Inventaire d'archives : Fonds de la Famille de Gourgue et de la Seigneurie d'Aulnay

Contenu :

Le fonds s'articule en deux parties principales et lie aussi bien les archives de la seigneurie d'Aulnay, qui constitue la majorité du fonds, que des archives familiales, de la famille Le Clerc du Cottier comme de la famille de Gourgue.
La typologie des documents est très variée : on trouve aussi bien des actes liés à l'histoire des individus (inventaire après-décès, correspondance, livre de comptes), des actes de procédures judiciaires (pièces de procès, pièces justificatives de propriété, sentences et arrêts, délivrance de copies conformes), des titres de propriété ainsi que des actes liés à la gestion du domaine des seigneurs d'Aulnay.
Les archives domaniales conservées dans ce fonds sont particulièrement riches et leur structuration reflète la composition d'une seigneurie : ont été ainsi conservés les actes concernant les fiefs mouvants de la seigneurie d'Aulnay. Ces actes sont des fois et hommages et des aveux et dénombrements. Pour un même fief ce fonds présente les aveux et dénombrements successifs ce qui permet de dessiner l'évolution de la seigneurie. De même, ce fonds conserve des éléments à rattacher à la censive de la seigneurie d'Aulnay comme au domaine propre : par la confrontation des deux ensembles, on peut restituer la politique d'agrandissement du domaine propre par la famille de Gourgue. Par ailleurs, il est à noter la présence de ce fonds de procès-verbaux originaux d'assises tenues dans la seigneurie à la fin du XVe siècle.
Afin de mieux comprendre la présence de certains dossiers, il importe de connaître certains éléments : le fonds présente notamment quelques suppliques adressées au roi de la part de communautés religieuses établies dans l'ensemble du royaume au sujet de maladreries ou de léproseries. Ces documents sont à mettre en relation directe avec la nomination par un arrêt du conseil du roi du 27 janvier 1694 d'Armand-Jacques de Gourgue à la charge de procureur général de la commission pour les maladreries, léproseries et tous établissements réunis aux ordres de saint Lazare et de Notre-Dame du Mont-Carmel.
De même, une partie importante du fonds est consacrée à un procédure autour de la vente de l'office de lieutenant-général et conservateur des privilèges de l'université de Guyenne. Armand-Jacques de Gourgue reçut de Louis XIV la charge de lieutenant-général en la sénéchaussée de Guyenne et conservateur des privilèges de l'université de cette province qu'il vendit en 1672 à Marie de Lavau, veuve de Simon de Malescot. Celle-ci acheta l'office pour son fils, Pierre de Malescot. Néanmoins, des difficultés naquirent autour du paiement du prix de l'office à Armand-Jacques de Gourgue et s'ensuivit un long procès de 1675 à 1679 dont toutes les pièces sont conservées dans ce fonds. Au-delà des pièces de ce procès, ce fonds comporte plusieurs éléments liés aux offices occupés par les membres de la famille de Gourgue ainsi qu'à leur stratégie d'achat et de revente d'offices.

Cote :

4J

Publication :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis
2011
Bobigny

Informations sur le producteur :

