Inventaire d'archives : Archives communales déposées de Servian (1247-1791)

Contenu :

Le fonds ancien déposé est riche de pièces permettant de retracer la vie de Servian depuis le XIIIème siècle. Il comprend une collection de parchemins documentant les droits, charges et privilèges de la ville - dont des lettres patentes royales - ou encore les décisions prises par les consuls. Il contient également les délibérations consulaires depuis 1571, une collection de compoix datant des XVIIème et XVIIIème siècles, ainsi que les actes des paroisses de Saint-Julien et Saint-Basilisse depuis 1639. On notera plus particulièrement, sous la cote 300 EDT 90, des inventaires de titres et documents de la communauté (1611-1769).

Cote :

300 EDT 1-138

Publication :

Archives départementales de l'Hérault
2014
Montpellier

Informations sur le producteur :

Communauté de Servian, paroisse Saint-Julien et Saint-Basilisse, commune de Servian.
Les premières mentions archivistiques de Servian remontent au XIème siècle (Castrum de Cerviano en 1065 dans le cartulaire de la cathédrale de Béziers, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). Dès cette époque en effet, apparaît un premier castrum qui se développe au XIIème siècle sous l'autorité de la famille d'Étienne (ou d'Estève), seigneurs de Servian, proches des Guilhem de Montpellier, et surtout des Trencavel de Béziers, dont ils sont les vassaux. Ils favorisent les Cathares et en 1206, les deux légats envoyés par le pape pour débattre contre les hérétiques (dont le futur saint-Dominique) s'arrêtent à Servian. En 1209, la croisade contre les Albigeois voit la ville occupée sans combat ni pillage. Les seigneurs d'Étienne disparaissent peu après et la seigneurie de Servian est rattachée directement au domaine royal à partir de 1230 pour fait d'hérésie. Dirigée alors par des représentants locaux du Roi de France, elle se voit accorder cependant une certaine autonomie dès 1247 avec des syndics puis des consuls, sensés représenter la population et gérer la communauté.
Jusqu'au début du XIVème siècle, Servian connaît une période de développement économique, basé sur la culture du blé et de l'olive, et démographique (316 feux en 1297 soit 1400 personnes environ), nécessitant la construction d'une troisième enceinte, terminée vers 1330. Après cette date cependant, les mauvaises récoltes, les famines, les maladies, la peste surtout, et les nombreuses guerres font diminuer la population de moitié (160 feux en 1397 soit 700 habitants à peu près). Le fonds ancien de la commune éclaire particulièrement sur cette période de la fin du Moyen-Age, à travers une importante collection de parchemins, de même que sur la période qui suit, à travers notamment des compoix et des délibérations consulaires.
Au XVIème siècle, Servian se retrouve au coeur des Guerres de Religion, assiégée en 1562 puis prise en 1563 et à nouveau en 1570, toujours par les protestants. La gestion consulaire est alors centrée sur le fonctionnement des fours banaux, des bois et des garrigues. Au XVIIème siècle, la Contre-Réforme se traduit notamment par la fondation d'une confrérie de pénitents blancs en1599, l'installation de frères capucins en 1610 et l'agrandissement de l'église avec édification d'un grand clocher vers 1650. La ville se développe vers la rivière de Lène et une quatrième enceinte est érigée en 1610, portant la surface du village à 5,1 hectares. Sous l'autorité des princes de Conti (de 1650 jusqu'en 1783), les consuls essaient d'engager des travaux de construction et de réfection des rues, des remparts, des puits et des bâtiments, surtout au XVIIIème siècle. En 1756, ils décident ainsi d'acheter la maison des demoiselles Catron pour y installer l'hôtel de ville (300 EDT 72), qui s'y trouve toujours. L'amélioration des voies de communication dès le XVIIème siècle permet l'acheminement des produits et marchandises du village (céréales, huile d'olive, vin et eaux de vie). Elle se traduit par la réfection de l'ancien chemin de Pézenas à Béziers devenu voie royale et la construction d'un nouveau pont sur la Thongue en 1680. Même si la communauté de Servian contribue à l'effort de guerre et surmonte pestes et sinistres climatiques épisodiques, cette période est marquée par un essor de la population, qui passe de 360 feux en 1693 à 402 en 1720 (soit 1800 habitants), retrouvant son niveau du XIVème siècle. En 1761, Servian a pour dépendance La Roque.
