Document d'archives : Série du Périer

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38-372, cliché n° 11 : la montagne et les chalets de la Selle. « E » : emplacement de la baraque projetée pour 1894. 1893.
38-373, cliché n° 12 : le torrent du Tourot (venant du canton de la Selle, formant la belle cascade de Confolant). Hauteur de la chute d'un seul jet : environ 70 m ; volume d'eau : environ 80 litres à la seconde. En dehors de la série du Périer. DOUVIER, 1893.
38-374, cliché n° 13 : le canton de la Selle, les chalets de la Selle et la baraque forestière construite en 1894. Altitude : 2000 m. Vue d'ensemble. « T » partie supérieure du Torrent du Tourot. « t t » : les sources du Tourot (torrent passant ensuite au Périer). « G » : chalets de la Selle. « B » : la baraque forestière à droite a été construite en 1894. Les chalets (3 bâtiments) ont été construits en 1885 ou 1888 (selon les légendes) par l'adjudicateur de la chasse M. de LAFARGE. Essences : plantations de mélèzes et pins à crochets, de 3 à 10 ans. Altitude : baraque, environ 2000 à 2600 m. exposition : ouest. Terrain : granitique. Sols : sablonneux, siliceux, peu profond. DOUVIER, 1894.
38-375, cliché n° 14 : le ravin de l'Issart, en amont du point 8 ou 9 (selon les légendes) du levé de 1894. « I » : ravin de l'Issart. « S » : sentier. DOUVIER, 1894.
38-376, cliché n° 15 : Le cône de déjections et le commencement du canal d'écoulement du torrent du Dourdouillet. La rivière torrentielle de la Malsanne coupe à angle droit le torrent du Dourdouillet et est rejetée sur les terres en culture de sa rive gauche par les déjections amenées par les crues du Dourdouillet. Le Dourdouiller présente cette particularité assez rare que son bassin de réception, son lit et ses berges sont formés par des terrains primitifs arbitraires : granites, syénites, gneiss, micaschistes. Son cône est de faible étendue, mais il a une pente suivant sa génération médiane (suivie par les torrents), exceptionnellement forte, 35 à 40 pour cent ; il y a peu de cônes, en France, ayant une si forte pente en égard de l'importance du torrent lui-même qui, partant d'environ 2500 m d'altitude se jette dans la rivière de la Malsanne à la côte 820, après un trajet d'environ cinq kilomètres.
Altitude : inférieure à 820. Exposition : est. Sol : Le cône est formé de matériaux arrachés au bassin de réception et surtout au lit et aux berges du cours moyen du torrent du Dourdouillet. Le terrain en place, tout à fait en bas du cône, appartient à la formation liasique ; dès la naissance du cône se trouve des formations primaires : grès, micaschiste, gneiss, qui se continuent jusqu'à la partie supérieure du bassin de réception (montagne du Quaro, altitude maximum, 2610 m). Le terrain formant les berges et le lit de la partie moyenne et basse du Dourdouillet est d'origine discuté (boues glacières, déjections anciennes, dépôts lacustres ?). En tout cas, ce sont des terrains sablonneux entremêlés de cailloux et de blocs, par conséquent très hygroscopiques et facilement affouillables.
« C » : cône de déjections du Dourdouillet. « G » : sa gorge. « M » : cours naturel de la rivière de la Malsanne, à la suite de la crue du Dourdouillet en juillet 1894, qui l'a rejetée sr sa rive gauche. « m » : lit antérieur de la Malsanne. « - - - «  lit projeté (rectifié) du Dourdouillet. « l » :lit actuel du Dourdouillet. « F » : forêts communales du Périer. DOUVIER, 1894.
38-377, cliché n°16 : le cône de déjections du torrent du Dourdouillet vu de profil, pour montrer sa très forte inclinaison. « C » ; cône du Dourdouillet. « M » : la rivière de la Malsanne. « F » : forêt communale du Périer. DOUVIER, 1894.
38-378, cliché n° 17 : vue d'ensemble du canton du Vallon et de la vallée du Tourot, ainsi que de la commune du Périer. « V » : canton du Vallon. « I » : Ravin de l'Issart. « F » : forêt communale du Périer. « E » : Eglise ruinée du Périer. « e » : nouvelle église et village du Périer. « C » : château féodal ruiné. « R » : route d'Entraigues au col d'Ornon par le Périer. « p » : rocher du Palletaz (2300 m d'altitude). « t »Vallon du torrent du Tourot. « S » : canton de la Selle. « s » : point le plus haut construit à l'entreprise de 1894 ; il permet de se rendre du Vallon à la Selle en partant au dessus de la Palletaz. « P » : village du Périer. Altitude de la route : 840 m. DOUVIER, 1894.
