Document d'archives : Mauriac (1815-1904) (1), Maurines (1838, 1853-1861, 1877-1899), Maurs (1818, 1831-1835, 1849, 1856-1862, 1880-1896), Méallet...

Titre :

Mauriac (1815-1904) (1), Maurines (1838, 1853-1861, 1877-1899), Maurs (1818, 1831-1835, 1849, 1856-1862, 1880-1896), Méallet (1824-1835, 1884-1903), Menet (1838, 1853-1865, 1874-1899), Mentières (1881, 1893), Moissac (section de Neussargues à partir de 1872, 1834-1842, 1869) (2), Molèdes (1839, 1849, 1858, 1895-1902) (3), Molompize (1873, 1899, 1903), Monselie (La) (section d'Antignac de 1824 à 1870 ; 1881-1904), Montboudif (1846-1847, 1859, 1864, 1880-1903) (4), Montchamp (1867, 1893), Monteil (Le) (1905), Montgreleix (1865, 1872-1876), Montmurat (1833, 1850, 1872-1903), Montsalvy (1820, 1828, 1835-1844, 1851-1865, 1878-1901), Montvert (1857, 1878-1904), Mourjou (1833-1835, 1889), Moussages (1822, 1876-1894), Murat (1913-1925, 1833-1844, 1854-1905).

Cote :

1 V 25

Inventaire d'archives :

Série V

Observations :

Commentaire
(1) Quelques renseignements sur les curés de Mauriac : en 1822, Charles de Douhet d'Auzers est nommé vicaire général à Amiens ; un petit dossier (1841-1845) concerne Jean Vidal, agréé comme vicaire général en 1845 ; sur Pierre Virbonnet, nommé chanoine en 1851, le préfet écrit au ministre que "les tendances qu'on lui suppose le rangeraient dans l'opinion légitimiste" (8 novembre 1851) ; en 1893, nomination à la cure de Mauriac de l'abbé Raymond (Antoine), directeur du cercle militaire catholique d'Aurillac, et rapport du commissaire de police sur cette association et sur l'action de son directeur.
(2) Au sujet du desservant, le sous-préfet écrit que "ses opinions extrêmes en politique ne peuvent se concilier avec celles toutes dévouées du maire à la monarchie constitutionnelle de juillet" (4 avril 1834).
(3) En 1849, le vicaire devient curé de Guelma (Algérie).
(4) Le maire informe le sous-préfet que le desservant de Montboudif, contrairement d'ailleurs aux prescriptions épiscopales, a lu et commenté en chaire la lettre-circulaire de l'évêque "défendant aux pères sous peine de damnation de laisser à leurs enfants les livres d'instruction morale et civique condamnés par la congrégation de l'Index". Plutôt que de leur laisser lire ces livres, aurait ajouté le desservant, il faut retirer les enfants de l'école (5 mars 1883).

Type de document :

Document d'archives

Archives départementales du Cantal

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