Inventaire d'archives : AV - Fonds Périphérie

Contenu :

Ce fonds regroupe les productions audiovisuelles des différentes structures (association, sociétés de production) qui se sont succédées ou superposées et qui constituent l'histoire de Périphérie. Les entrées se sont étalées sur plus de 20 ans et sont amenées à se poursuivre. Au total, le fonds Périphérie regroupe un ensemble de près de 8000 supports audiovisuels. Il se compose de supports vidéo, audio et films (pellicules film 16mm et 35mm). Les supports vidéo sont majoritairement des cassettes Umatic (BVU et SP), Betacam (Oxyde, SP) et DVCam. Il faut également signaler la présence de bandes vidéo (2 pouce, 1 pouce ). Cet ensemble considérable reflète la diversité des activités de Périphérie.
Le fonds est constitué en premier lieu par des films de création (documentaires, fictions court et long métrage) qui représentent en volumétrie la partie plus importante du fonds. Il s'agit soit de films produits ou coproduits par les deux sociétés de production soit de films ayant bénéficié de l'aide à la création apportée par l'association depuis sa création en 1983. Si un certain nombre de films ont été intégralement produits par Périphérie production et Périfilms, pour la grande majorité les deux sociétés de production ne sont intervenues que de façon minoritaire et surtout par le biais d'une aide technique. Parfois l'aide de Périphérie ne s'accompagnait pas d'une formalisation sous la forme de coproduction, ces films relèvent alors de l'aide à la création. Cette aide à la création se fait sous la forme de moyens techniques de montage et d'accueil dans les locaux. À partir de novembre 2003, elle prend la forme d'un dispositif intitulé « Cinéastes en résidences ». Parmi les films de création, il faut également citer les documentaires qui relèvent de l'éducation à l'image. Ces actions sont réalisées le plus souvent dans le cadre de partenariat avec d'autres associations implantées sur le territoire de la Seine-Saint-Denis telles que Citoyenneté et jeunesse, Fondation 93 mais aussi Imaginem, une association créée par des réalisateurs et des producteurs. Par ailleurs, Périphérie est partenaire de sociétés de production pour la réalisation de films tournés notamment dans le cadre de l'éducation à l'image.
Le fonds rassemble également un nombre important de productions audiovisuelles à caractère institutionnel rassemblant principalement des commandes du Conseil général parmi lesquelles l'ensemble des magazines "L'antenne est à nous" montés et diffusés à l'antenne ainsi que des épreuves de tournage. On trouve également des reportages et documentaires destinés à promouvoir la politique départementale dans les domaines relevant de la compétence du Département (collèges, aide sociale à l'enfance, protection sanitaire de la famille, aménagement de l'espace et équipement) mais aussi consacrés au fonctionnement du Conseil général et destinés à la communication interne. Il faut également signaler la présence de plusieurs films de communication commandés à Périphérie production et Périfilms par d'autres institutions.
Le fonds contient également des enregistrements sonores réalisés dans le cadre des « Rencontres du cinéma documentaire » ainsi que des montages d'extraits de films réalisés dans le cadre des cycles de tables rondes "Histoire d'un film, mémoire d'une lutte" et "Vies prolétaires" organisées en partenariat avec les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis.