38-379, cliché n° 18 : le nouveau cône formé en 1893 et 1894 par le ravin de la Combe Piolante, destruction de la route du Périer au col d'Ornon, et déplacement du lit de la Malsanne qui passe par la route. « C » : cône de déjection. « M » : emplacement en 1893 de la rivière torrentielle de la Malsanne, avant formation du cône. « R » : route d'Entraigues au col d'Ornon par le Périer, coupée et en partie submergée par la Malsanne. « P » : ravin de la combe Piolante. DOUVIER, 1894.
38-380, cliché n° 20 : vue d'ensemble du canton du Vallon. Berton, 1891.
38-381 : vue d'ensemble de la partie sud du canton de la Selle et le rocher dit de la « Grande Eglise », prise des chalets de la Selle (voir la vue n° 91). DOUVIER, 1895.
38-382, cliché n°29 : le canton de la Selle et le rocher de Palletaz. « T » : terre-plein vis-à-vis les chalets de la Selle. « ۷ »: rocher du Palletaz, altitude : 2225 m. « C » : M ; le conservateur des forêts BARTHELEMY. DOUVIER, 1895.
38-383, 38-384 et 38-385, cliché n° 36, 37 et 38 : Vue d'ensemble d'une partie de la Série du Périer. Sise sur la gauche de la vallée de la Malsanne, altitude supérieure à 2800. « - - - - » : limite inférieure et latérale de la série , au dessus, ce sont les crêtes à l'horizon qui font limite. « S » : canton de la Selle (partie). « C » canton des Chétives. « R » : canton Rame. « ۷ » : sommet des Chétives, altitude : 2920 m. « ۷ ۷ » : sommet à 2660 m d'altitude. « ۷ ۷ ۷ » : le pic Vert, altitude : 2557 m. « e » : rocher de la Grande Eglise, altitude : 2160 m. « ۷ ۷ ۷ " : rocher de la Selle, altitude : 2647 m. « F » : forêt communale du Périer. « r » : rampe en dessous du rocher du Palletaz (terrains particuliers). « P » : ferme de la Peyre. « t » : torrent du Tourot. « S » : sentier du Confolant-haut aux chalets de la Selle. « a » : altitude de 1400 ou 1600 m environ (selon les légendes). DOUVIER, 1895.
38-386, cliché n° 39 : vue d'ensemble de la Montagne de la combe de l'Issard. « C, C' » : ravins de la Combe de l'Issard. C'est dans ce ravin C' qu'ont été construits les seuils en 1895. « S » : sentier venant du hameau de l'Issard. « S' » : sentier longeant les précipices du torrent de l'Issart et allant aux granges de Confolant (qui se trouvent en dessous du point où la vue a été prise). « T » : gorge au fond de laquelle coule le torrent de l'Issard, dont les ravins de la Combe de l'Issard sont les affluents. « t » : terre-plein des granges supérieures du Confolant - haut, altitude : 1700 m. « ۷ " : altitude : 2139 m. « I » : ravin principal de l'Issard ou la Combe de l'Issard. « r » : branche secondaire. « b » : barrage n° 4, construction en 1895. au fond des rampes marquées « T » (majuscule en cursive à distinguer du T en script) : le torrent de l'Issard, dont le bassin de réception n'est pas visible. DOUVIER, 1895.
38-387, cliché n° 40 : le ravin de la Combe de l'Issart et les seuils de 1895 en construction. « R » : ravin de la Combe de l'Issard. « b » : le barrage n° 4 en construction. « b 1 » : feuille du barrage n°3. « b 3 » : fouilles du seuil n° 3. « b 4 » : seuil n° 4 en construction. « S » : sentier venant du hameau de l'Issart (voir la vue n° 24. DOUVIER, 1895.
38-388, cliché n° 41 : vue panoramique de la vallée du Tourot, du Périer, de la vallée de la Malsanne et de la vallée de la Bonne, prise des chalets de Confolant-Haut. « G » : granges de Confolant-Haut. Altitude : environ 1700 m. « F » : forêt communale du Périer. « T » : vallée du Tourot. « M » : rivière de la Malsanne. « P » : village du Périer. « B »: rivière et et vallée de la Bonne. « D » : torrent du Dourdouillet (série du Périer, partie). « Db » : bassin de réception du Dourdouillet (série du Périer, partie). « E » : montagnes d'Entraigues. « V » : montagne de l'Etillier (Valbonnais). « ۷ » : altitude : 1386 m. «  ۷ ۷ » : altitude : 2202 m. « b » : montagne de Beaumont. « '' » : altitude : 1481 m. « O » : Mont-Obion, altitude : 2793 m (à 24 km à vol d'oiseau). « C » : montagne de Chatel près Mens, altitude : 1942 m. « S » : chemin du Périer à Confolant-Bas. « S' » : sentier du Périer au hameau de l'Issard. « r » : route d'Entraigues au col d'Ornon par le Périer. DOUVIER, 1895.
