Document d'archives : Bail de la levée de la taille, moyennant 11 deniers par livre. Reliure des compoix, au prix de 7 livres. Défense de chasse dans...

Titre :

Bail de la levée de la taille, moyennant 11 deniers par livre. Reliure des compoix, au prix de 7 livres. Défense de chasse dans les vignes avec des chiens. Réparations au bassin de la fontaine de la place. Allocation de 120 livres aux capucins qui ont prêché le carême pendant deux ans, et 180 livres aux habitants de la R. P. R. pour les aider à payer les gages du sieur Rossel, ministre. Arrêt du conseil d'état et lettres patentes du roi, ordonnant qu'à l'avenir les consuls et conseillers du Vigan seront tous catholiques (20 novembre 1679). Inventaire des meubles et réparations de l'hôpital. Plaintes contre le porteur des dépêches de Nimes au Vigan et son remplacement. Procès avec le sieur Arboux, jadis receveur de la viguerie. Enchères pour faire les portes, fenêtres, et cheminées de la nouvelle maison-de-ville. Procès avec M. de Bonnelz, créancier du sieur Guichard, prieur du Vigan. Vente d'une coupe de bois-taillis, appartenant à l'hôpital. Pain fourni aux pauvres de l'hôpital. Nomination de deux horlogers, aux gages de 30 livres par an, à partager entr'eux. Plaintes contre le sieur Gaston, griffoulier. Enregistrement de la « nomination d'Antoine Villaret en qualité de marguillier et questeur dans l'église St-Pierre du Vigan pour la réédemption des esclaves entre les malins des Turcs » (V. autre nomination du même, BB,8). Nomination de l'avocat de la communauté. Nomination d'un 2e valet des consuls « aux gages de 45 livres par an pour chacun des deux, à la charge de se faire faire chacun un manteau, où seront mises les armes de la ville ». Surcharge du compoix. Procès au sujet de la prétendue nobilité du château de la Valette. Remboursement des frais de logement des prisonniers espagnols. Difficultés avec certains créanciers de la ville. Picotte des troupeaux des bouchers. Dégâts causés par la grêle aux grains, raisons et olives (1680). Nomination de 3 garde-terres « aux gages de 10 livres chacun du mois d'août à la Toussaint ». Projet de changement du griffoul des faubourgs

Contenu :

