Inventaire d'archives : 44 F - Fonds du Parc (château de Brognon)

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Compte-tenu des remarques précédemment énoncées, le fonds a été divisé en quatre parties comprenant respectivement les papiers de la famille Pérard et de ses domaines, ceux de la famille Charpy et des siens, ceux de la famille Du Parc et des siens, enfin ceux de la lignée issue de l'union de ces trois familles et des biens qu'elle a gérée.
En tête du fonds Pérard figurent les papiers personnels des membres de la famille depuis Etienne 1er Pérard conseiller maître à la Chambre des Comptes de Dijon [cf. ARBAUMONT (J. d'), Armoriai de la Chambre des Comptes de Dijon, Dijon, 1881, p. 209.], jusqu'à Jean Pérard, président à mortier au Parlement de Dijon [cf. DESMARCHES (A.S.), Histoire du Parlement de Bourgogne de 1733 à 1790, Chalon-sur-Saône, 1851, p. 17 et 137.]. L'essentiel provient de l'avant dernier représentant de la famille, Jean Pérard-Floriet, qui devait ce second nom, que son fils ne releva pas, au premier époux de sa tante maternelle, Jean Floriet, dont il était le filleul et le seul héritier [cf. 44 F 5]. Les pièces qui se rattachent à lui forment quatre groupes :
  • papiers personnels proprement dits (44 F 8-22)
  • papiers de la famille Masson de laquelle était issue son épouse, Eléonore-Françoise Masson de Gendrier (44 F 23-34), et de la famille Perrault, éteinte en 1726 en la personne de Guillaume Perrault qui légua ses biens [Dans la succession figuraient des tableaux, parmi lesquels le "Tryptique des Sept Sacrements" de Rogier Van der Weyden qui fut l'objet d'une expertise et d'un important échange de correspondance (44 F 38). Ces documents ont été utilisés par M. Pierre QUARRE, Le tryptique des Sept Sacrements de Rogier Van der Weyden en Bourgogne (à paraître dans les comptes-rendus du colloque de Neuchâtel du Centre Européen d'Etudes Burgundo-médianes).] à Marie-Anne de Mucie, femme de Philibert Masson et au frère et à la soeur de celle-ci, Guillaume et Jeanne-Marie de Mucie (44 F 35-41).
  • titres et procédures de liquidation des rentes provenant des familles Masson, de Mucie et Perrault (44 F 42-49).
  • dossiers de la succession de Jean Pérard-Floriet et Eléonore Françoise Masson de Gendrier, reportés ici parcequ'ils sont étroitement liés à la prétendue émigration de Jean Pérard et à celle de ses soeurs et que leur liquidation s'étend de ce fait jusqu'à 1827 (44 F 50-56).
Les papiers de Jean Pérard, fils des précédents, sont complétés par quelques liasses concernant le fief de Grand-Mont à Argilly, propriété de la famille Guyard de Changey (44 F 96-102).
Ensuite viennent les titres des domaines parvenus, quelle que soit leur origine, entre les mains de Jean Pérard-Floriet (44 F 114 - 243). Il s'agit du péage de la Saône à Saint-Jean-de-Losne, de quelques maisons à Chalon, de biens situés à Cuiseaux et aux environs (Balme, Champagnat, Digna, Domartin, Joudes, Mariés, Semon, Vaux et Arbuans) et à Saint-Mar- cellin de Cray et aux environs (démembrement de la seigneurie de La Serrée), ainsi que de quelques terres isolées [Tous situés en Saône-et-Loire]. Tous ces biens ont été soit liquidés lors du règlement de la succession Pérard-Masson, soit vendus par Jean Pérard.
Les titres de la famille Charpy de Jugny ne comportent que quelques dossiers personnels (44 F 250 - 263). L'essentiel en est constitué par les fonds des domaines de Corberon et Villy-le-Brulé, et de Saint-Usage, Echenon et les Maillys [Côte-d'Or]. Quelques liasses concernant Varanges sont complémentaires de ce qui est parvenu par voie de confiscation aux Archives départementales de la Côte-d'Or [E 369-370]. Aux papiers Charpy de Jugny se rattache un ensemble de pièces arrivées en la possession de Nicolas Charpy en conséquence de ses mariages avec Marie-Elisabeth puis Madeleine- Lazarine Delamare (44 F 425-569) : à la suite de papiers personnels plus cohérents que ceux de la famille Charpy proprement dite, s'y trouvent des titres domaniaux provenant en particulier d'Aluze [Saône-et-Loire] de Beaune, où la famille Delamare joua un rôle prépondérant, et de Meursault et Monthélie [Côte-d'Or].