Enfin, les différentes entrées contiennent des documents audiovisuels qui ont été conservés dans les locaux de Périphérie suite à des collaborations dans le cadre d'une aide au montage ou de collaborations avec des réalisateurs mais sur lesquelles Périphérie n'a pas participé à la production ou n'a pas fourni une aide à la création. Certains de ces films sont entrés aux Archives départementales par la volonté de cinéastes qui ont vu dans Périphérie un moyen de sauvegarder et conserver des documents audiovisuels tels que des épreuves de tournage qui sinon, risquaient de disparaître.
Le fonds Périphérie est intéressant à plus d'un titre. Dès son origine, l'association a revendiqué sa volonté de se développer et de mener son action sur le territoire de la Seine-Saint-Denis. Cet ancrage se manifeste dans la volonté de ses dirigeants, Jean-Patrick Lebel et Claudine Bories, de constituer une mémoire audiovisuelle du territoire et de ses habitants. Citons par exemple l'ensemble composé par les épreuves de tournage du projet intitulé « La mémoire et les images en Seine-Saint-Denis ». Grâce au développement de la vidéo portable Jean-Patrick Lebel décide de filmer des habitants de la Seine-Saint-Denis sur leurs lieux de résidence ou de travail. Ces épreuves de tournage ont aboutit à la réalisation de plusieurs documentaires notamment sur l'histoire du camp d'internement de Drancy ou sur la grêve de 1982 à l'usine Citroën d'Aulnay-sous-Bois. Le documentaire tient par ailleurs une place prépondérante dans l'activité de Périphérie production/Périfilms et de l'association que se soit par la production de films dont certains ont été primés lors de festivals et diffusés à la télévision ou dans le cadre de son activité d'aide à la création. Il en découle une grande diversité de thèmes abordés qui portent sur l'histoire de la banlieue parisienne et plus généralement sur l'immigration, la culture, l'éducation et les questions sociétales. Ce fonds apporte également un témoignage sur la construction d'une politique de communication institutionnelle d'une collectivité territoriale amenée à prendre une place prépondérante dans l'aménagement et l'administration du territoire après le vote des lois de décentralisation en 1982 et 1983. À partir de 1984, Périphérie produit des reportages et documentaires sur la politique et le fonctionnement du département de la Seine-Saint-Denis. En particulier, le magazine « l'Antenne est à nous » constitue une véritable novation en matière de communication institutionnelle. Rares sont les collectivités à s'emparer dès le début des années 1980 de la vidéo pour en faire un outil de communication à destination des administrés. Sur ce point Périphérie propose une approche originale en produisant un magazine qui exploite les progrès liés au développement de la vidéo légère depuis la fin des années 1970. Ce fonds témoigne enfin de la vitalité du département dans le domaine de la création audiovisuelle. Cette vitalité se manifeste notamment par un réseau actif de salles de cinéma indépendantes travaillant en partenariat avec Périphérie mais aussi par la promotion de la création cinématographique au travers du travail d'éducation à l'image dans diverses institutions telles que les collèges, les crèches et bien d'autres. En conclusion, soulignons qu'en plus des films montés, Périphérie a déposé l'ensemble des épreuves de tournage des films qu'elle a produit ou coproduit. Il s'agit à l'origine de documents de travail et à ce titre ils ne bénéficient souvent pas de la même attention que les films montés. Ces épreuves de tournage constituent pourtant des documents d'archives à part entière puisqu'ils sont uniques et pour une part inédits. Ils offrent tout d'abord un vision exhaustive du travail de l'équipe de tournage permettant ainsi de mieux saisir le processus de création dans toute sa complexité. De plus, bien que certains ont été écartés lors du montage, les épreuves de tournage constituent pour les chercheurs une source d'informations particulièrement intéressante.

