LA FACE DU CHRIST - D'APRÈS L'EMPREINTE DU SAINT SUAIRE - Exposé à Turin en 1808 - (PHOTOGRAPHIÉE à L'ÉLECTRICITÉ) - En 1452, la comtesse Marguerite de Charny ayant remis à la fille de - Jean II roi de Chypre, Anne, épouse de Louis duc de Davoie, l'image du - Saint-Suaire que son grand-père Geoffrroy Ier de Charny (mort en 1356) avait - donnée à la collégiale de Lirey (Aube), cette précieuse relique fut déposée - dans la Sainte-Chapelle de Chambéry jusqu'en 1578, où elle fut transportée - à Turin pour ne plus revenir en Savoie. - Cette photographie n'est pas mise dans le commerce. - Je certifie qu'elle - est sans aucune retouche. - Albert METZGER - de l'académie de Savoie. (recto). « Que rapelle ce Suaire à jamais vénérable - orné, en caractères de sang, de glorieuses empreintes - lorsqu'il enveloppa et reçut à la descente de la croix - le corps de Jésus ? - Il rapelle les douleurs atroces - que le Christ, le Rédempteur du genre humain, - prenant en pitié la chute d'Adam, a souffertes en - détruisant la mort. - Le côté ouvert par le fer de la - lance, les mains et les pieds percés de clous, les membres - déchirés de verges, et la couronne d'épine enfoncée - dans la tête se montrent dans cette image. - Quelle - âme pieuse pourrait considérer. L'Oeil sec et sans - avoir le coeur brisé, cette peinture vive et fidèle d'une - mort si cruelle ? - O Jésus, puisque nos pèchés - seuls ont été la cause de tant de souffrances, notre vie - tout entière vous est due : nous l'avons compris, et, - cette vie même, nous vous l'avons vouée. » (Extrait de - l'hymne des vêpres de la fête du Saint-Suaire). - Nous vénérons, Seigneur, votre Linceul, - Nous célèbrons votre très sainte Passion. - (Avec la permission de l'Ordinaire). (verso)

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