Inventaire d'archives : Fonds Lucinda Childs

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Les archives de Lucinda Childs sont composées de deux sous-fonds bien distincts :
- les archives personnelles de la chorégraphe d'un côté, regroupant les dossiers de création liés à ses propres pièces mais aussi aux œuvres en collaboration avec d'autres auteurs (principalement Robert Wilson), accompagnés de séries de photographies, d'affiches et de films, ainsi que la presse liée à ses spectacles ;
- les archives de la Lucinda Childs Dance Company et autres archives de production, de l'autre côté, composées des dossiers d'administration et de production liés à ses créations et à ses collaborations artistiques.
Les dossiers de création tels qu'ils ont été conservés puis transmis par Lucinda Childs, contiennent principalement les éléments graphiques élaborés par la chorégraphe afin de construire ses pièces. Dans les années 1960, il s'agit de simples croquis de parcours accompagnés parfois de textes (dits sur scène) ou d'autres documents de travail (plans ou listes).
Lucinda Childs élabore dans les années 1970 un matériau plus complexe, créant de véritables partitions chorégraphiques. Outre ces partitions, présentes souvent dans des versions successives (allant dans quelques cas jusqu'au document d'exposition), le dossier de création recèle parfois le diagramme à partir duquel et selon un processus sériel, la chorégraphe a développé sa partition.
De la même façon, sont parfois présentes des grilles de composition, ayant permis de développer un modèle géométrique appliqué ensuite à la composition chorégraphique. De nombreux comptes détaillant la structure de la danse complètent ces dossiers ainsi que des documents destinés aux danseurs, et le plus souvent annotés par eux, afin de les aider à mémoriser leur partie.
A partir des années 1980, on y trouve également des partitions musicales et, plus rarement, des croquis et dessins pour la scénographie établis par Lucinda Childs elle-même ou bien par un collaborateur (les croquis pour les lumières de Robert Wilson par exemple pour « Relative calm » ou bien les diapositives de Robert Mapplethorpe destinées à être projetées dans « Portraits in reflection »).
De nombreuses photographies documentent parallèlement ces pièces de 1963 à 2001, les plus nombreuses datant des décennies 70 et 80 et réalisées par des photographes new-yorkais. Ce sont autant des photographies de répétitions que de représentations ainsi que quelques photographies prises lors de séances en studio.
La décennie 1960, années du Judson Dance Theater, est photographiée principalement par Peter Moore, Hans Namuth et Terry Schutte.
Les photographies de Babette Mangolte sont de loin les plus présentes, le fonds contenant plus de 30 reportages réalisés dans les années 1970, dont un certain nombre de portraits de la chorégraphe. Leur relation semble d'autant plus suivie que la photographe réalise également un film en extérieur de la pièce « Calico mingling » (1973). Les créations des années 1970 sont également très suivies par Nathaniel Tileston (dont le fonds totalise 17 reportages) qui réalise également des portraits de la chorégraphe et la suit jusqu'au début des années 1980. A noter également la présence importante de Richard Landry (8 reportages) et Frederick Eberstadt (6 reportages) sur cette décennie.
Les années 1980 sont représentées par Johan Elbers (qui commence à photographier les pièces de Lucinda Childs en 1978 et ce jusqu'en 1989 totalisant 9 reportages), puis Loïs Greenfield (7 reportages) et Martha Swope (6 reportages). Les années suivantes sont représentées de façon beaucoup plus succincte, chaque création ne faisant l'objet le plus souvent que d'un reportage photographique et d'auteurs divers selon les pièces.
Il est à noter que la liste des pièces présentes dans les dossiers de création n'est pas totalement identique à celle des pièces représentées par les photographies. Certaines sont documentées par un dossier de création mais ne sont pas présentes du côté des photographies et inversement.
Ces dossiers de création et ces photographies sont complétés par une série d'affiches (de 1977 à 2005) et par trois dossiers présentés sous forme de classeurs par la chorégraphe. Deux classeurs, l'un contenant des photographies et l'autre des programmes et de la presse, concernent la période du Judson Dance Theater, le dernier rassemble des programmes et des articles de presse couvrant les années 1973 à 1979.
Un grand nombre de vidéos et quelques films documentent également les œuvres de Lucinda Childs. Il s'agit le plus souvent de copies peu qualitatives d'enregistrements faits en majorité par des théâtres, plus rarement pour la télévision. Ce sont la plupart du temps des captations de représentations complètes mais dans beaucoup de cas non contemporaines de la création. Quelques films (pellicule) sont également présents.
Enfin ce sous-fonds contient une très large collection de coupures de presse composée de plus de 300 ensembles de documents allant de 1963 à 2009 selon un classement chronologique et documentant également cette diffusion internationale. Citons parmi les critiques les plus présents Jack Anderson, Clive Barnes, Jennifer Dunning, Deborah Jowitt ou encore Anna Kisselgoff pour la presse américaine, Lise Brunel, Hervé Gauville, Raphaël de Gubernatis, Marcelle Michel, René Sirvin pour la presse française mais aussi Leonetta Bentivoglio pour l'Italie ou Allen Robertson pour la Grande-Bretagne.
Le sous-fonds « Archives de la Lucinda Childs Dance Company (LCDC) et autres archives de production » recouvre, parallèlement aux « Archives personnelles de Lucinda Childs », l'ensemble des traces concernant les productions de la chorégraphe et leur diffusion dès 1973.
Ce sous-fonds regroupe ainsi près de 600 dossiers administratifs et de production gérés par Lucinda Childs et ses assistants pour partie et par l'agence Arts Service International de 1979 à 1996. Le classement d'origine de ces dossiers a été conservé. On peut ainsi distinguer quatre catégories : les dossiers concernant les années 1973 à 1979, première période avant la création de la LCDC pendant laquelle Lucinda Childs gérait elle-même la production et la diffusion de ses pièces, les dossiers liés aux productions de la compagnie LCDC, gérés par l'agence Arts Service International, les dossiers concernant les œuvres créées à l'invitation d'une autre compagnie et enfin les dossiers relatifs aux chorégraphies et mises en scène d'opéras.