Les archives de la famille Du Parc rassemblent les papiers des membres de celle-ci depuis Nicolas Du Parc, époux de Jacqueline de Crux qui lui apporta la terre de Mesnil-au-Val [Manche], jusqu'à Henri, Louis Caroline et Amélie, enfants de Constantin-Frédéric-Timoléon Du Parc et de Marie-Elisabeth de Caillebot La Salle. Les pièces concernant Maurice- Henri-Frédéric Du Parc, leur frère, qui épousa en 1820 Clotilde Charpy de Jugny, ne figurent pas ici : elles constituent la base de la troisième partie du fonds. L'élément principal de ces archives familiales est du à Constantin-Frédéric-Timoléon Du Parc (44 F 609-675), ardent royaliste, volontiers auteur de poèmes et de pamphlets, qui fut député de la Manche pendant la Restauration et a laissé de très nombreuses notes sur les sujets les plus divers.
A côté des papiers personnels les titres domaniaux font assez piètre figure car il s'agit en fait de débris ayant échappé aux saisies révolutionnaires [Le fonds Du Parc, compris dans la série E des Archives départementales de la Manche a disparu dans 1 ' incendie qui a détruit ce dépôt en juin 1944. Il comprenait notamment des titres des terres de Barville, Mesnil-au-Val et Reville dont quelques épaves ont été retrouvées à Brognon.] et apportés à Brognon par hasard (44 F 692-736). Le seul ensemble un peu homogène est une série de liasses relatives à des fiefs appartenant au prieuré de Saint-Hélène [Le fonds de ce prieuré, conservé aux Archives départementales de la Manche, a subi le même sort que le fonds Du Parc.] à Omonville et Diguleville [Manche] entre 1410 et 1729.
En tête de la dernière partie sont classés les papiers personnels de Maurice-Henri-Frédéric Du Parc et Clotilde Charpy de Jugny et de leurs descendants, ainsi que de quelques familles alliées (notamment famille Clément-Drevon), jusqu'à Robert Du Parc, élève en 1914 du collège de Marneffe en Belgique. La plus grande partie vient de Charles-Maurice Du Parc, mort en 1912, qui avait épousé Marie-Julie-Edith de Mesgrigny, dernière descendante d'une vieille famille champenoise [cf. ROSEROT (A.), Dictionnaire historique de la Champagne méridionale, t. III, Troyes, 1948, p. 1763-1764.] à laquelle est due la présence de titres concernant diverses successions échues aux Mesgrigny et celle de son propre frère, Claude-François dit Frank, mort célibataire, ainsi que des documents isolés ayant appartenu à la famille Pagès dont était issue sa mère (44 F 780-811). Aux papiers Mesgrigny et Pagès se rattachent quelques dossiers de domaines dont les plus importants sont relatifs à une vaste propriété située en bordure de Seine à Suresnes [Hauts-de-Seine].
Après quelques papiers isolés, parmi lesquels une belle série de faire-part expédiés et reçus, cette quatrième partie s ' achève avec les titres des domaines de Saint-Julien, Brognon, Brétigny et Clénay [Côte d'Or]. En fait, il s'agissait à 1'origine de deux seigneuries bien distinctes 1'une de 1'autre : le Val Saint-Julien d'une part, auquel était rattachés Brétigny et Clénay [cf. BOLOTTE (M.), La baronnie de Val de Saint-Julien à travers les âges, Dijon, 1961, 159 p.], et Brognon de 1'autre. Possédées toutes deux par les Saulx-Tavannes au milieu du XVIIè siècle, elles devaient rester unies en de mêmes mains jusqu'en 1742, date à laquelle le règlement de la succession de Jean Baillet, président à la chambre des Comptes [cf. ARBAUMONT (J. d'), op. cit., p. 32.] attribua Brognon à Philibert Fyot de La Marche, mari de Marguerite Baillet et Saint-Julien à Mathurin Baillet, puis à son fils Guillaume.
