L'informatrice décline son parcours de vie personnel (les endroits de Marseille où elle a habité), scolaire, professionnel et militant, puis précise celui de ses parents. Elle évoque le rôle primordial de sa mère dans la transmission de l'histoire familiale, de la cuisine ou encore la forte présence de la religion. Elle relève souvent le fait d'être resté un peu en dehors de la communauté arménienne. L'informatrice explique ensuite sa prise de conscience de cette histoire, son apprentissage de la langue arménienne et sa recherche d'informations. Elle insiste sur le rôle de son fils aîné dans cette quête, très intéressé par ses origines, ainsi que celui de son mari français. Elle raconte enfin son engagement militant, entre autre pour la cause arménienne (commémorations du génocide, participation financière à la création du mémorial de Dzidzernagapert) et évoque ses divers voyages en Arménie.