par Machiane, veuve de Jean Baron, de Pons, en faveur du prieur et des frères de l'hôpital neuf de Pons, de trente sols de rente, assise sur le fief commun, situé dans la paraoisse de Saint-Martin de Pons et sur le fief Fougerat, situé dans la paroisse de Saint-Vivien (avril 1273.V.S.).- Donation à l'hôpital neuf par Marie Reigner, épouse de Pierre Pilet, de tous ses biens (1275).- Ventes par Robert Guichard, fils d'Hélie Pierre Guichard, varlet, de la paroisse de la Jard et de Guilborge, aux prieur et religieux dudit hôpital, d'une culture et droit de domaine appelé la culture du Peyro, située dans la paroisse de la Jard, pour le prix de dix livres, au devoir de cinq quartières de froment de rente (1277) ;- par Hélie Geoffrant, tisserand, et autres habitants de la paroisse de Saint-Vivien, en faveur des religieux de l'hôpital neuf, des deux tiers d'un pré contigu au leur, moyennant cinq boisseaux de froment de rente annuelle (1280) ; - par Pierre Magnyas, aux prieur et religieux de l'hôpital neuf, de sept sols de rente sur une maison sise à Pons, avec tout domaine direct et utile, moyennant soixante sols (1281) ; - par Alexandra, veuve de Guillaume de Huysell (d'Usseau), chevalier, et Constantin Foulcher, chevalier, son fils, aux prieur et religieux de l'hôpital neuf de Pons, de tous ses droits sur la terre de Tochapapot et de Feugesuely (1282) ; - par Hélie Renaud, en faveur du prieur de l'hôpital neuf de Pons, de deux quartières froment, mesure dudit lieu et deux sols de rente que lui doit Guillaume Jocelin, de la paroisse de Berneuil (1284) ; - par Pierre Grignaud et son épouse Almadis, en faveur du prieur de l'hôpital neuf de Pons, de trente sols, moins un denier, un setier froment, une quartière avoine, mesure de Pons, huit poulets, huit oboles, seize deniers et une obole, une poule et huit deniers ou un chapon ou huit deniers de rente affectée sur le lieu appelé Breuil Bozon (1285).- Promesse du prieur et des religieux de l'hôpital neuf au seigneur de Pons de lui abandonner l'hypothèque qu'ils ont de sept livres de rente sur les fiefs de Venteyac, Sorbiers, Champrond et autres lieux, au cas qu'il affecte ladite rente de sept livres sur d'autres biens situés dans la châtellenie de Pons (1287, n.s.).- Testament de Hélie d'Auribeau, par lequel il donne à l'hôpital neuf, dix livres de rente (17 août 1286).- Vente par Marie Dupuy et Guillaume Meynard, son gendre, en faveur de Ramnulfe Sarradoisne, prieur de l'hôpital neuf, de deux sols de rente affectés sur une maison qui confronte avec celle dudit acheteur (1286).- Hélie Rudel, seigneur de Pons et de Montignac, prescrit aux religieux de l'hôpital neuf la façon de percevoir les droits qui leur sont dus au jour de foire qui se tient tous les ans auprès dudit hôpital (1287, n.s.).- Vente faite par Pierre Ferrand, écuyer, de Pons, de trois boisseaux de froment de rente à lui due par les enfants d'Elie de Villeneuve, à cause d'une terre sise dans le petit fief (19 avril 1286).- Gombaud Ganencs consent au legs fait par Bertrand de Veyreyre, en faveur de l'hôpital neuf, de six sols de rente, assise sur un verger situé dans la directe dudit Gombaud, et cède, en outre, audit hôpital dix-huit deniers de rente qui lui sont dus par les tenanciers dudit verger (1288, n.s.).