Inventaire d'archives : Répertoire numérique des diapositives
Contenu :
Présentation du contenu
Ce fonds regroupe toutes les diapositives entrées par voie extraordinaire aux Archives départementales des Hautes-Pyrénées. Ces images illustrent des sites urbains et paysagers du département, ainsi que des portraits et des scènes de vie.
Dès la seconde moitié du XIXe siècle, les vues stéréoscopiques connaissent un véritable essor industriel. Des millions d'images en relief réalisées par des photographes professionnels, sont ainsi publiées par des maisons d'édition puis commercialisées. Grâce au succès des maisons d'édition comme Bruguière, très présent dans les années 40-50 jusqu'au début des années 70, ces vues touristiques en relief sont devenues très familière du public.
Cote :
10 Fi 1-13
Publication :
Archives départementales des Hautes-Pyrénées
2018
Tarbes
Informations sur l'acquisition :
Informations sur les modalités d'entrée
Achat, entrée n°20170057 du 8 mars 2017 ;
Don, entrée n°20170228 du 23 août 2017 ;
Achat, entrée n°20180124 du 26 avril 2018.
Description :
Évolutions :
Accroissements
Sous-série ouverte
Mise en forme :
Mode de classement
Classement par ordre alphabétique des communes
Conditions d'accès :
Statut juridiqueArchives privées
Communicabilité
Librement communicable
Conditions d'utilisation :
Conditions d'utilisation
Suivant le règlement des Archives départementales
Langues :
Langue des unités documentaires: Français
Description physique :
Document iconographique
La collection ouverte des diapositives est actuellement constituée uniquement de stéréofilms. Elle est toutefois susceptible d'accueillir ultérieurement d'autres supports.
Les séries de stéréofilms sont rangées par reportage, dans des boites contenant généralement 12 positifs numérotés. Certains reportages sont dotés d'un numéro de série tiré du catalogue d'un éditeur de photographies stéréoscopiques (Bruguière dans la plupart des cas).
Un stéréofilm est constitué de deux photographies carrées au format 4 x 4 cm, avec entre les deux images, une légende. Les positifs tirés sur film argentiques ou polyester existent en noir et blanc ou en couleur. Ils sont, pour certains, montés en sandwich dans un film polyester afin de les protéger et d'assurer une certaine rigidité.
Les séries de stéréofilms sont rangées par reportage, dans des boites contenant généralement 12 positifs numérotés. Certains reportages sont dotés d'un numéro de série tiré du catalogue d'un éditeur de photographies stéréoscopiques (Bruguière dans la plupart des cas).
Un stéréofilm est constitué de deux photographies carrées au format 4 x 4 cm, avec entre les deux images, une légende. Les positifs tirés sur film argentiques ou polyester existent en noir et blanc ou en couleur. Ils sont, pour certains, montés en sandwich dans un film polyester afin de les protéger et d'assurer une certaine rigidité.
Données techniques
Données techniques: Une vue stéréoscopique s'obtient à partir de deux photographies d'un même objet (vues gauche et droite), prises chacune selon un angle légèrement différent, à quelques centimètres de distance. L'image virtuelle perçue par la vision binoculaire humaine, provoque une impression de relief et un effet de profondeur. Les images sont visionnées individuellement à l'aide d'un stéréoscope.
D'abord produits sur des plaques de verre dans les années 1860, les clichés sont progressivement tirés sur des supports en plastiques, initialement réservés à la fabrication des films cinématographiques, avec l'apparition des diapositives et des négatifs au début du XXe siècle. Les supports en plastiques peuvent être en nitrate de cellulose, en acétate de cellulose ou en polyester. Ils sont utilisés avec des procédés en couleurs chromogènes (trois couches superposées de gélatine renfermant des colorants organiques jaune, magenta, cyan) ou en noir et blanc au gélatino-bromure d'argent.
D'abord produits sur des plaques de verre dans les années 1860, les clichés sont progressivement tirés sur des supports en plastiques, initialement réservés à la fabrication des films cinématographiques, avec l'apparition des diapositives et des négatifs au début du XXe siècle. Les supports en plastiques peuvent être en nitrate de cellulose, en acétate de cellulose ou en polyester. Ils sont utilisés avec des procédés en couleurs chromogènes (trois couches superposées de gélatine renfermant des colorants organiques jaune, magenta, cyan) ou en noir et blanc au gélatino-bromure d'argent.
Données techniques: Une vue stéréoscopique s'obtient à partir de deux photographies d'un même objet (vues gauche et droite), prises chacune selon un angle légèrement différent, à quelques centimètres de distance. L'image virtuelle perçue par la vision binoculaire humaine, provoque une impression de relief et un effet de profondeur. Les images sont visionnées individuellement à l'aide d'un stéréoscope.
D'abord produits sur des plaques de verre dans les années 1860, les clichés sont progressivement tirés sur des supports en plastiques, initialement réservés à la fabrication des films cinématographiques, avec l'apparition des diapositives et des négatifs au début du XXe siècle. Les supports en plastiques peuvent être en nitrate de cellulose, en acétate de cellulose ou en polyester. Ils sont utilisés avec des procédés en couleurs chromogènes (trois couches superposées de gélatine renfermant des colorants organiques jaune, magenta, cyan) ou en noir et blanc au gélatino-bromure d'argent.
D'abord produits sur des plaques de verre dans les années 1860, les clichés sont progressivement tirés sur des supports en plastiques, initialement réservés à la fabrication des films cinématographiques, avec l'apparition des diapositives et des négatifs au début du XXe siècle. Les supports en plastiques peuvent être en nitrate de cellulose, en acétate de cellulose ou en polyester. Ils sont utilisés avec des procédés en couleurs chromogènes (trois couches superposées de gélatine renfermant des colorants organiques jaune, magenta, cyan) ou en noir et blanc au gélatino-bromure d'argent.
Nombre d'unités de niveau bas
Nombre d'unités de niveau bas: 13
Métrage linéaire
Métrage linéaire: 0,28
Références bibliographiques :
Bibliographie
Ouvrages et périodiques :
- LAVÉDRINE, Bertrand. [re]Connaître et conserver les photographies anciennes. Paris, éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2007.
- CHIK Caroline. "La photographie stéréoscopique animée, avant la chronophotographie". Cinémas, automne 2014, vol. 25 n°1, p.133-156.
Sites internet sur la photographie stéréoscopique (consultés le 7/09/2018) :
- "Le portail de la photographie" - www.photo-arago.fr ;
- Site du musée Niepce sur la photographie - www.museeniepce.com ;
- "Stéréopôle, l'univers des images stéréoscopiques" (projet mené par le CLEM qui est un collectif d'associations patrimoniales en Gironde) - http://imagestereoscopiques.com ;
Localisation physique :
Localisation physique: Archives départementales des Hautes-Pyrénées
Organisme responsable de l'accès intellectuel :
Archives départementales des Hautes-Pyrénées
Identifiant de l'inventaire d'archives :
FRAD065_IR_00275