Document d'archives : Carnet de Théodore Reinach

Contenu :

Manuscrit et sans date, le carnet a probablement été rédigé lorsque Théodore était jeune élève officier, dans les premières années de la Troisième République. Il y consigne notamment, au fil des pages, un historique de l’artillerie, un précis de fabrication des cartouches, la représentation géométrique de la marche d’un projectile long, des statistiques militaires, la technique du canon de 95 mm (et des détails sur le canon de 90mm). Le carnet comprend en outre un texte en morse et de nombreux dessins, plans et croquis.

Cote :

S/RES/0816

Informations sur l'acquisition :

Le présent carnet est issu d’un don effectué par André Honnorat, alors Sénateur, le 3 juillet 1939 et enregistré sous le numéro 27343. Ce don comprenait alors :
- une « Bibliographie de Salomon Reinach » (sans plus de précision)
- une copie de la biographie du Larousse du XXème siècle de Joseph Reinach (complétée par son petit fils)
- l’ouvrage de Cagnat Notice sur la vie et les travaux de Théodore Reinach
- un document intitulé « Théodore Reinach (1860-1928) »
- le carnet de Théodore Reinach
- l’ouvrage de Camille Meillac Débâcle ou Résurrection ?

Description :

Mise en forme :
A son arrivée, le don fut fractionné. Le carnet disparut. Les autres articles furent enregistrés sous des cotes diverses. On peut retrouver aujourd’hui l’ouvrage de Meillac en O pièce [20843], la copie manuscrite du Larousse, les pages rédigées par Cagnat et le document intitulé « Théodore Reinach » (une notice biographique de Paul Jamot), en Q pièce, respectivement [3767], [3769] et [3770], la « Bibliographie de Salomon Reinach », en réalité la somme de Seymour [Montefiore Robert Rosso] de Ricci, en Q [4330]. Le carnet de Théodore Reinach, frère cadet de Joseph et Salomon, réapparaît en décembre 2004 au 5bis. Une fiche cartonnée, glissée dans l’étui du carnet, « ce carnet n’a aucun rapport avec les conférences d’Etat-Major » indique qu’il a été conservé, plusieurs décennies durant, avec une liasse de documents pédagogiques issus de l’Ecole Supérieure de la guerre, aujourd’hui classée sous la cote [F delta 1871/1-4] et qui lui était effectivement étrangère.

La Contemporaine

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