Livre journal 1830. Administration des biens provenant de la succession de Mr André Charles François Mercier du Rocher, registre de 232 p. [À la p. 231 : « Tous les papiers coupés étaient blancs sans aucune annotation, 8 mars 1949, Mme Vve Bounaud (?), héritière de Monsieur Ernest Brisson »]. - Copies manuscrite et dactylographiée du1er cahier de mon journal. Table alphabétique. Plusieurs combats de la Vendée et relations avec les généraux des deux partis, 1793, Montaigu, 26 p. manuscrites et 15 p. dactylographiées - Copie manuscrite duDeuxième cahier. Suite de mon journal, rédigé à Fontenay. Ce cahier contient les événements qui ont eu lieu dans la Vendée, depuis le commencement de l'an IV de la République (1796) jusqu'à l'arrivée du préfet Le Faucheux en cette ville de Fontenay, le 11 germinal de l'an VIII (1800). Ce sont des notes pour servir de matériaux aux Mémoires que j'écris sur la guerre de Vendée, 16 p. et 96 p. manuscrites -Placard Le Quinio, représentant du peuple aux citoyens de la Vendée, des Deux-Sèvres et de la Charente-Inférieure, Saintes : chez Michel Mareschal, an II, 1 p. - Original et copie de laVie du duc d'Olonne, mort et enterré à Fontenay-le-Comte en bas Poitou au mois de juillet 1777, par André Charles François Mercier du Rocher, témoin oculaire d'une grande partie des faits de l'histoire du duc d'Olonne, comme ayant été de la société de cet homme, cahier de 16 p. manuscrites [original] et 60 p. manuscrites - Note de L. Merle : « La majeure partie des papiers Mercier du Rocher se trouvaient entre les mains de son arrière-petit-fils, M. Brisson, ancien juge au tribunal de Fontenay-le-Comte, retiré à Loge-Fougereuse (Vendée). Ces papiers, après avoir été consultés par un très grand nombre d'érudits et notamment par Chassin ont été partiellement cédés à la bibliothèque de Nantes. M. Brisson conservait néanmoins en sa possession 6 cahiers où Mercier du Rocher avait noté au jour le jour les événements dont il avait été le témoin. Comme il avait la dent dure, son descendant ne tenait pas à ce que ces papiers fussent publiés. Une circonstance très particulière m'a permis, au décès de M. Brisson, de faire prendre copie de tous les documents qui restaient entre les mains de la famille de Mercier du Rocher. J'ai colligé les papiers avec les originaux. J'ai même commencé à les recopier en vue d'une publication ultérieure. »