Famille Le Clerc du Cottier, Famille de Gourgue
La famille de Gourgue, originaire de Guyenne, ne compte plus aujourd'hui de représentants ; elle s'est éteinte en 1949, à la mort de Dominique de Gourgue (1877-1949), chapelain de Saint-Louis-des-Français à Rome. Les armes de la famille de Gourgue sont « d'azur au lion d'or, armé et lampassé de gueules accosté de deux étoiles du même ».
La généalogie mise en avant par la famille de Gourgue au cours de l'époque moderne se veut très prestigieuse : le premier représentant connu de la famille de Gourgue serait Geoffroy de Gourgue, secrétaire de Philippe IV. De même, en 1318, Philippe de Gourgue, grand-porte étendard de la Couronne, aurait épousé avec Cécile de Pélagrue, qui n'est autre que la nièce du pape Clément V (1264-1314). C'est à partir de ce mariage que la famille se serait établie en Guyenne. La famille serait également affiliée à un dénommé Pée de Gourgue, souscripteur de la charte de reconstruction de la ville de Mont-de-Marsan en avril 1156, et à Alexandre de Gourgue, maire de Mont-de-Marsan en 1400. Il semble qu'une telle généalogie soit en réalité une reconstitution ultérieure artificielle. Les études récentes sur la famille de Gourgue contestent la véracité des généalogies composées et mises en avant par la famille de Gourgue elle-même.
La famille de Gourgue prend véritablement son essor avec la génération des enfants de Jean de Gourgue et d'Isabelle de Lau ; de cette union naissent en effet Ogier et Dominique de Gourgue. Dominique de Gourgue, envoyé en Floride en 1568, y fut à l'origine de la destruction du fort espagnol de San Mateo, s'attachant par là-même, sinon le soutien royal, du moins la reconnaissance populaire. Il meurt sans postérité en 1593.
Ogier de Gourgue, lui, entame une brillante carrière dans les finances royales, en accédant aux charges de trésorier et président du bureau des finances de Bordeaux. Il épousa Jeanne de Pareige en premières noces puis Finette d'Aspremont en secondes. Son fils, Marc-Antoine de Gourgue poursuit l'ascension familiale en rejoignant la carrière parlementaire ; il devient président à mortier du Parlement de Bordeaux en 1610 puis premier président du même parlement le 27 décembre 1616, charge qu'il occupera jusqu'en 1628. C'est à partir de la génération des enfants d'Ogier de Gourgue que la famille s'installe définitivement dans la carrière parlementaire qu'elle n'a plus quittée depuis. Cet ancrage dans la noblesse de robe est assorti d'une stratégie matrimoniale visant le rapprochement avec de prestigieuses familles de magistrats. Par ailleurs, il n'existe aucune lettre d'anoblissement de la famille de Gourgue ; il semble qu'en réalité, il y ait eu un long processus d'agrégation à la noblesse : en effet, Ogier de Gourgue, dans les premiers écrits le mentionnant, apparaît comme simple bourgeois de la ville de Bordeaux, tandis qu'il est qualifié à la fin de sa vie de « chevalier » dans les années 1590. Ce processus d'agrégation a certainement été appuyé par l'exercice de charges financières importantes et par l'acquisition de terres titrées.
La branche de la famille de Gourgue qui parvînt à la seigneurie d'Aulnay provient du troisième fils d'Ogier de Gourgue et de Finette d'Aspremont, Armand de Gourgue. Armand de Gourgue, conseiller au Parlement de Bordeaux, épousa Marie du Vignau, dont naquit Jean de Gourgue. Les autres branches de la famille depuis Jean de Gourgue, le père d'Ogier, s'éteignirent au bout de 4 générations. Seule subsista jusqu'en 1949 la branche d'Armand de Gourgue, fils d'Ogier de Gourgue.
Jean de Gourgue, fils d'Armand de Gourgue, baron de Vayres, de Rabeine et de Saint-Julien, fut reçu conseiller au Parlement de Bordeaux en 1632. En 1638, il devint également président à mortier de ce même parlement. Pour le récompenser de ses services, Louis XIV érigea la baronnie de Vayres en marquisat en 1659. Il avait épousé Marie Larcher de Bojacourt en 1642 dont naquit Armand-Jacques de Gourgue.
