Sylvain Gagnière fait état, dans un premier temps, des progrès de la science en préhistoire : possibilité de recomposer le paysage préhistorique par l'étude la faune et de la flore, mise en place de typologies, développement de la "palethnographie". Il insiste particulièrement sur les nouvelles méthodes de fouilles (association du système de ccordonnées cartésiennes à la stratigraphie) et en dégage les spécificités propres à la recherche en préhistoire (nécessité d'être plusieurs sur le terrain, de s'allier à d'autres disciplines pour les conclusions...). Il évoque ensuite le métier de préhistorien et la formation à suivre, pour terminer sur le déroulement administratif d'une fouille (démarches à accomplir). Il donne enfin plusieurs exemples de chantiers (Grotte de la Baume Bonne dans le Verdon, Grotte de Lorquis près de Montpellier, diverses découvertes en Avignon), et du rôle de l'archéologue lors de sauvetages suite à des chantiers de construction (nécropole dans le Gard). La dernière partie de la conférence consiste en un commentaire de diapositives qui n’ont pas été conservées avec l’enregistrement.

Sylvain Gagnière est enregistré par un preneur de son inconnu dans un lieu inconnu (04)