Présentation du contenu
Etablissement de gardes pour éviter les désordres durant la foire, « aux gages de 30 sols par jour ». Bail à ferme de la cave, au-dessous de la chambre de l'hôpital. Recherche et liquidation des titres et droits de la confrérie Sainte-Croix, Charité, et autres droits appartenant aux pauvres. Arrestation et conduite de 2 voleurs à Nimes. Etablissement d'un bureau des messageries et suppression du porteur de Nimes au Vigan (1680). Concussions du fermier de la boucherie. Nomination di 1er consul par ordonnance du roi (1681). Prédicateur du carême aux gages de 60 livres. Mobilier de la nouvelle maison-de-ville. Réparations au chemin de Montpellier, entre la Roque-Aynier et St-Bauzille-du-Putois. Réparations aux poids et mesures de la ville. Achat d'une trompette pour les publications. Rachat de l'office d'auneur et marqueur de drap de la viguerie. Accomodement de divers procès. Soins donnés à un malde étranger. Nomination du chirurgien de l'hôpital, aux gages de 18 livres. Nomination de collecteurs au forçat. Recherche du sieur Charles de Rousset, décrété de prise de corps. Prétentions à des préséances du sieur Jacques Daudé, sieur de la Coste, nommé juge de la ville, et procès à ce sujet. Droits de lods de partie de la maison-de-ville, réclamés par le prieur. Députations aux états de la province. Production de titres contre la nobilité de la Valette. Arbitrage du procès avec le sieur de Cauvelle, au sujet du pré de la communauté. Logement des troupes. Nomination du greffier consulaire. Allocation de 500 livres par an aux habitants de la R. P. R. pour le droit qu'ils peuvent avoie sur la cloche, qui est à la tour de l'horloge, ou sur les matériaux qui ont été employés à la construction de la halle et maison-de-ville. Gages du médecin de la ville. Insultes et voies de fait par le sieur de Ginestous-d'Argentières, viguier, et la dame de Miral, sa femme, contre le premier consul de la ville dans l'exercice de ses fonctions et plaintes du conseil de la ville à ce sujet. 2cluses faites par des particuliers au canal de la fontaine pour arroser leurs prés. Peste du bétail (1682). Procès avec le sieur de Frézals-Beaufort. Nomination d'un procureur des pauvres. Défense de laisser entre du vin étranger dans la ville avant la Magdeleine. Pavage de la rue des Capucins (aujourd'hui du Tribunal). Augmentation du prix de la viande vendue à la boucherie. Députation pour complimenter le duc de Noailhes. Feu de joie pour la naissance du duc de Bourgogne. Contrôleur de la viande de boucherie. Fourniture de médicaments aux pauvres. Auditoire pour les officiers royaux. Banc des consuls à l'église. Montre solaire de la tour de l'horloge. « Charge est donnée au vicaire d'instruire les enfants catholiques, leur apprenant à lire, écrire, l'arithmétique et le latin, aux gages de 200 livres par an, à parir du lundi 8 mars 1683 ». « Proposition de bailler à locaterie perpétuelle la métairie des pauvres située à Mandagout ». Etablissement d'un registre pour les mercuriales. Mesures prises pour faire vendre le sel à petite mesure. Police du cimetière. Les consuls sont sont obligés de faire une visite officielle au sieur Daudé, juge, sous peine de 25 livres d'amende. Arbitrage du procès avec Moïse Guiraud. Arbitrage au sujet des dépens du procès avec le sieur Daudé, juge. « Secours à Pierre Agulhon, cordonnier, qui a longtemps servi le public fort utilement et sans intérêt, principalement à accomoder les dislocations et fractures tant de la ville que de la viguerie ». Sonnerie de la retraite à 10 heures du soir. Nomination d'un chirurgien catholique, pour le service de l'hôpital en remplacement du sieur Charles de Portalès, qui est de la R.P.R. (septembre 1683). « Nomination d'un hospitalier catholique, pour servir les pauvres de l'hôpital, aux gages de 11 livres, qui seront prises sur la rente perpétuelle que Pierre Béniquet fait aux pauvres, de la métairie appelée les Faïsses qui appartient aux pauvres de la présente ville, à la charge de l'hospitalier de servir les pauvres tant sains que malades et enterrer les morts gratis qui n'auront moyen de payer leur fosse et les catholiques en payant ». Pension annuelle de 120 livres pour l'établissement d'un couvent de religieuses qui auront soin d'élever et enseigner gratis les petites filles de la ville. Feu de joie pour la naissance du duc d'Anjou. Nomination d'un horloger catholique pour la conduite de l'horloge de la ville. Indicateurs pour