Dès 1783 les deux seigneuries étaient à nouveau réunies en indivis entre les mains de Madeleine Fyot de La Marche, veuve de Dominique-Jacques Barberie de Courteilles, et de Marguerite-Suzanne Fyot de La Marche, épouse d'Antoine La Voyer de Paulmy d'Argenson, filles de Claude- Philibert Fyot. Un an plus tard elles cédaient le tout à Jean Pérard. Cette longue coexistence a peu à peu introduit une certaine unité de gestion des biens, unité que contribua à développer l'importance, sans cesse accrue jusqu'aux derniers mois de l'ancien régime, du château de Brognon.
Lorsqu'il avait acquis Brognon et Saint-Julien, en 1714, Jean Baillet ne semble pas s'être soucié de récupérer les archives des seigneuries dont il devenait titulaire [Il avait alors reçu un terrier de Saint-Julien de 1626, un terrier de Brognon de 1652, les lettres d'affranchissement de mainmorte du Val-Saint-Julien, un dénombrement de la moitié de Brognon relevant de Saint-Julien donné en 1607, quelques actes d'achat et un bail (cf. 44 F 841).], car trente ans plus tard Claude-Philibert Fyot déplorait de ne disposer pour Brognon que d'un terrier récent et, après avoir précisé la tradition d'un abandon de ces archives aux Saulx Tavannes, déclarait : "Suivant l'inventaire fait après la mort de Madame Baillet et ensuite celle de Monsieur Baillet, il paraît qu'un grand nombre de titres et papiers des terres de Saint-Julien et de Brognon fut confié à Monsieur le chevalier Baillet [Mathurin Baillet.]. Il n'en est pas disconvenu, mais comme il n'en fut point chargé par inventaire il faut s'en rapporter à lui. Depuis peu il m'a remis quelques papiers de peu de conséquence et m'a promis de chercher et de remettre ceux qu'il trouvera encore soit à Dijon, soit en sa maison de Noiron..." [cf. 44 F 1020, p. 108.].
D'autre part des titres demeuraient entre les mains du liquidateur de la succession Baillet, dont Claude-Philibert Fyot espérait bien obtenir au moins des copies.
Ses efforts, liés au souci de reconstituer les seigneuries dans leur intégralité, semblent avoir été partiellement couronnés de succès, mais le mode de rassemblement des archives perpétua au sein de celle-ci la plus grande confusion en dépit de l'établissement d'un inventaire [cf. 44 F 1015. Presque toutes les pièces décrites dans cet inventaire ont été pourvues de nouvelles cotes par Bridât.].
Le classement entrepris par le feudiste Bridât dès l'achat par Pérard ne contribua qu'imparfaitement à clarifier la situation car il tenta en vain de distinguer le fonds de Saint-Julien de celui de Brognon : il établit bien deux inventaires correspondant à deux cotations distinctes mais il classa dans le fonds de Brognon des titres relatifs à Saint-Julien et surtout abandonna sans les mettre en ordre beaucoup de documents après avoir pourtant annoté certains de sa main, suivant un procédé qui lui était coutumier.
II a donc fallu établir un cadre de classement qui tienne compte de ces divers éléments. En tête ont été placés les documents concernant à la fois Saint-Julien, Brétigny, Clénay et Brognon depuis le début du. XVIIIè siècle jusqu'à 1943 (44 F 839 - 869).
Puis viennent les archives de Saint-Julien divisées en deux groupes : titres inventoriés par Bridât (XVè-XVIIIè siècle) et titres non inventoriés (XVIè-XXè s.), y compris ceux de Brétigny et Clénay (44 F 870 - 991). Ensuite celles de Brognon, qui ont fait l'objet de la même distinction : titres inventoriés par Bridât (XVIè-XVIIIè s.) et titres non inventoriés (XVIIè-XXè s.) (44 F 992 - 1066).
Des documents isolés concernant des domaines dispersés (Beire-Le-Chatel, Dijon, Orgeux, Trochères, Etevaux et Marandeuil) complètent cette partie. Des pièces disparates achèvent le fonds.
En dépit de pertes importantes ce fonds demeure l'un des plus importants qui soient entrés dans la série F des Archives départementales de la Côte d'Or [Avant même que son classement soit achevé il a été utilisé par M. Pierre QUARRE pour une recherche sur le Tryptique des Sept Sacrements (voir ci-dessus) et par Mlle Anne-Marie PARIS pour une thèse de 3è cycle intitulée Grands propriétaires fonciers en Côte d'Or (1750-1830) préparée à l'Université de Paris I sous la direction de M. SOBOUL.].