Armand-Jacques de Gourgue, fils aîné de Jean de Gourgue et de Marie Larcher, fut lieutenant-général en la sénéchaussée de Guyenne, puis maître des requêtes en 1679. Il vint alors s'établir à Paris où il fut fait conseiller d'Etat. Il fut nommé également intendant en la généralité de Limoges, et ensuite en celle de Caen en 1686. Marié le 29 avril 1669 à Isabelle Le Clerc du Cottier grâce à laquelle il devint seigneur d'Aulnay, il obtint l'érection de la baronnie d'Aulnay en marquisat par Louis XIV en 1669. Son fils aîné, Jean-François Joseph de Gourgue devint après lui marquis de Vayres et d'Aulnay. Conseiller au Parlement de Paris, maître des requêtes, il épousa Gabrielle Isabelle de Barillon, puis Catherine Le Marchand de Bardouville. Mort en 1734, il maria son fils aîné, Armand-Pierre de Gourgue à Louise-Claire de Lamoignon, entérinant par là-même ses alliances avec la très haute noblesse parlementaire parisienne.
Armand-Pierre de Gourgue, également conseiller au Parlement de Paris et maître des requêtes, maria également son fils Armand-Guillaume François de Gourgue à une demoiselle de Lamoignon, Olive-Claire de Lamoignon. A la mort de celle-ci, Armand-Guillaume épousa en secondes noces Agnès Pinon. Sous la Révolution française, malgré le rapport favorable à son égard du comité de surveillance d'Aulnay, il est condamné à mort et exécuté le 20 avril 1794 à l'âge de 58 ans.
La famille de Gourgue fut remise à l'honneur après la Révolution : Armand Dominique Ange Louis de Gourgue, fils d'Armand Guillaume, fut nommé sous  la Restauration membre de la Chambre des députés, pour le département du Tarn-et-Garonne. Il devint par la suite gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi, puis pair de France.
La famille de Gourgue ne quitta pas Aulnay pour autant, et par la suite au cours du XIXe siècle plusieurs représentants de cette famille furent maires d'Aulnay : Auguste de Gourgue (1779-1839), fils d'Armand Dominique Ange, fut maire d'Aulnay de 1808 à 1830, charge qu'il cumula pour un temps avec celle de maire du Blanc-Mesnil (1816-1821). Son fils Dominique de Gourgue (1824-1893) fut également maire d'Aulnay : maire nommé tout d'abord de 1866 à 1870, puis maire élu (1870-1893).
La famille de Gourgue a su allier à une politique d'ascension sociale par l'accès à des offices parlementaires importants une politique matrimoniale qui est venue conforter cette élévation. La famille Le Clerc du Cottier avec laquelle s'unit la famille de Gourgue par l'intermédiaire du mariage d'Isabelle et d'Armand Jacques de Gourgue est une importante famille parlementaire parisienne.
En 1485, Jacques Coitier acquiert par achat la seigneurie d'Aulnay auprès des héritiers d'Eustache de Manteville par un acte du 19 juillet 1485. Ce Jacques Coitier occupait une place de choix dans les milieux d'officiers parisiens : premier médecin du roi, Jacques de Coitier fut également vice-président, puis président en la chambre des comptes, et chambellan du roi. De son mariage avec Marguerite Le Clerc, fille d'un conseiller du roi au Parlement de Paris, il n'eut aucune descendance mâle. Aussi adopta-t-il son filleul et neveu par alliance, Jacques Le Clerc, qui devint par là-même, Jacques Le Clerc dit Coitier. Cette mention « dit Coitier » accolée à son patronyme lors de l'adoption de Jacques Le Clerc par Jacques Coitier, tendit à évoluer et à s'assimiler à une particule ; les graphies en sont fluctuantes et les actes mentionnent aussi bien les Le Clerc du Cottier que de Coitier. Pour notre part, à partir de Jacques Le Clerc dit Coitier, nous utiliserons pour ses descendants l'orthographe suivante : « Le Clerc du Cottier ».
Jacques Le Clerc dit Coitier fit également une grande carrière, et fut conseiller du roi en son grand conseil, puis grand rapporteur à la chancellerie de France. Peu de choses nous sont connues de son fils Jean, écuyer ordinaire du roi. Ce Jean Le Clerc du Cottier avait épousé Anne de Lameth, fille de parlementaire parisien. Les mariages ultérieurs et précédents des héritiers de la famille Le Clerc dit Cottier viennent encore conforter cet ancrage dans le milieu parlementaire parisien : les familles alliées par les mariages ne sont pas moins que la famille Duprat (dont Antoine Duprat, chancelier de France sous François Ier, est le plus illustre représentant), la famille Briçonnet (liée à Guillaume Briçonnet, conseiller de Charles VIII) ou encore la famille Larcher (famille de parlementaires et d'officiers de finances parisiens).

