Document d'archives : Saint-Urcize (1835-1843, 1861-1905), Saint-Victor (1838, 1852-1860, 1896-1905), Saint-Vincent (1822-1826, 1833-1834, 1876-1901),...

Titre :

Saint-Urcize (1835-1843, 1861-1905), Saint-Victor (1838, 1852-1860, 1896-1905), Saint-Vincent (1822-1826, 1833-1834, 1876-1901), Sainte-Anastasie (1860-1903), Sainte-Eulalie (1834-1839, 1856, 1869, 1893-1895), Sainte-Marie (1835-1838, 1859-1894), Salers (1829, 1836-1842, 1854-1863, 1878-1897), Salins (1852, 1885-1903), Salvetat (La) (section de Saint-Mamet à partir de 1844) (1832), Sansac-de-Marmiesse (1874-1879), Sansac-Veinazès (1838-1839, 1850-1857, 1883-1901), Sarrus (1873-1882), Sauvat (1893-1904) (1), Ségalassière (La) (1861-1862), Ségur (1833-1835, 1858-1863, 1881-1899) (2), Sénezergues (1849-1864, 1883, 1901), Seriers (1865, 1893-1897), Siran (1833-1841, 1852, 1870, 1896-1899) (3), Soulages (1834, 1870, 1897-1901), Sourniac (1850, 1893, 1905).

Cote :

1 V 32

Inventaire d'archives :

Série V

Observations :

Commentaire
(1) Informé que la commune de Sauvat demande un vicaire, l'évêque fait savoir qu'il ne peut lui donner satisfaction, vu le petit nombre de prêtres dont il dispose. Il ajoute : "Cinquante vicaires au moins sont sans titulaires dans mon diocèse, et le nombre de vacances croît d'année en année, celui des nouveaux prêtres comblant rarement les vides causés par la mort ou les infirmités" (9 juin 1895).
(2) L'inspecteur primaire signale que le desservant "a fait une tournée dans sa paroisse pour inviter les parents à envoyer leurs jeunes filles au couvent. Entre autres moyens d'intimidation, il a été jusqu'à menacer de ne point admettre à la première communion les jeunes personnes qui ne fréquenteraient pas l'école libre des religieuses. C'est là une manoeuvre déloyale dont le seul but est de détruire l'école laïque pour annexer au couvent la classe communale des filles" (18 octobre 1881).
(3) Le père du vicaire de Siran, bijoutier à Pleaux "est loin de faire aujourd'hui les affaires qu'il faisait autrefois...; il travaille fort peu de son état, soit parce que la bijouterie est tombée dans les petites localités, soit à cause du mauvais état de sa santé...; cette famille, qui s'est vue autrefois dans l'aisance, est aujourd'hui dans la gêne" (le maire au préfet, 29 juin 1852).

Archives départementales du Cantal

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