Cote :

44 F 1-1097

Publication :

Archives départementales de la Côte-d'Or
1977
Dijon

Informations sur le producteur :

Biographie ou histoire
Les vicissitudes consécutives à deux guerres et à diverses tribulations antérieures avaient fait des archives conservées au château de Brognon un tas informe de documents qu'il fallut extraire d'un grenier à l'aide de corbeilles à linge lorsque, pour en assurer la sauvegarde, M. le comte Jean Du Parc prit l'initiative, en juin 1970, d'en faire don aux Archives départementales de la Côte d'Or.
Le classement de ce premier ensemble était achevé et le répertoire en était dactylographié quand, en décembre 1975, à la suite d'accords familiaux, une partie du fonds qui avait été distraite lors de partages intervenus au XIXè siècle, fut retrouvée dans les greniers de l'hôtel sis 35 rue Vannerie, à Dijon. Il y avait là, outre les archives de la famille Charpy de Jugny, représentées seulement par quelques pièces, isolées dans le premier lot, des documents provenant des dossiers ayant fait l'objet du premier don. Aussi fallut-il refondre complètement le classement primitif et établir un nouveau répertoire comportant 365 cotes complémentaires [Registre d'entrées n° 3090. Le fonds occupe 20 m de rayonnage (11 m,30 + 8 m,70).].
Le fonds ainsi constitué rassemble d'une part les archives des familles Pérard, Charpy de Jugny et Du Parc, d'autre part celles des seigneuries de Brognon et de Saint-Julien acquises en 1784 par Jean Pérard, président au Parlement de Dijon.
L'achat de Brognon et Saint-Julien couronnait l'édification d'une fortune patiemment formée depuis le début du XVIIè siècle et qui venait de recevoir un accroissement considérable à la suite du mariage de Jean Pérard-Floriet, en 1741, avec Eléonore Masson de Gendrier, dernière représentante de lignées richement possessionnées en Chalonnais et Charolais. Lorsque ces personnages disparurent sans avoir fait de testament, en 1791 et 1792, ils laissaient trois héritiers : un fils, Jean Pérard, président au Parlement de Dijon, et deux filles, Madeleine-Philiberte, épouse de Nicolas Jannon, qui avait été l'homme de confiance de son beau- père, et Henriette-Marie, épouse de Jean-Baptiste Charpy de Jugny, dont une fille, Clotilde, devait s'unir en 1820 à Maurice-Henri-Frédéric Du Parc à qui elle transmettrait ce qui restait de l'héritage familial. Tous trois avaient émigré ou étaient sur le point de le faire [cf. MONTARLOT, Les émigrés de Saône-et-Loire, dans Mémoires de la Société Eduenne, t. XLIII, p. 36 ; t. XLIV, p. 187 et t. XLV, p. 348.]. Mais, conscient des périls que son absence faisait courir à sa fortune, Jean Pérard, jouant des ambiguïtés de la vie nomade qu'il menait entre Chalon, Cuiseaux et Brognon, parvint à se faire rayer de la liste des émigrés le 26 thermidor an III [cf. Arch. dép. Côte-d'Or, Q 1087/2]. Ses meubles seuls ayant été vendus, il se fit restituer ses biens et s'attacha au difficile règlement de la succession de ses parents.
