L'été 1968 est présenté dans ce court-métrage comme une transition : la cote, mal aimée hier, est devenue aujourd'hui un lieu de farniente où il fait bon vivre. Le rôle de l'Etat à l'origine du projet "cyclopéen" d'un coût de 800 millions de Francs y est mis en exergue. Le film présente les gros travaux d'aménagement dévolus à l'Etat (assainissement des étangs, démoustication, construction des routes, aménagement des canaux...), les équipements des stations à la charge des collectivités locales ainsi que les constructions immobilières confiées au secteur privé. On y voit un panorama des différents types d'habitats, des avantages des services de proximité implantés dans les stations (Point-Zéro à La Grande-Motte) ainsi que les activités de loisirs pratiquées : yachting, équitation, etc... Le film véhicule les images classiques des vacances et des loisirs. Il évoque également les cités historiques comme Béziers, Aigues-Mortes ainsi que l'arrière-pays.