Cote :

AV

Publication :

Département de la Seine-Saint-Denis / Direction des services d'archives
2018
54 rue du Président Salvador-Allende
93000 BOBIGNY

Informations sur le producteur :

Périphérie association
Périphérie Production
Périfilms
L'association Périphérie a été créée en 1983 par Jean-Patrick Lebel et Claudine Bories. Elle est issue de l'Unité audiovisuel de la Maison de la culture 93, elle même créée en 1974. L'association Périphérie a également donné naissance à une société de production dénommée Périphérie production puis Périfilms.
En 1966, le projet de Maison de la culture 93 voit le jour. Il prévoit un centre dramatique national et d'autres unités couvrant le champ de la musique et des arts plastiques, ainsi qu'une maison de l'image, unité de réalisation et d'animation de productions audiovisuelles. Cette "unité audio-visuel" voit le jour en 1974. Dirigée à l'origine par Yves Durandeau, cette structure possède trois missions : l'éducation par l'image, la diffusion et l'aide à la création.
 En 1983, la structure de l'atelier audiovisuel de la MC 93 évolue pour devenir une association indépendante qui prend le nom de Périphérie afin de trouver des financements pour développer la création. Mais cette évolution découle avant tout de la volonté de la puissance publique de créer en Île-de-France deux centres régionaux de création cinématographique (CRCC). Une convention entre la région Île-de-France et le Ministère de la culture est signée fin 1983 et l'association Périphérie, regroupant les membres de l'atelier audiovisuel de la MC 93 ainsi que des membres issus de atelier audiovisuel du théâtre de la Commune à Aubervilliers (Claudine Bories), voit le jour. Cette association a pour mission affirmée la création audiovisuelle ; n'apparaissent plus les missions de diffusion et d'animation autour du cinéma. Elle est toujours hébergée dans les locaux de la MC 93 et bénéficie du financement de la région et de l'État. L'Unité audiovisuelle de la MC 93 disparaît et ses moyens matériels sont dévolus à la nouvelle association. De son côté, la MC 93 devient uniquement un centre de création théâtrale.
 Pour mener à bien sa mission de création audiovisuelle et obtenir des financements supplémentaires, les membres de l'association créent en 1984 une société de production sous forme de SARL dénommée Périphérie Production.
 A partir de 1985, la région Île-de-France puis le Ministère de la culture se retirent du projet de CRCC mais Périphérie Production poursuit ses activités grâce à la décision du Conseil général de la Seine-Saint-Denis de subventionner l'association Périphérie et de commander des films de communication sur l'action de la collectivité à Périphérie Production dont un magazine mensuel intitulé « l'Antenne est à nous » et diffusé sur FR3 (Espace 3). Philippe Troyon entre alors à Périphérie en tant que responsable technique, chargé notamment de la réalisation plateau du magazine.
 En 1986, Périphérie s'installe dans de nouveaux locaux à Bobigny, développe son équipe et investit dans des équipements de tournage et montage vidéo. Le rythme mensuel du magazine « l'Antenne est à nous » laisse peu de temps aux autres projets de création mais les moyens financiers dégagés permettent d'accueillir des films en montage, d'en produire ou coproduire d'autres.
 L'année 1994 marque la fin du magazine « l'Antenne est à nous », du fait de la suppression du créneau horaire sur FR3. Le partenariat entre Périphérie et le Conseil général évolue alors. A côté de son activité de création audiovisuelle, l'association développe une mission d'éducation à l'image et d'animation qui se manifeste par la mise en place de « Rencontres du cinéma documentaire » et le développement d'une activité d'aide à la production. Parallèlement, le Conseil général poursuit ses commandes de films institutionnels et de communication à Périphérie Production, tout en demandant à l'association de recentrer son action sur le département.
 En 1996, l'évolution du paysage juridique (loi Sapin votée en 1993) impose une séparation organisationnelle entre l'association et la société de production Périphérie Production. En effet l'association Périphérie finance directement la société de production qui porte le même nom. Mais le versement d'une subvention du Conseil général à l'association devient incompatible avec la commande, par ce même Conseil général, de films à une société de production directement rattachée et financée par l'association. La SARL Périphérie production est donc dissoute et remplacée par une société de production indépendante (Périfilms) dont plusieurs personnes privées ainsi que des membres de Périphérie sont actionnaires. L'association Périphérie poursuit sa mission d'éducation à l'image et subventionne, par le biais de conventions, certaines des productions de la société Périfilms. Jean-Patrick Lebel a été le gérant des deux sociétés de production.
 En 2002, la société de production Périfilms est placée en liquidation judiciaire. La fin de la société de production aboutit à la réorganisation du fonctionnement de l'association Périphérie qui se recentre sur quatre missions : l'aide à la création, l'éducation aux images, la diffusion et enfin la valorisation du patrimoine cinématographique. Ces quatre missions sont menées au travers de plusieurs dispositifs et manifestations organisées principalement sur le territoire de la Seine-Saint-Denis et plus largement sur la région Île-de-France. Nous citerons notamment le dispositif « Cinéastes en résidences », les ateliers organisés dans le cadre des parcours « La culture et l'art au collège », les "Observatoires documentaires" mais aussi l'organisation de rencontres publiques avec des professionnels du cinéma ou encore de tables rondes en partenariat avec les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis.

Informations sur l'acquisition :

