FRANÇOIS FAURIE
Historique du soldat
(informations extraites du registre matricules des Archives départementales de Corrèze, R1383, volume 3 du bureau de Tulle)

Etat civil
Né le 23 Juillet 1881 à Chamberet, canton de Treignac, département de la Corrèze.
Fils de Barthélemy FAURIE et de Marie DUTEIL
Profession : perruquier, cordonnier en 1901.
Marié à Léonie BESSETTE
Profession en 1914 : travaille avec sa femme comme domestique chez Mr et Mme Dubos à Montlhéry (au 16 rue de la Chapelle).
Il a trois enfants qui sont en Corrèze.

Services
Numéro matricule : 1120.
Signalement
Tailles : 162 cm, front plat, yeux bruns, nez légèrement épaté, bouche moyenne et visage rond.
Degré d'instruction : 3 (sait lire, écrire et compter).

Il est incorporé le 16 Novembre 1902, arrivé au Corps et soldat de 2e classe le dit jour. Envoyé en congé le 23 Septembre 1903. Certificat de bonne conduite accordé. Il est au 14e Régiment d'Infanterie.
A accompli une 1re période d'exercices dans le 100e régiment d'infanterie du 26 août au 17 septembre 1909.
A accompli une seconde période d'exercices au 300e régiment d'infanterie du 12 au 23 juin 1910.

Campagnes pour l'Allemagne :
Intérieur du 13/08/1914 au 02/09/1914.
Armées du ?? Du 03/09/1914 au 24/09/1915.
Intérieur double (blessé) du 25/09/1915 au 25/09/1916.
Intérieur simple du 26/09/1916 au 01/03/1917.

Rappelé à l'activité par ordre de mobilisation le 1er août 1914. Arrivé au corps du 100e régiment d'infanterie le 13 août 1914. Parti aux armées le 3 septembre 1914. Disparu le 11 septembre 1914. Rejoins la compagnie le 24 septembre 1914.
Evacué blessé le 25 septembre 1915 au combat dans les tranchées de St Thomas.
Entré à l'hôpital de Montluçon le 28 septembre 1915.
Entré à l'hôpital de Vichy du 8 juin 1916 au 9 septembre 1916.
Centre de réforme à Périgueux le 1 mars 1917. Réformé temporairement. Pour arthrite sèche du genou gauche avec problème jambe conséquence d'une blessure par éclats d'obus

Il a une pension d'invalidité permanente (10%). Il reçoit une gratification de 200 Francs par décision ministérielle du 09/09/1917. Notifié le 25/09/1917.  Classé service auxiliaire maintenu en gratification renouvelée par la commission de réforme de Versailles du 25 avril 1918 pour parésie légère de la jambe gauche et du pied, par névrite peu accentuée du sciatique XXXXX externe du tibia postérieur et laryngo-pharingite chroniques.
Envoyé en congé illimité le 28 mai 1919.                

Il est libéré du service militaire le 15 octobre 1930.

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