la visite des chemins des Cévennes. Charles Portalès est nommé chirurgien de l'hôpital, en remplacement de Seguin qui a quitté le pays. Nomination d'un régent d'écoles, aux gages de 150 livres par an. Etat des tours et autres bâtiments fortifiés dans l'étandue de la viguerie. Feu de joie pour la prise de la ville de Luxembourg. Pavage de la rue du Gua (aujourd'hui du Tribunal). « Maisons abandonnées par beaucoup de familles, à cause du logement des genes de guerren qui sont actuellement dans la présent ville depuis environ 15 mois et par conséquent le commerce est un peu interrompu » (Décembre 1684). Revenus de la métairie des pauvres retirés par les consuls à l'exclusion du consistoire, et distribués par lesd. Consuls sur les indications du sieur Barral, vicaire. « Allocation de 60 livres aux religieuses de N.D. Qui sont depuis peu cloitrée en la présente ville et qui ont été obligées de faire de grandes dépenses pour l'acaht d'une maison ou pour les réparations qu'il y a fallu faire pour s'y loger commodément, lad. Allocation devant servir à faire une classe pour les petites filles ; et la pension de 120 livres, que la communauté leur fait, commencera le jour de le Noël dernière » (1684). Augmentation du nombre des conseillers (janvier 1685). Nomination d'un 2me médecin pour la ville, « aux gages de 150 livres par an pour chacun d'eux ». « Demande de délogement des 5 compagnies du régiment de Fustemberg, envoyées en quartier depuis hier, 8 novembre 1685, en la présente ville pour être logées chez les habitans de la R.P.R. Par ordre de monseigneur le duc de Noailhes, et lesd. Habitans ayant par un effet de la miséricorde divine connu l'erreur dans laquelle ils auraient vécu, la plus grande partie ont fait abjuration de lad. R.P.R. Et embrassé la religion C.A. Et R. ». Anthoine Pintard s'étant converti à la R.C.A. Et R., est renommé horloger. Suppression du teneur de l'archimbelle pour la chair. Députation pour demander la construction de l'église paroissiale (février 1686). « Ordre aux habitans de donner avis au vicaire (curé) et principaux habitans de la ville s'il se fait des assemblées (comme il s'en est déjà fait dans les Cévennes, composées tant de fugitifs que nouveaux convertis, parmi lesquels il y a des ministres et prédicans inconnus), afin qu'on y courre sus, et ceux qui en auront connaissance et n'en donneront pas avis, seront déclarés complices et procéès leur sera fait suivant la rigueur des ordonnances du roy » (mars 1686). Demande de décharge des absents, qui sont les ci après nommés : « Jean de Lautal, sieur d'Espériès ; François Faventines, fils de feu autre, fils unique ; Mres Jean Valat, Pierre Durant, avocats ; Pierre Aigoin, Jacques Roussy, Gabriel Aubac, Gabiel Villeméjane, François Huc, le fils ainé de Jacques Lescques chapellier, Jacques Desmonts teinturier, Rolland et autre Rolland Angely chantres, Pierre Arman, Jean Guiraud, Jean Poujol chapellier, Jean Gaches cordonnier, Pierre Martin dit Delaurié, Lévy Planchon, Pierre Rolland dit Fy, Pierre Lecques fils d'autre chapellier, David Couronne, la femme du sieur de Rouvignac (Jean du Poujol sieur de Rouvignac), et Marie Armand fille de feu Nathan Armand, tous figitifs pour cause de religion ». Remboursement de la dépense du logement des dragons. « Casuel du vicaire et secondaire, fixé à 150 livres par an, moyennant quoi ils ne pourront exiger aucune chose des habitans pour les baptesmes, mariages, etc., les habitans de Gaujac, Coularou et Lespigarié étant compris comme ceux de la ville dans cet accord fait avec le vicaire ». « Les magasiniers de blé sont tenus de vendre le blé aux habitans en prenant seulement 6 derniers parcarte de profit de l'achapt à la vente ». « Renouveau » du fief du bénéfice. Réparations du chemin d'Alzon. Fourniture de fourrages aux troupes logées en ville. Opposition à l'agrandissement de l'église et demande qu'on en construise une nouvelle. Fixation de la tenue des foires à la Condaminme et aux Chataignets, alternativement chaque année. Poursuites contre Mizac Flavier fils, pour coups et blessures à un employé de la communauté. Changement de la fontaine du faubourg. « Dénonce faite par le R.P. Séraphin, gardien du couvent des capucins, qu'il se faisait des assemblées les dimanches et fêtes, pendant l'office divin, dans des maisons particulières de cette ville, à la rue du Pont, dans lesquelles on faisait des prières et chantait des pseaumes en la manière que les huguenots avaient