Albert Abadie, est un ancien carreleur, sacristain et éleveur à la retraite. Dans ce premier entretien, il dresse une fresque des us et coutumes de la vie à Viger des années 1950 à nos jours.

[00.00.00] Présentation de l'entretien

[00.00.29] Ses activités artistiques : sculpture, dessin (fusain), bâtiment et travail du bois.

[00.00.58] Explication du blason de Viger : les trois corneilles

[00.01.58] L'agriculture de montagne, la pénibilité, particularité de la vallée de Batsurguère

[00.02.35] Le caractère des habitants

[00.02.55] L'importance de la famille en Batsurguère

[00.03.12] La désertion des jeunes qui partent de la vallée : histoire de son oncle en Amérique.

[00.05.18] La région close, la circulation difficile et la langue (le patois).

[00.06.19] Les conditions de circulation : la route, le vélo, la marche.

[00.07.46] Les « break » (charrettes)

[00.08.11] Les ardoisiers

[00.08.27] Les femmes qui vont chercher le bois dans la montagne

[00.09.14] L'eau potable dans la vallée, l'obligation de creuser des puits.

[00.10.20] Les cafés et la boisson

[00.10.42] La lessive

[00.11.10] L'électricité

[00.11.55] La tour de guet

[00.13.10] Les maisons, et sa maison : les conditions de vie de l'époque

[00.14.32] Les conditions de vie des paysans, et le manque de terre.

[00.15.48] La vie de son frère : de l'Algérie à la ferme de Viger

[00.17.05] Son départ de la ferme

[00.17.32] Son métier dans le bâtiment

[00.18.11] Sa vie de sacristain à Lourdes

[00.18.47] Sa retraite, les cours de dessin, sa vie d'artiste (fusains et livre sur la paysannerie)

[00.20.38] Les chants

[00.21.24] La difficulté des paysans de l'époque avec les terrains de montagne : les terrains en pente.