Inventaire d'archives : Recherche ; Recherche et technologie (1975-1988)

Contenu :

SERVICE VERSANT
Une fois n'est pas coutume, il n'y a pas à proprement parler de "service versant" mais une succession d'instances administratives de coordination de la Recherche qui, des années 1975 à 1988, dates extrêmes de ce versement, ont exercé la tutelle de cet organisme le , créé par le Gouvernement le 18 octobre 1945. Commissariat à l'Energie atomique
Ce fonds d'archives a donc été rattaché au Département scientifique Energies et ressources minérales bien que ce service n'en n'a pas effectué le versement mais il est l'héritier depuis le décret du 10 mars 1989 portant organisation de l'administration centrale du Ministère, de cette procédure administrative qu'est la tutelle d'un organisme de recherche. Ce département comme tous les départements scientifiques est coordonné par la Direction scientifique et technique et rattaché à la Direction générale de la Recherche et de la Technologie (DGRT) du Ministère.
FONDS VERSES
Au nombre de 4, ils appartiennent pour le RE 157, à la Délégation générale à la Recherche scientifique et technique (DGRST) et pour RE 344, 500 et 520, au Ministère, héritier de la DGRST :
RE 157/1-2 : DGRST, fonds M. FARGE alors conseiller scientifique du secteur Physique, Chef de la Division du Fonds de la Recherche puis Directeur de la Mission scientifique et technique 1980-1981
RE 344/1 : MRES/Cabinet, secrétariat particulier de M. VALADE, Ministre, fonds Melle Villeneuve...1987-1988
(Présidence du Ministre aux réunions du Comité de l'Energie atomique)
RE 500/1-4 : MRT/MRI/MIR(1)/DPG puis DPGR : fonds MM. THERY, Directeur de la Politique générale (DPG), SAVELLI et BERNARD, conseillers pour les affaires CEA près de la DPG/DPGR puis auprès de la Direction générale de la Recherche et de la Technologie
(DGRT) 1982-1988
(récupération de pilon au BONCOURT)
RE 520/1-24 : MRT/MRI/MIR/MRT/MRES  : fonds M. CURIEN, Ministre, MM. THERY, SAVELLI et BERNARD (déjà cités) ;
Succession des diverses appellations du "Ministère de la Recherche".
MM. MORIN, Directeur de la DGRT, DEMARCQ et KASPAR, conseillers pour les affaires du CEA, BRAVO alors Directeur adjoint de la DGRST , puis adjoint au Directeur de la Politique générale, chargé de la programmation au sein du MRT, Directeur de la Direction du financement de la Recherche. A ce titre, il participe pleinement au fonctionnement du Comité financier ... 1981-1988
Les documents de 1981 le concernant ont été ventilés en première partie du classement, celle intéressant la DGRST.
(Ensemble du fonds RE 520 prélevé au coffre sis dans le département Recherche et Industrie de la DDSTIAR, sur la demande de Mme SEYVET)
D'un métrage initial de 11 ml, ce versement fut trié, réduit à 9 ml et classé en fonction des trois fonds d'archives simultanés existant au niveau du Comité de l'Energie atomique et conservés au coffre : celui du Ministre, du Directeur de la DPG puis du Directeur de la DGRT et celui des conseillers. Ont été conservés les documents de travail soumis à délibération en un jeu complet, avec ordre du jour et PV de réunion ainsi que ceux annotés de la main des conseillers. Les archives de M. THERY et de MM. SAVELLI et BERNARD sont particulièrement fécondes en notes manuscrites donnant un éclairage particulier aux notes élaborées et décisions prises. Les documents éliminés ont fait l'objet d'un pilon ministériel.
QUELQUES ELEMENTS D'HISTOIRE
Le CEA créé en 1945 par le Gouvernement provisoire de la République, fut chargé "de prendre toutes mesures utiles pour mettre la France en état de bénéficier du développement de l'énergie nucléaire pour qu'elle puisse être utilisée dans les divers domaines de la science, de l'industrie et de la Défense nationale..."
A cette époque, le CEA partait pratiquement de zéro . Sa première tâche fut donc de créer et de réunir au plus vite les moyens indispensables à l'accomplissement de sa mission : moyens humains et installations.
Extrait de Hirsch (Robert), du CEA in revue , mars 1970 vocation et missionsDéfense Nationale