ci-devant accoutumé de faire dans leurs temples » (1686). Assemblée faite dans la maison de Marie Parran, veuve du Sieur Tournaire, composée de 12 personnes, dénoncée par Françoise Bertrand. Feu de joie pour la naissance du duc de Berry. Comptes, délibérations et autres actes concernant l'administration que le sieur Pierre Durant, avocat de lad. Ville, qui est sorti du royaume, avait fait en qualité de syndic des habitans de lad. Ville, qui faisaient alors profession de la R.P.R., à raison du logement des troupes par eux soufferts, retirés par un député de la communauté. Assemblée tenue au lieu de la Calm, paroisse de Roquedur, où M. de Boisvert, capitaine de dragons, en garnison au Vigan, est tué, et le sieur des Granges, son frère et son lieutenant, blessé à mort (octobre 1686), à la suite de laquelle il est « délibéré de faire toutes les diligences possibles pour découvrir les personnes qui peuvent d'être trouvées présentes à cette assemblée et faire courre sur les coupables pour les arrêter prisonniers et leur faire faire leur procès ». (L'information sur cette assemblée, dont il est fait mention dans les délibérations de toutes les communes des environs du Vigan, amena l'arrestation de 23 personnes, dont 11 étaient du Vigan ou la paroisse. Par divers jugements rendus le 12 octobre 1686, 5 hommes et 3 femmes furent condamnés à mort et exécutés sur la place publique, aujourd'hui place du marché, au Vigan — Archives de l'Hérault, C. 163 et 165. Fonds de l'intendance). Commission de commis à l'inspection des manufactures (datée de Versailles le 8 janvier 1686, signée « Louvois ». Désapprobation des assemblées et protestation de zèle pour la religion C.A. Et R., suivies d'une délibération portant que « pour prévenir les assemblées, chaque chef de famille répondra en son propre nom de tous ceux qui sont sous sa direction soit parents ou domestiques, tant pour les empêcher se se trouver dans aucune assemblée où il se fasse autre exercice que de la religion C.A. Et R., que pour les obliger à faire journellement toutes les fonctions de véritables catholiques ». Délibération par laquelle « les principaux habitans s'engagent et se chargent d'empêcher à l'avenir qu'on tienne des assemblées et se rendent responsables en leur propre {nom} de la conduite de tous les particuliers habitans de lad. Ville, etc., de veiller les uns en l'absence des autrtes sur la conduite des habitans pour les porter à assister aux offices divins, à fréquenter les sacrements, envoyer leurs enfants aux instructions, etc. » Processionet messe solennelle pour remercier Dieu de la conversion des habitans à la religion C.A. Et R. Etablisement d'un « surveillant, aux gages de 12 livres 10 sols pour 6 mois, pour contraindre les enfants à venir au catéchisme et empêcher qu'ils n'y manquent point les jours marqués, ramasser lesd. Enfants et les mener à l'églie aux heures dud. Catéchisme, auquel le surveillant devra assister pour contenir lesd. Enfants dans la modestie et châtier tant ceux qui n'y auront pas assisté que ceux qui ne se seront pas comportés sagement ». Emprisonnement de l'entrepreneur de la bâtisse de l'église de Montardier et de sa caution ». Abandon d'un casal de maison à M. Daudé, juge, sur l'offre qu'il fait d'en payer les tailles à l'avenir. « Etablissement d'un bureau de charité pour le secours des pauvres, composé de M. le vicaire (curé), MM. Les viguier, juge, lieutenant de juge, procureur du « roy » et consuls, qui demeureront directeurs-nés, outre lesquels ont été nommés unanimement et seront changés tous les trois ans, les sieurs Faissat père et fils, de Lautal, Combescure, Valmale, Liron-d'Airolle bourgeois, Mres Arboux et Finiels, avocats, M. Lapierre médecin, les sieurs Delacour, Cassagnes et Roussy » (1687). Charroi de planches du « Bout-de-Coste-de-Navez » à Saint-Hippolyte. Etablissement d'un maître-d'école ecclésiastique, aux gages de 220 livres par an et le logement », en exécution d'une ordonnance de l'intendant « Delamoignon » du 18 octobre 1687. Fourniture du logement et mobilier dud. Maître d'école. Réparations à la maison d'habitation de l'abbé de Meretz missionnaire. Nominations de surveillants et patrouilles chaque nuit pour empêcher les assemblées. Compliments de civilité à M. l'abbé de Saulx, nommé évêque des « Sevennes » (d'Alais) (1688). Cimetière de ceux de la R.P.R. Consacré pour servir en remplacement du cimetière catholique, situé derrière l'église, devenu trop petit. Présent