Dépôt
Historique de conservation :
Le bâtiment de la Maison de la culture 93 abritant l'Unité audiovisuel est inauguré le 23 mars 1980. l'Unité audiovisuel y dispose de locaux et est équipé d'un système de tournage et de montage professionnel Umatic et d'un studio. Les documents produits (épreuves de tournage et montages) sont conservés dans les locaux de la Maison de la culture 93 puis dans des locaux de l'association à Bobigny, après son déménagement en 1986. En décembre 1987, Périphérie réalise un premier transfert de documents produits par l'atelier audiovisuel de la maison de la culture 93 aux Archives départementales. Après 2002 et la liquidation judiciaire de la société de production Périfilms, l'association Périphérie doit délaisser une partie de ses locaux à Bobigny et fait entrer une part importante du fonds aux Archives départementales. Puis en 2007, elle s'installe à Montreuil et procède à des transferts réguliers des documents produits par elle-même ou reçu dans le cadre de sa mission d'aide à la création. Ces entrées successives répondent à la nécessité pour association Périphérie de gérer des espaces de travail restreints et d'obtenir des conditions de conservation répondant aux normes en vigueur.
Lors du transfert réalisé le 29 novembre 2002, plusieurs films conservés par Périphérie et destinés à être récupérés en toute propriété par des réalisateurs ou des sociétés de production ont été conservés par les Archives à titre provisoire. Certains éléments n'ont jamais été réclamés par des ayants-droits. Début 2009, pour des raisons de conservation, les Archives départementales ont décidé, en accord avec l'ancien dirigeant de Périphérie Production, M. Jean-Patrick Lebel, d'intégrer ces éléments au fonds Périphérie. Cette intégration ne fait pas obstacle aux droits de propriété de ces réalisations.
A compter de la première entrée de décembre 1987, le secteur audiovisuel des Archives départementales a réalisé des copies des documents conservés sur support analogique (cassettes vidéo Umatic et Betacam) vers des supports numériques (cassettes vidéo Betacam SX) à des fins de conservation et de communication au public. Depuis mai 2009, le secteur audiovisuel a entamé la numérisation systématique des documents déposés par Périphérie sur des supports obsolètes. Les documents conservés sur des cassettes vidéo Umatic sont progressivement numérisés. Plusieurs codecs dont le DV puis le MPEG-4 H264 ont été successivement utilisés. Ce changement répond à l'évolution des recommandations établies par la Direction générale des patrimoines. Les fichiers numériques produits sont ensuite archivés sur des bandes magnétiques (cartouche LTO4).

Description :

Évolutions :
L'association Périphérie est toujours en activité et produit ou reçoit de nombreux documents audiovisuels qui seront amenés à rejoindre le fonds constitué.
Mise en forme :
Le fonds ayant fait l'objet d'une cotation préalablement à son classement, le répertoire méthodique s'est imposé. Il s'agissait en effet de rendre compte de l'évolution et de la diversité des activités des différentes structures qui se sont succédées au cours de l'histoire de Périphérie. La diversité des sujets et l'étalement des entrées a entraîné une dispersion du fonds tant sur le plan matériel qu'intellectuel. De plus, le fonds se compose de documents de travail tels que les épreuves de tournage, mais également de nombreuses copies (ou dub) des masters (film original monté). En conséquence, des copies d'un document conservé sur des supports multiples et plus ou moins obsolètes peuvent avoir été déposés à différentes époques. Il s'agissait également de distinguer les documents audiovisuels pour lesquels Périphérie a agi en tant que producteur ou coproducteur et ceux qui relèvent de l'action de l'association, sachant que la notion de production s'avère difficile à appréhender pour ce qui concerne Périphérie, du fait de l'emboîtement des structures associative et de production jusqu'en 2002. Le présent instrument de recherche propose donc de rassembler les documents audiovisuels en fonction des principales missions des différentes structures : production de films institutionnels, production de films documentaires et de fiction, éducation à l'image, aide à la création diffusion et valorisation du patrimoine audiovisuel de la Seine-Saint-Denis. Enfin le dernier sous ensemble identifié est constitué par des documents audiovisuels rassemblés par Périphérie.
Pour chaque production l'instrument de recherche présente le film monté (master et copies) ainsi que les épreuves de tournage qui s'y rattachent. Plusieurs cas de figure peuvent se présenter. En effet, parfois seuls les films montés ont été déposés (parfois le master et parfois une copie de diffusion).
A l'intérieur de chaque sous ensemble, les films sont présentés dans l'ordre chronologique de la date de diffusion. Lorsque cette dernière n'est pas connue, c'est la date de tournage des éléments qui a été retenue. Cette présentation permet de rendre compte de l'évolution de l'activité des structures entre 1974 et ces dernières années. En raison de problèmes techniques (dégradation du support, absence d'appareil de lecture), le contenu de certains supports n'a pu être visionné. Ces derniers ne sont donc pas présentés dans le présent instrument de recherche.

