M. Dulac compte trois parties à un enterrement traditionnel : la messe (ou le bistrot pour ceux qui ne voulaient pas entrer à l'église), le cimetière, puis le repas en famille. Durant cette phase, on parlait du défunt, de sa vie, de manière souvent drôle, comme s'il n'était pas mort. M. Dulac estime que l'on avait une perception et une compréhension différente de la mort, et de son poids. Les enfants étaient, jusqu'à 10 ans, tenus à l'écart de ces questions, même si on laissait une certaine liberté à chacun.