A partir de 1790, la commune est dotée d'un conseil municipal avec à sa tête un maire, d'abord nommé, puis élu. Bien que cité en 1790, le hameau de Saint-Adrien n'est pas érigé en commune. Sous la Révolution française, l'administration locale a du mal à faire exécuter les réquisitions et les levées de conscrits. L'agitation royaliste reste vive et la population locale soutient les prêtres réfractaires ou refuse de se présenter à la conscription. De nombreux conflits surviennent et l'armée intervient à plusieurs reprises. La vie politique locale redevient cependant relativement stable jusqu'à la Révolution de 1848 et au coup d'état de 1851, suite auquel une partie de la population servianaise, suivant Béziers, se soulève. La révolte réprimée, de nombreux républicains sont alors déportés en Algérie ou en Guyane. Dans la première moitié du XIXème siècle, l'économie servianaise est toujours basée sur la culture des céréales et l'oléïculture, même si une nouvelle industrie émerge, celle de la fabrication d'eau de vie, comme en témoigne l'implantation de plusieurs distilleries. Ce n'est qu'à partir du Second Empire que la viticulture et le commerce du vin deviennent les activités principales, enrichissant considérablement la commune, désormais desservie par un chemin de fer d'intérêt local. De grands domaines se créent au coeur desquels sont édifiés des châteaux comme celui de l'Hermitage. La population s'accroît (plus de 2500 habitants en 1862), notamment avec l'afflux de main d'oeuvre de paysans pauvres du Tarn et de l'Aveyron (les gavaches). Les édiles locaux se préoccupent de l'urbanisme et des communications. Des chantiers concernant les bâtiments  communaux (mairie, écoles, cimetière&), la voirie urbaine et rurale, l'adduction d'eau (puits&), l'assainissement et l'hygiène, sont engagés dès le début du XIXème siècle, améliorant le quotidien des habitants.
Au début du XXème siècle, la commune connaît de nombreux troubles, liés aux conflits politiques entre "blancs" et "rouges", aux grèves des ouvriers agricoles de 1904 puis de 1907, à la séparation des églises et de l'Etat de 1905 (pour effectuer l'inventaire, il faut défoncer à la hache la porte de l'église où le curé s'est retranché avec quelques fidèles), puis aux inondations de 1907, qui entraînent la visite du président de la République Armand Fallières. Par la suite, son histoire reflète les événements majeurs de l'histoire de France. Les hécatombes de la guerre de 1914-1918 sont rappelées au souvenir par le monument aux morts. Dans les années 1930, reflet de la crise économique mondiale, la crise viticole resurgit et des chantiers communaux de chômage sont ouverts, tandis qu'une cave coopérative est créée. La guerre de 1939-1945 voit l'afflux de réfugiés puis la ville occupée par les Allemands, et complètement soumise au ravitaillement jusqu'en 1949. Après la guerre, le Baby-Boom et les Trente Glorieuses permettent à la commune de se développer à nouveau démographiquement et économiquement. La modernisation des équipements communaux s'accélère à travers des travaux de voirie et de réseaux d'assainissement, d'adduction d'eau et d'électrification, ainsi que de construction de bâtiments publics, d'un collège, d'installations sportives et socio-culturelles. De nombreux lotissements sont aussi créés, grignotant certes la surface agricole mais permettant d'accueillir les rapatriés d'Algérie dans les années 1960 puis les retraités attirés par le soleil.

