Quicherat ( Étienne Joseph). — Né à Paris (XIIe) le 15 octobre 1814 ; mort à Paris (VIe) le 8 avril 1882. — Entré en 1834, élève pensionnaire en 1835, archiviste paléographe en 1837. — Chargé de mission par le ministre de l’Instruction publique [catalogage des manuscrits de la bibliothèque d’Arras] (1841). Chargé de mission par le ministère de l’Instruction publique [catalogage des manuscrits des bibliothèques de Charleville et de Metz] (1842). Attaché aux travaux historiques du ministère de l’Instruction publique. Employé aux travaux historiques de la Bibliothèque royale. Répétiteur (1847) puis professeur (1849) à l’École des chartes, chaire d’archéologie du Moyen Âge. Directeur de cette École (1871). — Membre du Comité des travaux historiques et des sociétés savantes, section d’archéologie (1858). Membre du Comité des travaux historiques et scientifiques, vice-président de la section d’archéologie. Membre du Conseil supérieur de l’Instruction publique. Membre de la Commission des archives départementales. Vice-président de la Commission des monuments historiques. Membre de la Commission du catalogue général des manuscrits. Membre de la Commission des voyages et missions. Membre résidant de la Société nationale des antiquaires de France (1845). Expert au procès Libri (1848). Président de la commission chargée de réviser le programme de l’enseignement de l’histoire dans les lycées de la République (1848). Cofondateur (1839) puis président (1849) de la Société de l’École des chartes. Vice-président de la Société de l’histoire de France. Membre du Conseil d’administration de la Société de Sainte-Barbe. — Prix Jean Reynaud (1880) à l’Académie des inscriptions et belles-lettres. — Chevalier (1847) puis officier (1880) de la Légion d’honneur. Officier de l’Instruction publique. –– BÉC, t. 43 (1882), p. 155-164, 267-268 et 316-360. JulesScolarité à l'École des chartes.Carrière professionnelle. Fonctions. Prix. Distinctions.Sources.