Document d'archives : L'arrière est le second front

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Le Cantal a vécu loin du front, mais les échos et les conséquences de la guerre y sont sensibles. Le rationnement des denrées de première nécessité, même dans un département rural, s'est fait sentir. Contrôle des prix mais salaires qui stagnent ont conduit à des mouvements de grèves. En 1917, l'exaspération est à son comble et Aurillac connaît une émeute.
Les Cantaliens ont vu affluer les réfugiés, populations habitant sur le front. Ils ont vu les prisonniers et les blessés soignés dans les hôpitaux temporaires. Tous ces événements marquent la population qui pensent à ceux qui sont sur le front.
Les femmes doivent remplacer les hommes dans tous les métiers : usines d'armement, travaux des champs.

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