Commissaire à l'Energie Atomique pendant 6 ans, Irène Joliot-Curie participa à la création du CEA et à la construction dé la première pile atomique française (dont le premier brevet fut déposé en 1939 par Joliot-Curie, Halban, Kowarski et Francis Perrin. A noter que la fabrication de la 1 pile atomique sur le plan mondial fut celle de Fermi à Chicago, le 2 décembre 1942). Elle fut à l'origine des plans du Centre de physique nucléaire d'Orsay. ère
Nommé en 1937 Professeur au Collège de France, Frédéric Joliot fit construire pour son laboratoire, le premier cyclotron de l'Europe occidentale. Il étudia les réactions en chaîne et les conditions de réalisation d'une pile atomique à uranium et à eau lourde. Nommé Haut Commissaire à l'énergie atomique en 1946, il dirigea la construction de la première pile atomique française en 1948. Relevé de ses fonctions de Haut Commissaire en 1950, il consacra les 2 dernières années de sa vie à la mise en route et au développement de l'Institut de physique nucléaire d'Orsay. Son successeur en qualité de Haut Commissaire fut Francis Perrin, fils du physicien Jean Perrin, de 1951 à 1970 ; Louis le Prince Ringuet, Commissaire.
Les missions du CEA vont de la recherche fondamentale en physique des hautes énergies, biologie, physique du solide... à la recherche appliquée, à la production d'énergie, aux applications militaires, à la production des matières de base de l'industrie nucléaire, à la production et aux applications des radioéléments, à des études technologiques diverses...
Ce fonds ne traite bien évidemment que des applications civiles bien que la distinction entre activités militaires et civiles ne soient pas toujours évidente car les recherches de base sont communes ; la recherche et la fourniture d'uranium sont réalisées par une même unité pour les deux secteurs d'activité ; De nombreuses techniques étudiées et mises au point pour les besoins des programmes militaires sont maintenant appliquées aux programmes civils, par exemple : le retraitement du combustible irradié...
Le CEA n'est donc pas seulement un organisme de recherche : une part importante de son activité est consacrée à la production. Le CEA met en oeuvre des technologies nouvelles développées par l'organisme de recherche
Renon (Gérard), le CEA : quarante ans de retombées in hiver 86, pp.85.96 politique industrielle
Au cours des premières années, les travaux du CEA eurent un caractère essentiellement scientifique. L'année 1952 marqua un véritable tournant et le programme devint industriel grâce à l'adoption par le Parlement du plan quinquennal nucléaire proposé par Félix Gaillard
Goldschmidt (Bertrand), (Paris, 1980), p.261 le complexe atomique
1) les productions
l'une des missions principales étant d'assurer l'indépendance de la France quant à son approvisionnement en matériaux fissiles, des campagnes de prospection minière en uranium naturel tant en France (notamment dans le Limousin) qu'en Afrique noire (Niger, Gabon, République centrafricaine) furent lancées. Il faut souligner que depuis 1954, l'initiative privée est de plus en plus largement associée à la politique minière du CEA, de la prospection à l'exploitation du minerai.
En 1955, les deux responsables du CEA, Pierre GUILLAUMAT et Francis PERRIN, estimèrent le moment venu d'entreprendre avec l'EDF, les premières études en vue de la mise sur pied d'un programme français pour les dix à vingt années à venir. Dans ce but, une Commission consultative pour la production d'électricité d'origine nucléaire (dite commission PEON) fut créée, groupant les représentants d'EDF, du CEA et de l'industrie, et, dès l'été 1955, cette commission donna son accord à un programme proposé par EDF et le CEA comportant, à partir d'une première centrale EDF1, une série de prototypes de plus en plus puissants inspirés des réacteurs de Marcoule. L'utilisation de l'uranium naturel par les filières graphite-gas permettait de produire l'électricité mais ces filières étaient lourdes et ne permettait pas de monter très haut en puissance fournie. De Gaulle soucieux de notre indépendance nationale refusait d'acheter aux américains et aux soviétiques, l'uranium enrichi dans leurs usines . Constatant néanmoins les progrès des réacteurs américains à uranium enrichi, la France dût les imiter d'abord en achetant puis en fabriquant à Pierrelate, ce combustible.
