Lettres de Marie-Jeanne-Rénée de Bombelles, marquise de Travanet, écrites à son frère, le marquis Le 23 août 1782 : « Tu me pardonneras bien, mon cher ami, de ne t'avoir pas écrit plus tôt, quand tu sauras que depuis huit jours, je suis continuellement avec ta femme, et je vais en passer encore huit autres avec Bombon, à Viarmes. Jamais temps n'aura été si délicieusement employé ; aussi, il me paraîtra bien court. Nous allons installer mon héritier présomptif dans la terre qui lui appartiendra, tant que j'existerai. Nous faisons venir le jeune Goëtz, qui nous accompagnera sur le piano ; nous portons aussi nos harpes ; nous jouerons deux petites pièces de madame de Genlis. J'espère que, moyennant ces occupations, la promenade et l'ouvrage, ton ange ne s'ennuiera pas. Bombon aura tout ce qu'il pourra souhaiter, se roulera par terre, sera bien caressé. Il ne manque à tant de bonheur que celui de no pas voir son papa. Que tu es regretté, désiré par toute notre société ! » Lettres du chevalier de Nayac à M. et à madame de Bombelles ; copies des lettres du marquis de Bombelles au chevalier de Nayac.

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Papiers de famille