SAINT-GERMAIN-SUR-SÉEZ. Requête des habitants de Saint-Germain-sur-Séez sollicitant la confirmation des privilèges et exemptions qui leur avaient été concédés à charge de maintenir praticable la route du Petit-Saint-Bernard (1738).

BOURG-SAINT-MAURICE. Investiture accordée par Aymon, comte de Savoie, à Humbert et Jacquemet de Vilaraimont du lieu des Echines dans la paroisse de Bourg-Saint-Maurice, acte reproduisant le vidimus de la donation de ce lieu, faite en 1237 par Amédée IV, comte de Savoie, marquis en Italie, en faveur de Jean de Bocia et les confirmations consenties par Amédée V, comte de Savoie, en 1290 et 1306, au sujet de la transmission de ce fief à Galiane de Bocia, femme de Jacques de Villaraimont, et auxdits frères de Villaraimont (1330, 13 octobre). Vente consentie en faveur d'Amédée V, comte de Savoie, par Anserme d'Hauteville du quart de la leyde de Bourg-Saint-Maurice moyennant 60 sous forts (1314). Investiture du lieu des Echines accordée par Amédée VI, comte de Savoie, en présence d'Amédée, comte de Genève, son tuteur, en faveur d'Humbert de Villaraimont, damoiseau (1343). Investiture accordée par Amédée VIII, comte de Savoie, avec le consentement de Bonne de Bourbon, comtesse de Savoie, sa tutrice, à Guigues Ravais, chevalier, seigneur de Saint-Maurice, du château et de la juridiction de Bourg-Saint-Maurice (1392, 29 octobre). Concession de Guillaume du Verger, docteur ès lois, qui donne à Jean de Montmayeur le droit de rachat sur des revenus vendus par celui-ci à Bourg-Saint-Maurice (1439). Lettres de rémission accordées par Louis, duc de Savoie, à Hugues de Saint-Jacques et à ses complices, coupables du meurtre de Pierre Bourgeois habitant des Echines à Bourg-Saint-Maurice (1463).

VAL-D'ISÈRE. Confirmation consentie par Amédée VIII, comte de Savoie, duc de Chablais, marquis en Italie, qui déclare que la collation, la commission et la donation des protocoles des notaires de la Val-d'Isère appartiennent bien à Jacquemet de Beaufort, seigneur de la Val-d'Isère, en raison de l'échange consenti en 1310 par son aïeul qui avait cédé le château et la châtellenie de Beaufort contre la terre de la Val-d'Isère (1400, 19 mars).