Le prince Ringuet (Louis), (Paris, 1991), p.178 Noces de diamant avec l'atome
En 1970, les centres de production étaient les suivants :
* Divisions minières : la Crouzille (Limousin)
" le Forez " " Vendée.
Dans chacune de ces divisions chimique de concentration de minerais. est installée une usine
* Elaboration de l'uranium métallique :
- Usine du Bouchet (région parisienne).
- Usine de Malvési (Aude), qui appartient pour une part au secteur privé.
* Production de plutonium :
- Centre de Marcoule (Gard).
- Centre de la Hague (Manche).
* Production d'uranium enrichi :
- Centre de Pierrelatte (Drôme).
Actuellement, grâce au CEA et à l'EDF, nous disposons de 57 centrales en fonctionnement (sans compter les 7 en construction) qui fournissent un peu plus de 70 % de notre électricité et la vente d'une partie de cette énergie à nos voisins.
2) Recherche et développement
Le développement de technologies nouvelles va de pair avec la création de secteurs industriels nouveaux. Le développement nucléaire donne une illustration originale des rapports entre recherche et développement, industrie et marchés. Ainsi, dans le domaine de l'électronique, le CEA a mené des travaux considérables en mettant au point les appareils de mesure qui lui étaient nécessaires tant en recherche fondamentale que pour le contrôle des réacteurs et pour la détection des rayonnements. Il en va de même pour le secteur biomédical.
En 1970, les centres de recherche étaient les suivants :
* Centre de Saclay.
Travaux de recherches pour la mise au point de réacteurs électro-nucléaires (neutronique, thermique, etc...), sur les matériaux et les combustibles nucléaires, la protection contre les radiations, la recherche fondamentale (physique théorique, physique nucléaire et corpusculaire, physique du solide et résonnance magnétique, astrophysique, biologie), la production et les recherches pour l'utilisation des radioéléments et des molécules marquées ; recherches et promotion industrielle pour l'électronique nucléaire ; calcul électronique.
* Centre de Fontenay aux roses.
Recherches sur le traitement des combustibles irradiés et la métallurgie du plutonium sur les transuraniens, le contrôle des radiations et l'hygiène atomique, la fusion contrôlée, la minéralogie ; dans les piles de recherche du Centre les études portent essentiellement sur la pureté et les propriétés neutroniques des matériaux et sur les problèmes de protection.
* Centre de Grenoble.
Travaux de recherche fondamentale (physique du solide, résonnance magnétique, physique et chimie nucléaire...), physique des réacteurs nucléaires (études des transferts thermiques), métallurgie, radiobiologie et biologie végétale, électronique en particulier (en matière de composants).
* Centre de Cadarache.
Recherches sur les réacteurs à neutrons rapides et prototype de réacteur pour la propulsion marine ; études expérimentales sur les matériaux de structure des réacteurs et les éléments combustibles ; physique des réacteurs (grâce à des assemblages critiques) ; sûreté des réacteurs ; radioécologie continentale ; radioagronomie.
La richesse des compétences acquises applicables à des domaines non nucléaires a conduit à les valoriser industriellement en s'associant chaque fois que cela était possible à des entreprises extérieures au CEA. Ainsi est né un ensemble industriel comparable aux plus grands groupes français. En 1983, 25000 personnes (aux cté des 22900 personnes du CEA Recherche) constituent le CEA Industrie. Depuis 1983, l'ensemble des filiales et participations du CEA est détenu par sa filiale à 100 % CEA-Industrie. Principales activités : le cycle du combustible (COGEMA), les réacteurs, les services en informatique (groupe CISI créé en 1972), le Biomédical (ORIS Industrie).
En 1986, M. RENON, Administrateur général du CEA soulignait que ce groupe restait à forte prédominance nucléaire (environ 80 % de son activité) et le restera à moyen terme malgré une croissance plus rapide des activités non nucléaires. Il ne faudrait pas en déduire pour autant, ajoutait-il que le périmètre du groupe est intangible...
