de 130 livres (1655-1656). – 35-41. Sentence de l'élection de Brioude ordonnant une réduction de 40 livres sur le principal de la taille de 65 livres 15 sous mise sur le moulin de Combomard (1656-1658). – 42-51. Baux à ferme du moulin de Combomard et des terres adjacentes. En 1657, le produit s'élève à 60 livres argent et 22 setiers de seigle, en 1677, à 97 livres et 30 setiers seigle, et en 1722, à 108 livres et 26 setiers seigle (1657-1722). – 52-58. Etats « des hommes vivants, mourants et confiscants » de Combomard sur lesquels l'abbé de La Chaise-Dieu était en droit de prélever des cens ou des droits de lods au moment de leur décès (1666-1743). – 59. Vente par Maximilien de Myet, seigneur de Muratel, du Merle et de Bénac, demeurant audit Bénac, paroisse de Chanteuges, à Jean Gay, damoiseau, meunier de Combomard, d'un pré et pâturage sis audit lieu moyennant 72 livres (30 septembre 1712). – 60. Ordonnance de l'intendant d'Auvergne prescrivant aux collecteurs de la paroisse de Sembadel de dégrever la taille du moulin de Combomard (5 janvier 1717). – 61-68. Reconnaissances seigneuriales et censitaires faites par les religieux de La Chaise-Dieu pour le moulin et terres de Combomard, avec quittances à l'appui (1738-1775).