Informations sur l'acquisition :

Dépôt de la mairie d'Aulnay-sous-Bois en 1970.
Historique de conservation :
Le fonds qui est parvenu jusqu'à nous n'est qu'une partie de ce que devait constituer l'intégralité du chartrier de la seigneurie d'Aulnay. Il semble que le chartrier ait été dispersé lors de la démolition du château d'Aulnay en 1907. L'ensemble qui nous est parvenu a alors dû parvenir à la mairie d'Aulnay-sous-Bois où il a visiblement été mêlé aux papiers personnels des différents maires ; on en retrouve une trace avec la présence dans notre fonds d'un devoir de français composé en 1921 par la fille du maire de l'époque. Le fonds de la seigneurie d'Aulnay est parvenu aux Archives départementales de la Seine Saint-Denis grâce à un transfert le 7 décembre 1970 provenant de la mairie d'Aulnay-sous-Bois, pour procéder au classement sommaire et au microfilmage dudit fonds. Le fonds était auparavant conservé aux Archives communales d'Aulnay-sous-Bois. Ce fonds a été dans un deuxième temps définitivement déposé par le maire d'Aulnay en 1980 aux Archives départementales.
>Ce fonds a fait l'objet de deux campagnes de restauration, l'une en 1998, l'autre en 1999. Néanmoins, de nombreux documents restent encore très fragiles et dans un état nécessitant de grandes précautions de manipulation.
Par ailleurs, le fonds s'est enrichi au début des années 2000 grâce à l'acquisition par les Archives départementales du deuxième tome d'un inventaire du chartrier de Gourgue établi au XIXe siècle. Cet inventaire recensait tous les documents conservés par la famille de Gourgue et propose pour chaque acte un résumé.
De même, les Archives départementales de Seine-Saint-Denis ont également acquis un livre de comptes appartenant à la famille de Gourgue qui a ainsi pu être intégré dans le fonds et compléter les informations conservées.

Description :

Mise en forme :
Avant le traitement du fonds de juin à septembre 2011 aux Archives départementales de la Seine Saint-Denis, les archives de la famille de Gourgue avaient été étudiées, avec l'autorisation du directeur des Archives départementales du moment, Agnès Magnien, de juillet 1998 à juillet 2000 par trois bénévoles extérieurs aux équipes du service des Archives départementales : René Chapon, Pierre Peyrecave et Henri Proux. Ces bénévoles avaient entrepris l'inventaire du fonds sans toucher à l'ordre mis en place précédemment. La persévérance de leur travail a permis la publication d'un répertoire numérique qui décrivait chaque pièce du fonds. L'inventaire produit est coté en bibliothèque de la salle de lecture des Archives départementales de la Seine-Saint-Denis 93 AD35. Ces bénévoles avaient néanmoins déjà souligné dans leur introduction la nécessité pour une meilleure compréhension de regroupements logique et d'un reclassement intégral du fonds. C'est l'objectif que se sont fixées les Archives départementales de Seine-Saint-Denis en 2011. Il a été alors procédé à des regroupements en dossiers ainsi qu'à un reconditionnement des documents.
Le présent inventaire a des parti-pris assumés en matière de description archivistique, et notamment en matière de description matérielle et physique des documents. Ainsi, lorsqu'un document écrit n'est composé que d'une seule pièce, cela n'est pas mentionné ; cela signifie que lorsqu'il n'y pas pour certains dossiers de description physique, ce dossier est constitué d'une seule pièce. De même, la nature du support est indiquée uniquement lorsque les documents ne sont pas sur papier. De même, la mention « liasse » fait référence à des documents originellement attachés ensemble ; on parle alors de feuillets.

Conditions d'accès :

Librement communicable.

Conditions d'utilisation :

Reproduction des documents libre.

Description physique :

25 boîtes, correspondant à 3,1 ml.

