M. Grimal restitue des souvenirs anciens de sa grand-mère, et en premier lieu l'histoire d'un enfant qui ne voulut pas aller à un repas de noces car il estimait qu'avec la couenne il avait suffisamment. M. Grimal se sert de cette histoire pour dire que la vie n'était pas facile autrefois. Il parle de son arrière grand-père qui acheta la ferme, mais s'endetta à tel point que la grand-mère de M. Grimal ne voulut pas que son fils aille au Crédit Agricole, à cause du mauvais souvenir qu'elle gardait de son père qui remboursait à chaque premier de l'an son prêteur. Ainsi, la famille vendait ce qu'elle produisait, même le produit de leur chasse, et buvaient de la piquette pour vendre leur vin. Il était toutefois possible à l'époque de s'acheter un tracteur avec l'argent d'une seule récolte de prunes, et il y avait moins de taxes. M. Grimal estime que les anciennes générations ont beaucoup travaillé pour les nouvelles.