Ces définitions ont été relevées dans (MRT, Centre de documentation, D 5290 ; 91/0783, art 6) Retombées de la loi d'orientation et de programmation de la Recherche au CEA
Boucle Bethsy
Le CEA, EDF et Framatome ont décidé conjointement la construction d'une boucle dénomée "BETHSY" pour étudier les états accidentels et valider les procédures de conduite des réacteurs à eau sous pression. Cette boucle, véritable réplique au 1/100 d'une centrale du point de vue thermohydraulique, permet de reproduire effectivement les situations de refroidissement dégradées. e
Boucle MEGEVE
Construite au CEN Cadarache, cette boucle permet d'effectuer des tests globaux en eau-vapeur, dans des conditions réelles de température et de pression, sur une maquette d'un générateur de vapeur de 25 MW notamment celui d'un réacteur N4, afin d'améliorer les performances thermohydrauliques en régimes permanent et transitoire.
Conditionnement des déchets de haute activité
Les recommandations du rapport Castaing, dès 1982, ont donné une nouvelle impulsion à la R et D sur les techniques de conditionnement des déchets en permettant d'accentuer l'effort sur les études de base du comportement à long terme des conditionnements et de mieux garantir leur tenue.
Concernant les déchets de haute activité, un prototype A.V.H de vitrification continue a été mis en service à Marcoule dans les années 80 ; il avait pour but de confirmer les options techniques choisies pour les futurs ateliers de vitrification de la Hague, d'optimiser les conditions opératoires, de vérifier la faisabilité des composants et de comparer les qualités du verre fabriqué industriellement à celles du produit de laboratoire. inactif
Cette installation totalisait, fin septembre 1983, 3500 heures de marche
LEFCA
Le "laboratoire d'Etudes et de Fabrications Expérimentales de Combustibles Avancés" à base de plutonium appartient au CEN Cadarache. Il est équipé de laboratoires permettant des études de R et D ou de sûreté sur les combustibles nucléaires et plus précisément les actinides, les oxydes mixtes, les nitrures, carbures et carbonitrures d'uranium et de plutonium. En outre, il pouvait assurer dans les années 80 la fabrication des combustibles destinés aux réacteurs de recherche ou de démonstration testés dans Phénix.
MIMAS
L'accélérateur Saturne installé au CEN Saclay est utilisé en commun par les physiciens nucléaires du CEA / IRF et de l'IN2P3. Depuis sa rénovation en 1977, il permet d'accélérer des protons, des deutons et des ions moyennement lourds
Pour permettre à cet accélérateur de rester compétitif au plan international, il était nécessaire d'augmenter de façon notable l'intensité des faisceaux de particules et d'ions moyennement lourds, et d'accéder à des ions plus lourds que ceux atteints auparavant.
Ces deux objectifs se réalisèrent par l'adjonction d'un synchrotron de 5,4 m de rayon, situé à l'intérieur du grand anneau et dénommé MIMAS (Machine à Intensité Maximale pour Accélération et Stockage).
Il permet d'accroître d'un facteur important l'intensité des ions lourds polarisés, celle des ions lourds jusqu'à l'argon et de transférer à Saturne des ions plus lourds que l'argon.
Molybdène 99
Le molybdène 99 est un isotope à période courte qui produit, par décomposition, du technétium pour alimenter le vecteur médical du CEA, l'ORIS, qui l'utilise pour ses besoins industriels.
D'abord importé du Canada, le molybdène fut intégré dans les productions françaises. Pour ce faire, le CEA étudia la faisabilité d'une installation industrielle capable de produire 3000 curies/semaine à partir de ses réacteurs. produit
PIVER II
L'opération PIVER II à Marcoule est une installation de vitrification des déchets de très haute activité destinée à la R et D sur les verres de stockage.
Réalisée à l'emplacement de PIVER I après assainissement, les cellules ont été réaménagées par l'implantation d'une chaîne de vitrification continue à fusion haute température. Par ailleurs, cette installation doit servir à la production de verres expérimentaux actifs pour leur caractérisation ou la fourniture à l'étranger.
Le démarrage de l'exploitation était prévu début 1989.
Séparation isotopique
Suite à la loi d'orientation et de programmation de la recherche, la R et D en séparation isotopique fut menée activement dans le domaine des procédés dits avancés