38-389, cliché n° 42 : vue d'ensemble de la vallée et du village du Périer. « T »:torrent du Tourot, dont le bassin de réception (dans les brouillards) fait partie du périmètre. « M » : rivière de la Malsanne. « C » : cascade de Confolant. « ch » : château ruiné. « e » : vieille église ruinée. « F » : forêt communale du Périer. « p » : pépinière temporaire ardée en 1896. DOUVIER, 1896.
38-390, cliché n° 43 : vue d'ensemble de la partie basse et moyenne du Dourdouillet avant la construction des barrages (années 1896. Altitudes : inférieures, environ 1200 m. Commencement des éboulements de berges, environ 1600 m. Exposition : Est. Sol : les berges sont d'origine géologiques discutables, mais sont constituées par des sables fins à base de silice, entremêlés des graviers et d'un petit nombre de blocs généralement de faibles dimensions ; elles sont par conséquent éminemment affouillables et susceptibles de décapement très actif. Les bois [de] feuillus sont d'essence [d']hêtre et existent [depuis] des temps immémoria[ux], de même que les résineux, presque tous d'essence [de] sapin.
Plateau au dessus du canal  d'écoulement très incliné : 1900 m. sommité : 2700 m. DOUVIER, 1896.
38-391, cliché n° 44 : Digue de dérivation du torrent du Dourdouillet, construite en 1896. Le torrent du Dourdouillet, dans la partie de son cours peu en pente situé à l'aval de son haut bassin de réception, à la suite d'une crue assez faible a quitté son lit séculaire et s'est jeté brusquement vers la gauche, allant s'engouffrer dans un pli du terrain creusé dans la forêt communale et regroupant ensuite son ancien lit. Dans son trajet, à travers les terrains très meublés et profondément affouillables de la forêt, il devait nécessairement se creuser un lit profond et large et amener le départ d'une masse énorme de matériaux.
On a obturé cette divagation du torrent au moyen d'une digue longitudinale constituée par un mur de maçonnerie de pierres sèches emplacé le long de la rive gauche ancienne du torrent avec une forte levée des terres de l'autre côté du mur pour consolider ce mur.
Jusqu'à ce jour (1905), le torrent n'est pas parvenu à franchir ni à détruire cette digue, qui a coûté fort peu de chose, de telle sorte que son lit a été convenablement fixé par ce moyen sans qu'aucune autre construction (barrage, etc) ait été nécessaire.
Altitude : 1620 ou 1900 m (selon les légendes).
Exposition : est.
Sol : en place, gneiss et micaschistes, thalweg du torrent : sables, graviers et blocs de médiocres dimensions transportées par le torrent, lors des crues dues aux orages. DOUVIER, 1897.
38-392, cliché n° 45 : torrent du Dourdouillet. Région moyenne. Barrages 10 à 13 construits en 1896. « D » : torrent du Dourdouillet. « b 10 » : barrage n° 10. « « b 11 » : barrage n° 11. « b 12 » : barrage n° 12. « P » : vallée du Périer (de la Malsanne). « F » : forêt communale du Périer. Temps de brouillard et pluie à 9heures du soir. DOUVIER, 1896.
38-393, cliché n° 46 : vue d'ensemble de la partie de la série sise sur la rive gauche de la Malsanne. Cantons du vallon, de la Selle, de la Chétive et de Rame. DOUVIER, 1897.
38-394, cliché n° 52 : torrent du Dourdouillet. Le barrage n° 30 construit en 1898, le chenal rocheux en construction à son amont et les barrages construits au dessus en 1897. DOUVIER, 1898.
38-395, cliché n° 76 : le cours moyen et inférieur du torrent du Dourdouillet en 1899 et partie de son bassin de réception. Cette vue est la même que celle n° 94 mais avec les barrages et le chenal dans le rocher exécutés de 1896 inclus à fin 1899. Comparer avec la vue n°43. DOUVIER, 1899.
38-396, cliché n° 77 : vue d'ensemble du bassin supérieur de réception du Dourdouillet et des sommités voisines.
Le haut du cours moyen du torrent du Dourdouillet et partie de son bassin de réception, avec les barrages exécutés de 1896 inclus à fin 1899. DOUVIER, 1899.