Conditions d'accès :

Les documents sont librement communicables aux archives départementales de la Seine-Saint-Denis, en visionnage individuel. Afin de préserver les documents originaux, seules les copies numériques sont consultables. Un délai de traitement technique est nécessaire. Un rendez-vous préalable à toute demande de communication est donc obligatoire. Certains documents ne peuvent pas être communiqués. En effet, les Archives départementales ne sont pas équipées pour exploiter l'ensemble des formats vidéo.

Conditions d'utilisation :

La reproduction de tout ou partie de ces documents est soumise à l'autorisation préalable du déposant et le cas échéant, après avoir obtenu toutes les autorisations nécessaires des auteurs ou de leurs ayants-droit ainsi que des personnes représentées. En 2003, suite à la liquidation de la société de production Périfilms, un certain nombre de réalisateurs ont racheté l'ensemble des droits patrimoniaux rattachés à leur production. Ils sont donc devenus détenteurs exclusifs des droits. Néanmoins ces films ayant été déposés par Périphérie, ils sont présentés dans le présent instrument de recherche.

Description physique :

7949 supports audiovisuels.

Ressources complémentaires :

Sources complémentaires de même provenance :
Archives départementales de la Seine-Saint-Denis.
436J : Dépôt de l'Association Périphérie et des sociétés de production Périphérie Production et Périfilms. - Dossiers relatifs au projet de création d'un Centre régional de création cinématographique (rapport, correspondance, documentation), matériel de communication (bulletins, brochures, papillons), dossiers relatifs aux films produits (synopsis, revue de presse, documents comptables), documents comptables. 1982-2013.
Sources complémentaires sans lien de provenance :
Archives départementales de la Seine-Saint-Denis.
457J : Dépôt des archives personnelles de Jean-Patrick Lebel. - Documentation concernant ses films (notes de tournages, synopsis, scénario, photographie, revue de presse&), documentation concernant son activité militante, son activité de dirigeant des différentes structures, à ses écrits et ses interventions publiques (correspondance, note manuscrites, bulletins, revue de presse). Documents audiovisuels : supports sonores, supports vidéo ainsi que supports cinéma (épreuves de tournage, d'éléments de montage, de films montés et de copies de films montés destinées à la diffusion et à l'exploitation en salle). 1965-2012.
143J 19-23 : Dépôt de la Maison de la culture de la Seine-Saint-Denis, Unité audio-visuel. - Dossiers relatifs aux films produits (synopsis, revue de presse, documents comptables), projet de création d'un Centre régional de création cinématographique, rapports d'activité de l'Unité audio-visuel, bulletins, revue de presse, documents comptables, dossier de subventions CNC. 1974-1983.
Conseil général de la Seine-Saint-Denis - Versements.
19AV : Direction des services d'archives. - Enregistrements sur CD-R des séances des tables rondes intitulées "Histoire d'un film, mémoire d'une lutte" puis "Vies prolétaires". 2008-2011.
40AV : Direction des services d'archives. - Enregistrements sur CD-R de deux entretiens avec Jean-Patrick Lebel, réalisés par le secteur des archives audiovisuelles. 2011
66AV : Direction des services d'archives. - Enregistrements sur CD-R des séances des tables rondes intitulées "Vies prolétaires". 2012-2013.
2AV/2815 à 2AV/2858 et 2AV/2860 à 2AV/2862 : Direction de la communication. - Copies sur cassettes vidéo Umatic des magazines "l'Antenne est à nous ", numéro 1 à 56. 1984-1991.
1843W 1-13 : Direction de la communication. - Dossiers événementiels : relations publiques, presse. 1971-1992.
1706W 98 : Direction des affaires scolaires, du sport, de la culture et de la jeunesse (DASSCJ). - Bilans et prévision de l'association Périphérie. 1984-1987.
1575W : Direction de la communication. - Copie de diffusion du magazine l'Antenne est à nous : cassettes vidéo VHS. 1986-1991.
1579W : Direction de la communication. - Copie de diffusion du magazine l'Antenne est à nous : cassettes vidéo VHS. 1986-1991.
2013W 1-19 : Direction de la communication. - Mission "Initiatives pour la Santé" : exposition "La santé tout le monde en parle". 1983-1995.
2762W 1-2 : Direction de la culture, du patrimoine, du sport et des loisirs (DCPSL, Mission culture et art au collège (MICACO). - Dossiers et de candidature et appels à projet. 2009-2011.

Localisation physique :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD093_007955

Où consulter le document :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis

Liens