Informations sur l'acquisition :

Dépôts de la commune de Servian (23 juin 1918 ; entrée n° 4485, 20 avril 2010 ; entrée n° 5241, 7 mai 2012).
Historique de conservation :
L'ensemble des archives anciennes de Servian (antérieures à 1790) a été déposé aux Archives départementales de l'Hérault. Les archives modernes (1790-1982) et contemporaines (postérieures à 1982) sont conservées dans la commune et ont fait l'objet d'un classement par la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault en 2012.
Tableau de concordance entre les anciennes cotes (cotes de l'archiviste Joseph Berthelé et cotes des Archives départementales de l'Hérault) et les nouvelles cotes :
AA 1 = 300 EDT 1
AA 2 = article manquant
AA 3 = 300 EDT 2
AA 4 = 300 EDT 4
AA 5 = 300 EDT 6
AA 6 = 300 EDT 7
AA 7 = 300 EDT 8
AA 8 = 300 EDT 9
AA 9 = 300 EDT 10
AA 10 = 300 EDT 11
AA 11 = 300 EDT 12
AA 12 = 300 EDT 13
AA 13 = 300 EDT 15
BB 1 = 300 EDT 16
BB 1 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 2 = 300 EDT 17
BB 2 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 3 = 300 EDT 18
BB 3 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 4 300EDT 19
BB 4 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 5 = 300 EDT 20
BB 5 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 6 = 300 EDT 22
BB 6 (Berthelé) = article conservé en commune
BB 7 (Berthelé) = article conservé en commune
CC 1 = 300 EDT 46
CC 1 (Berthelé) = article conservé en commune
CC 2 = 300 EDT 47
CC 3 = 300 EDT 48
CC 4 = 300 EDT 49
CC 5 = 300 EDT 23
CC 6 = 300 EDT 24
CC 7 = 300 EDT 25
CC 8 = 300 EDT 26
CC 9 = 300 EDT 27
CC 10 = 300 EDT 28
CC 11 = 300 EDT 30
CC 12 = 300 EDT 31
CC 13 = 300 EDT 32
CC 14 = 300 EDT 33
CC 15 = 300 EDT 34
CC 16 = 300 EDT 36
CC 17 = 300 EDT 35
CC 18 = 300 EDT 37
CC 19 = 300 EDT 38
CC 20 = 300 EDT 39
CC 21 = 300 EDT 40
CC 22 = 300 EDT 41
CC 23 = 300 EDT 42
CC 24 = 300 EDT 43
CC 25 = 300 EDT 44
CC 26 = 300 EDT 45
CC 27 = 300 EDT 50
CC 28 = 300 EDT 51
CC 29 = 300 EDT 52
CC 30 = 300 EDT 53
CC 31 = 300 EDT 54
CC 32 = 300 EDT 55
DD 1 = 300 EDT 56
DD 2 = 300 EDT 57
DD 3 = 300 EDT 58
DD 4 = 300 EDT 59
DD 5 = 300 EDT 60
DD 6 = 300 EDT 61
DD 7 = 300 EDT 62
DD 8 = 300 EDT 63
DD 9 = 300 EDT 64
DD 10 = 300 EDT 65
DD 11 = 300 EDT 66
DD 12 = 300 EDT 67
DD 13 = 300 EDT 68
DD 14 = 300 EDT 69
DD 15 = 300 EDT 70
DD 16 = 300 EDT 71
DD 17 = 300 EDT 72
EE 1 = 300 EDT 73
EE 2 = 300 EDT 74
FF 1 = 300 EDT 75
FF 2 = 300 EDT 77
FF 3 = 300 EDT 78
FF 4 = 300 EDT 80
FF 5 = 300 EDT 82
FF 6 = 300 EDT 83
FF 7 = 300 EDT 84
FF 8 = 300 EDT 85
GG 1 = 300 EDT 86
GG 1 (Berthelé) = 300 EDT 88
GG 2 = 300 EDT 87
GG 2 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 3 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 4 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 5 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 6 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 7 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 8 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 9 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 10 (Berthelé) = article conservé en commune
GG 11 (Berthelé) = article conservé en commune
HH 1 = 300 EDT 90
II 1 = 300 EDT 91
II 2 = 300 EDT 92-93

Description :

Évolutions :
Fonds ouvert.
Mise en forme :
Selon le cadre de classement des archives communales de 1926.

Conditions d'accès :

Selon les lois et règlements en vigueur.

Conditions d'utilisation :

Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture.

Description physique :

5,7 ml

Ressources complémentaires :

Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789)
L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc.
La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale).
Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines...
Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP).
 
Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800)
Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires.
En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus.
 
Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940)
Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940).
La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux.
En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine.
En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées).
Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons).
Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (Etat civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations.
La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires.
L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales.
La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines.
Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles.
Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance.
 
Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940)
Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs.
 
Iconographie
Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales.
 
Archives privées
Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F.
 
Archives notariales
Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires.
 
Bibliothèque des archives
Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune.
 
Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault : 30 J 300/1
Boites d'archives : OBJ 67-70, OBJ 224

Références bibliographiques :

ASTOR Jacques. Histoire de Servian.- Servian : Ville de Servian, 1980.- 200 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 6675)
BOUSQUET Emile. Histoire de Servian.- Montpellier : Impr. de la manufacture de la Charité, 1925.- 84 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 857)
CROUZET Marie-Thérèse. Servian en Languedoc, 1900-2000 : cent ans de vida de nòstre païs.- Servian : Art et Culture, 2001.- 223 p. (Médiathèque départementale de l'Hérault, coté 944.84)
ESPEROU Jean Luc, ROQUES Pierre. Servian : l'histoire d'un territoire de la plaine du Biterrois : depuis le paléolithique jusqu'au XXe siècle. - Servian : Ed. Pro Baeteris, 2010.- 277 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 3543)
ESPEROU Jean-Luc, NICKELS A, ROQUES Pierre. La nécropole du premier âge du fer de La Cartoule, à Servian, Hérault. In : Archéologie en Languedoc 1980, 3e trimestre ; pp. 93-102 121 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 3712)
MARASSE Philippe. Retour sur le "Pont Royal" de Servian. - In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 2005-2006, dixième année, volume 2, pp. 120-121 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313)
MISSION ARCHIVES 34. Répertoire numérique détaillé des archives communales modernes de Servian.- Montpellier : Mission Archives 34, 2012.- 93 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10276)
ROQUES Pierre, MARTINEZ Albert. L'Hermitage de Combas, Servian.- Servian : Pro Baeteris, 2013. - 70 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 10538)

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD034_300EDT

Archives départementales de l'Hérault

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