Une partie seulement des archives conservées à Brognon, objet en 1794 d'un inventaire du au citoyen Berlier gui semble avoir très tôt disparu, avait été saisie. Elles lui furent rendues en deux fois, le 23 ventôse et le 24 floréal an III, avant même sa radiation définitive de la liste des émigrés [cf. id., Q 692, fol. 74 v°- 75 r° et fol. 83 v° - 84 v°.]. Cette remise, comme beaucoup d'autres, ne fut pas totale puisque divers documents, demeurés entre les mains de l'archiviste Coindé, furent ultérieurement classés dans la série E des Archives départementales de la Côte d'Or [cf. id., E 1463 – 1473], mêlées d'ailleurs à des papiers provenant de Bernard-Etienne Pérard de La Vesvre et de Bénigne Bouhier. De même les archives départementales de Saône-et-Loire ont conservé des titres concernant Saint-Marcellin-de-Cray et quelques documents familiaux [Arch. dép. Saône-et-Loire, E 441 - 442.].
Ces archives parvinrent en 1837 à l'unique héritière de Jean Pérard, sa nièce Clotilde Charpy de Jugny, qui avait épousé en 1820 Maurice-Henri- Frédéric Du Parc. Elle-même avait reçu une partie des titres de la famille de son père, Jean-Baptiste Charpy, lui aussi dernier représentant de sa lignée. Ces documents avaient subi le même sort que ceux appartenant à Pérard : ils avaient été saisis puis partiellement restitués [cf. Arch. dép. Côte-d'Or, E 368 – 370].
A ce noyau primitif se juxtaposa, vers 1840, le fonds Du Parc proprement dit, échu à Maurice-Henri-Frédéric Du Parc, d'origine normande. Maurice Du Parc étant alors le seul représentant mâle de cette famille qui faisait remonter ses origines à de lointains ancêtres bretons, apporta à Brognon non seulement des documents familiaux, dont les plus anciens datent de la fin du XVIè siècle, mais aussi quelques titres de terres normandes du XVè au XVIIIè siècle.
Enfin l'ensemble fut complété tout au long du XIXè siècle et jusqu'à la veille de la seconde guerre mondiale par des papiers émanant de la famille Du Parc et par ceux relatifs à la gestion des domaines de Saint-Julien et de Brognon. Tous les autres biens avaient été liquidés avant la mort de Jean Pérard intervenue en 1837.
La transmission de ces masses d'archives ne s'est pas effectuée sans encombre, malgré le soin apporté à leur conservation tant par la rédaction d'inventaires à la fin du XVIIIè siècle que par l'aménagement, entre 1869 et 1871, de rayonnages dans la bibliothèque du chateau. L'absence d'une partie des documents restitués en l'an III et les lacunes qui apparaissent à l'intérieur du classement établi au XVIIIè siècle, dont il subsiste des inventaires très complets pour Brognon et Saint-Julien [Un exemplaire mutilé de cet inventaire est conservé aux Archives départementales de la Côte-d'Or (E 1472, cf. CLAUDON (F.), Répertoire critique des anciens inventaires des Archives de la Côte- d'Or, t. II, p. 198). L'inventaire complet, œuvre de Simon Bridât, est resté au château de Brognon, les Arch. dép. en possèdent un microfilm.], permettent de mesurer l'importance des pertes.
Témoignent aussi des dispersions quelques pièces, parvenues aux Archives départementales de la Côte-d'Or par des voies les plus diverses, dont l'appartenance au fonds est évidente. Elles ont été unies aux dossiers qu'elles concernaient et leur provenance signalée en note.

Conditions d'accès :

Modalités d'accès
Sont exclus de la communication pendant 30 ans les articles 44 F 813 à 818, 828 et 863.

Description physique :

Description physique: Document d'archives
Nombre d'unités de niveau bas
Nombre d'unités de niveau bas: 1107

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de la Côte-d'Or

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD021_000002362

Type de document :

Document d'archives

Archives départementales de Côte d'Or

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