38-397, cliché n° 78 : chenal de dérivation du torrent du Dourdouillet creusé dans la roche : après sa construction en 1899. Le canal est achevé, l'eau du torrent y passe. Jusqu'à ce jour (1905), il a parfaitement rempli le but poursuivi. Voir la vue n° 30.
Cette vue a été prise en 1899 du même point de vue que la vue n° 3 de la série prise le 5 octobre 1898.
Le chenal rocheux terminé. Comparer avec la vue n° 52. DOUVIER, 1899.
38-398, cliché n° 79 : vue d'ensemble du grand massif (à gauche de la vallée de la Malsanne), de la série du Périer, comprenant les cantons de l'Issard, du Vallon, de la Selle, des Chétives, de Rame, … Altitude maxima de cette partie de la série : 3000 m. DOUVIER, 1899.
38-399, cliché n° 87 : torrent du Dourdouillet. Région moyenne et inférieure. Vue prise du même point de vue que celles n° 43et 76 (altitude : 1375 m). DOUVIER, 1900.
38-400, cliché n° 88 : vue de la vallée du Périer, du Torrent, etc. DOUVIER, 1900.
38-401, cliché n° 464 : ruisseau du Vallon, barrages avariés en 1909. Portion de lit à remplacer par un chenal. HULIN, 1909.
38-402, cliché n° 502 : arrachement à la partie inférieure de la berge du Dourdouillet, traité par des cordons et des murs de retenue. HULIN, 1910.
38-403, cliché n° 559 : chenal complété en 1909 dans le Dourdouillet. HULIN, 1911.
38-404, cliché n° 572 : jeunes plantations au canton de la Selle. HULIN, 1911.
38-405, cliché n° 573 : jeunes plantations au canton de la Selle. HULIN, 1911.
38-406, cliché n° 602 : chenal ouvert dans le rocher (torrent du Vallon). CROPSAL, 1911.
38-407, cliché n° 611 : la déchirure sous les Surres, traitée par des cordons. CROPSAL, 1911.
38-408, cliché n° 627 : plantations au canton du Vallon, vue prise du bas de la série. HULIN, 1912.
38-409, cliché n° 628 : chenal rocheux du Vallon (ouvert en 1910) ; débouchés aval ; ancien lit sur la droite (filet d'eau). HULIN, 1912.
38-410, cliché n° 629 : chenal rocheux du Vallon (ouvert en 1910. Vue d'ensemble. HULIN, 1912.
38-411, cliché n° 630 : le canton de Rame. Dislocations du lias. Corniches de neige. HULIN, 1912.
38-412, cliché n° 631 : au canton de la Selle, jeunes plantations saccagées par les glissements de neige. HULIN, 1912.
38-413, cliché n° 632 : pâturages communaux au dessus de la « Grande Eglise ». HULIN, 1912.
38-414, cliché n° 634 : le Haut-Dourdouillet. Murettes d'appui. HULIN, 1912.
38-415, cliché n° 637 : lit du Dourdouillet à hauteur de la baraque. HULIN, 1912.
38-416, cliché n° 636 : baraque et haut bassin du Dourdouillet. HULIN, 1912.
38-417, cliché n°637 : dans le bas Dourdouillet. Effet divaguant des murettes plates. HULIN, 1912.
38-418, cliché n° 638 : peuplement d'érables sycomores spontanés au canton de Rame (1750 m). HULIN, 1912.
38-419, cliché n° 790 : la déchirure sous les Surres. Progrès de l'embroussaillement. HULIN, 1913.
38-420, cliché n° 797 : le chenal du Dourdouillet. HULIN, 1913.
38-421, cliché n° 798 : le chenal du Vallon à la traversée du chemin. Epi et cordons 1913. HULIN, 1913.
38-422, cliché n° 799 : jeunes plantations (20 ans) au canton du Vallon (pins à crochets et mélèzes). HULIN, 1913.
38-423, cliché n° 819 : pin à crochet et pin cembre [cembro] de 20 ans de plantations (environ). HULIN, 1913.
38-424, cliché n° 820 : peuplement spontanés de pins à crochets et aulnes verts (1850 m). HULIN, 1913.
38-425, cliché n° 821 : le haut du bassin de réception du torrent du Touret. HULIN, 1913.
38-426, cliché n° 822 : les pâturages communaux du Périer vus du col du Quaro (2500 m). HULIN, 1913.
38-427, cliché n° 827 : vidange de bois au Périer. HULIN, 1913.
38-428, cliché n° 52 : vue d'ensemble de la partie de la série du Périer située immédiatement à droite des chalets de a selle (vue n° 51. « A' » : altitude : 2858 m (rocher de la Selle) d'après la carte d'état-major. « A » : altitude d'environ 2200 m. DOUVIER, 1893.

Cote :

20170381/28

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