Dans les années 80, 3 procédés sont prométteurs
-  : (par photodissociation de l'UF6) Le procédé Silmo
Ces recherches ont permies de mettre au point un convertisseur "RAMAN" à Saclay.
- , axé sur les essais de sources de plasma à métaux et la conception de nouvelles expériences. Le procédé par résonnance cyclotronique ionique
-  : photoionisation de la vapeur atomique : les difficultés au plan technologique de ce procédé ont conduit à mener plusieurs actions en parallèle : Le procédé SILVA
- le développement des sources : sources à cathode creuse, source par effet Joule, mise au point de sources à bombardement électronique linéaire.
- les études de l'extraction, de la spectroscopie de l'uranium atomique, des phénomènes de propagation.
- la mise au point de lasers : débouchant en 1983 sur la réalisation d'un laser à vapeur de cuivre par la société Cilas.
(station d'essais thermiques) SET
Achevée en 1983 au CEN Cadarache (Département des réacteurs à neutrons rapides), la station d'essais thermiques permet l'étude de la tenue en endurance de plusieurs tubes de générateurs de vapeur chauffés au sodium (en vraie grandeur).
Cette station, depuis juin 1984, est équipée d'une maquette dénomée "Catalina" composée de 4 tubes bobinés en hélice et conçue pour analyser la fatigue thermique des tubes de générateurs de vapeur de type "Superphénix"
SUPERACO
Superaco, machine annulaire destinée à fournir un rayonnement intense dans l'ultraviolet lointain a été installée dès les années 80 au LURE : Laboratoire pour l'Utilisation du Rayonnement Electromagnétique à Orsay au CNRS. Le CEA a participé au financement à hauteur de 25% et apporte au CNRS la collaboration de ses spécialistes.
TORE SUPRA
Le CEA, en association avec Euratom, a entrepris en 1983, sur le site de Cadarache, la construction d'un appareil complémentaire du JET, et de taille inférieure dénommé TORE SUPRA.
C'est une machine du type "tokamak", à bobines supraconductrices, destinée à étudier un plasma voisin du plasma de la fusion thermonucléaire, ainsi que le chauffage et le confinement de ce plasma pendant des impulsions très longues.
Sommaire
Art 1-27 : Tutelle du commissariat à l'énergie atomique exercée par la DGRST puis par le ministère, 1975-1988 A) tutelle exercée par la DGRST. Art 1-3 : Organigramme, programmes, S. D., 1975, 1978, 1980-1981 comité de l'énergie atomique, réunions, 1975-1981 comité financier, réunions, 1981 b) tutelle exercée par le ministère. Art 3 : Textes législatifs, organigramme, personnel, 1982-1988. Art 4-9 : Minutier chronologique, loi d'orientation et de programmation de la recherche, élaboration et mise en place de la politique de la recherche : Programmes, très grands équipements, régionalisation, groupe industriel CEA, 1984-1988 ; affaires budgétaires, affaires internationales, documentation, 1982-1988. Art 10-12 : CEA, conseil d'administration, réunions, 1983-1984. Art 13 : CEA, commission préparatoire, réunions, 1982-1984. Art 14-24 : Comité de l'énergie atomique, réunions, 1982-1988. Art 25 : Comité financier, réunions, 1981-1982 ; conseil scientifique, nomination de membres, réunion préparatoire sur les biotechnologies, 1982-1987. Art 26-27 : Institut de protection et de sûreté nucléaire : Textes législatifs, organigramme, notes et rapports, comité des programmes, documentation, 1982-1988

Cote :

19910783/1-19910783/27

Publication :

Archives nationales
1991

Informations sur le producteur :

Ministère ou secrétariat d'État chargé de la Recherche

Description :

Mise en forme :
Classement chronologique

Ressources complémentaires :

SOURCES D'ARCHIVES COMPLEMENTAIRES
Les documents portant sur la création du CEA, son organisation et son fonctionnement sont conservés dans les fonds des services du Premier Ministre.

Références bibliographiques :

BIBLIOGRAPHIE
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(Jacques), , réalisation et perspectives in , mars 1970. ROBERTla direction des applications militaires du CEARevue de Défense nationale

Localisation physique :

Pierrefitte

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAN_IR_008653

Archives nationales

Liens