PERISSAC : Combret (Vve Jeanne), née Fourcaud : legs de 2 000 F à la fabrique (1830-1833) ; Guillorit (Guillaume) : legs universel à la commune (1860-1864) ; Sudre (André) : legs de 600 F à la fabrique de l'église (1867-1868) ; Grugier (Jean) : legs de 1 000 F à la fabrique de l'église (1885) ; Bouteruscle (Marie), née Grugier : legs de 11 500 F à la fabrique de l'église (1889) ; Gervais (Jean) : legs de 1 000 F à la fabrique de l'église (1889-1893) ; Livran (Jeanne-Delphine) : legs d'un terrain et de 4 000 F à la commune (1902-1906) PESSAC : Vignes (Hugues) : legs de 200 F aux pauvres (1835-1836) ; Patin (Vve Marie), née Boucau : legs de 1 000 F à la fabrique de l'église (1856-1858) ; Larigaudais (Marc) : legs de 500 F à la fabrique de l'église (1863) ; Loustau (Vve Jeanne), née Rivereau : legs de 100 F à la fabrique de l'église et de 500 F à la société de secours mutuels (1865-1900) ; Roux (François-Prosper-Numa) et Dejean (Jean et Anne, née Laurens), époux : legs de deux terrains à la fabrique de l'église (1864-1866) ; Vivey (Pierre) : legs de deux obligations de la Compagnie du chemin de fer du midi à la commune (1877-1878) ; Jaubert (Vve Jeanne), née Gaulhet : legs de 20 000 F aux pauvres de la commune, 8 000 F à la commune et de 1 500 F chacun aux sociétés de secours mutuels Saint-Martin et Saint-Marc et à la société musicale Saint-Martin (1878-1884) ; Drilholle (Etienne) : legs universel à la commune (1888) ; Gombault (Marie), née Royer : legs de 2 000 F au bureau de bienfaisance et de 112 F de rente à la fabrique de l'église (1890).