de vin, gibier et poisson à l'évêque d'Alais. Désir exprimé par le roi qu'on plante partout des mûriers. Arbitrage par les sieurs de Boucaud, président, et de Vignes, procureur général en la cour des aydes, du procès au sujet de la nobilité du domaine de la Vitgière (aujourd'hui la Valette) appartenant à M. Daudé, juge, par lequel arbitrage « il est jugé que les fins de non-recevoir allégués par la communauté étaient pertinentes, en justifiant par un préalable le payement de 30 années de tailles avant l'instance, qui remonte à l'année 1616 ». Maladie contagieuse à « Saint-Genieix-de-Ribedor ». Règlement pour la tenue des foires alternativement à la Condamine et aux Chataignets (1688). Difficultés avec laParoisse, au sujet du logement des troupes. Registre des enchèrers de la communauté (DD,18). Feu de joie et réjouissances pour le procès des armes du roi sur les bords du Rhin. « Rondes et veilles journalières de 8 personnes, pour veiller à ce que des prédicants, qui rodent dans le pays, ne fassent des assemblées (1688). « Hôtes et cabaretiers, obligés de porter tous les soirs, à l'hôtel de ville, par écrit, les noms de tous les étrangers qui arriveront chez eux, sous peine de garnison de dragons ». Nomination consulaire par ordonnance de l'intendant (1689). Biens des fugitifs dont leurs fermiers se sont emparés. Droit d'équivalent pour le vin vendu à pot renversé. Refus de faire un compoix cabaliste. « Dumas, maître-écrivain, résident à Gaujac, est obligé de venir au Vigan pour continuer d'apprendre à la jeunasse à écrire et l'arithmétique, moyennant 50 livres de gages par an et il lui sera permis de prendre 15 sols tous les mois de chaque écolier ». Fourragement des foins par les dragons. Députation aux états. Répartition de la somme de 168 livres, imposés sur les nouveaux-convertis pour l'ustensile des soldats du régiment de la milice. Guides pour les troupes qui passent. Feu de joie pour les victoires des armées du roi sur terre et sur mer. Lit de camp du corps de garde. Feu de joie pour la victoire de Fleurus. Nomination des consuls par ordonnance de l'intendant (1691°. Réparations au four. Nomination d'un valet des consuls. « Instructions pour les consuls des lieux d'étape (décembre 1690). Tables, V.BB, 2. Notaires cités dans le registre : Arman « Estienne », notaire au Vigan (1679-1706), dont les minutes sont en grande partie dans l'étude de Mre A. Sarran, notaire au Vigan, les 4 registres de 1683-1689, sont dans l'étude du notaire d'Aulas, et 2 registres 1689-1695 et 1695-1706, sont dans l'étude de Mre Ferrier, notaire au Vigan. Begon (André), V.BB,8. Caulet (Jacques), notaire au Vigan, dont les minutes sont en l'étude de Mre A. Prade, notaire au Vigan, moins le registre de 1698-1699, qui est dans l'étude Ferrier. Delaval (Guilhaume), notaire au Vigan (1681-1706), dont les minutes sont en l'étude Sarran. Parran (Moïse), notaire au Vigan (1692-1700), chez Mre Ferrier. Parran (Charles) V.BB,6. Randon (Louis) V.BB,5. Unal (Pierre), notaire à Avèze (1671-1674), dont le seul et unique registre est en l'étude d'Aulas. Consuls : 1680, François « Carrieyre », avocat et « Estienne » Salze, marchand ; 1681, noble « Anthoine » de Girval, gouverneur des pages de la petite écurie du roi et « Estienne » Salze, marchand ; 1682, Pierre de Guichard, sieur du Tour, docteur-ès-droits et « Anthoine » Lautal, marchand ; 1684, Jacques Liron, avocat et « Estienne » Portalès, boulanger ; 1685, Laurent Venturin, docteur-ès-droits et Jacques Caulet, notaire royal ; 1686, noble « Henry » de Brun, sieur du Molarte et Pierre Roussi fils, marchand ; 1687, Louis Faissat, médecin et « Anthoine » Lautal, marchand ; 1688, noble Jean de Rousset, sieur de Valmale et Abraham Delacour, marchand ; 1689, noble « Henry » de Ginestous, sieur d'Argentières et Jacques Saubert, marchand ; 1690, Louis Faissat, médecin, devenu aveugle, il est remplacé par « Guilhaume » Finiels, licencié-ès-droits et Jacques Saubert, marchand ; 1691, Jean Arboux et Jacques Caulet, notaire. Table des arrêts du conseil d'Etat, ordonnances, etc., transcrits dans le registre.

Cote :

E dépôt 141/10

Informations sur l'acquisition :

Historique de conservation :
Historique de la conservation
BB 9

Description physique :

Description physique: (Registre) In-8°, 300 feuillets papier.
Registre
Registre: Oui

Personnes ou Institutions :

commune du Vigan

Archives départementales du Gard

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