Ressources complémentaires :

Répertoire sous format PDF.
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13 AP. Fonds Gourgue, Le Clerc de Cottier et chartrier du marquisat d'Aulnay.
13 AP 1-2 : papiers de la famille de Gourgue : expéditions d'arrêts de juridictions diverses, lettres de chancellerie, requêtes et autres pièces de procédure, actes notariés et pièces diverses concernant Ogier de Gourgue et ses descendants (XVIe-XIXe siècle)
13 AP 3 : papiers personnels des Le Clerc de Cottier, alliés aux Gourgue au XVIIe siècle ; XVIIe siècle.
13 AP 3-5 : papiers de la seigneurie d'Aulnay (XIVe-XVIIIe siècle).
109 AP. Collection et fonds Gourgue.
109 AP 1-12 : collection constituée par le vicomte Alexis de Gourgue : titres divers, XIIe-XIXe siècle.
109 AP 13-19 : archives de la famille de Gourgue, XVIe-XIXe siècle
Série K, documents entrés par voie extraordinaire.
1 K 38 : papiers extraordinaires des guerres, 1744-1757. Un carton contient des papiers judiciaires d'Armand-Jacques de Gourgue, maître des requêtes.
Série E, titres féodaux et titres de familles.
2 E 1405 1: documents de la famille de Gourgue, 1324 (copie)-1728.
2 E 1405 2 : documents de la famille de Gourgue, 1753.
Fonds Conserves aux Archives départementales des Landes
Série E, titres féodaux et titres de familles.
E 27 : registre des reconnaissances consenties au profit d'Armand-Jacques de Gourgue, 1684-1692.

Références bibliographiques :

La bibliographie reprend quelques ouvrages usuels et n'a pas vocation à être exhaustive.
JOUGLA DE MORENAS (Henri), WARREN (Raoul, comte de), Grand armorial de France, Paris, 1934-1939, 6 vol.
LA CHESNAYE-DESBOIS (François Alexandre Aubert de), Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leurs armes et l'état des grandes terres du royaume, [Paris, Duchesne, 1757-1765, 7 vol.], Paris, Berger-Levrault, 1980,10 vol.
LEBEUF (Jean), BOURNON (Fernand), Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris par l'abbé Lebeuf,[Paris, Prault père, 1754-1757, 7 vol.] Paris, Féchoz et Letouzey, 1893, 6 vol.
BULARD (Alain), « Les anciens moulins d'Aulnay », Cercle archéologique historique région Aulnay-Bulletin,1971, n°26.
CARVALHO RUAS (Esther de), Aulnay-Lès-Bondy, une communauté villageoise fin XVIIe- fin XVIIIe siècle, mémoire de maîtrise sous la direction de Marie-José Michel, 2000, 268 p.
JENN (Jean-Marie), ASTRUC (Jean),« Deux chartes d'Aulnay (1208-1455) : Etude de deux documents pour l'histoire rurale », Bulletin de la société historique du Raincy et du pays d'Aulnoye,n°38, janvier 1971, p.3-4.
PRINCET (Jules), Histoire d'Aulnay-sous-Bois,[Aulnay-sous-Bois, Les Amis de Jules Princet, 1936, 168 p.] Paris, Le Livre d'histoire, 2001, 168 p.
RABAT (Guy), Aulnay-lès-Bois, 1771-1836,mémoire de maîtrise sous la direction de Jacques Dupaquier, s.d., 121 p.
Le Patrimoine des communes de la Seine-Saint-Denis, éd. Clothilde BREGREAU, Laurence JANKOWSKI DE NIEWMIERZYCKI, DidierLAMARE, Charenton-le-Pont, Flohic, 1994, 413 p.
SOITEL (Ernest), « Jadis Aulnay-en-France ; Hier Aulnay-lès-Bondies ; Aulnay-sous- bois aujourd'hui », Notre contrée : Revue régionaliste de la banlieue nord-est de Paris,1969, n°167.
SOITEL (Ernest), « Savigny et son origine », Notre contrée : Revue régionaliste de la banlieue nord-est de Paris, 1969.
ZURFLUH Pierre, « Savigny », Cercle archéologique historique Région Aulnay - Bulletin », 1975.
COURBIN Elsa, Notoriété locale et service du roi en Bordelais : Marc-Antoine de Gourgue, de l'héritage d'Ogier de Gourgue à la première présidence du parlement de Bordeaux,thèse pour le diplôme d'archiviste-paléographe, 2010, 237 p.
GUENEBAUT Jean, « La succession de Gourgue en 1797 », Cercle archéologique historique Région Aulnay - Bulletin, 1995.

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis.

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD093_008217

Où consulter le document :

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis

Archives départementales de la Seine-Saint-Denis

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