Cote :

11 CHIL 1/1-8 - 25 CHIL/1513

Publication :

Centre national de la dans - Département Patrimoine, audiovisuel et éditions
2018
Pantin

Informations sur le producteur :

Origine:
Lucinda Childs
Biographie ou histoire
Née en 1940, Lucinda Childs grandit dans l'État de New York. Elle étudie la danse moderne auprès d'Hanya Holm qui la marque par son enseignement technique et ses improvisations dirigées. Après ses études secondaires, elle travaille avec Helen Tamiris et participe à la création de « The Vine or the Three », puis intègre en 1958 le Sarah Lawrence College, où elle fait la rencontre de Merce Cunningham qui la marque durablement.
A son retour à New York, elle rejoint le cours de composition de Robert Dunn et prend part au Judson Dance Theater, un groupe de chorégraphes et d'artistes dont les expérimentations conduisent à la formulation de la danse post-moderne. Entre 1963 et 1966, elle crée treize pièces qu'elle présente dans les « Concerts of dance » organisés, pour la plupart, à la Judson Memorial Church. « Pastime » (1963), « Street dance » (1964), « Carnation » (1964) et « Museum piece » (1965) sont considérées comme des œuvres emblématiques de ce mouvement.
Comme interprète, elle participe aux créations de la plupart des membres du groupe parmi lesquels Steve Paxton, Deborah Hay, Fred Herko, Ruth Emerson, Carolee Schneemann, Arlene Rothlein, Judith Dunn, Alex Hay, Robert Morris et Yvonne Rainer. Elle intègre, également, durant cette période, la compagnie de James Waring.
A partir de 1965, Lucinda Childs s'intéresse aux dispositifs de cinéma étendu qu'elle découvre avec le happening de Robert Whitman, « Prune flat », auquel elle participe avec Simone Forti et Mimi Stark. Elle crée « Screen », « Agriculture » et « Vehicle » [dans le cadre de l'évènement « 9 Evenings » initié par Billy Klüver et Robert Rauschenberg] où elle explore les liens entre les images animées et les actions performatives.
En 1968, elle opère un tournant décisif dans sa pratique chorégraphique. Avec « Untitled trio », elle s'oriente vers la composition de mouvements quotidiens (marche, saut, balancement des bras) qu'elle écrit de manière sérielle et répétitive.
Après avoir arrêté de chorégraphier entre 1968 et 1973 pour se consacrer à l'enseignement dans une école primaire de Harlem (New York City), elle crée sa compagnie avec laquelle elle développe son écriture minimaliste à travers des pièces comme « Calico mingling » (1973), « Radial courses » (1976), « Interior drama » (1977), « Melody excerpt » (1977) ou encore « Katema » (1978). Les pièces de cette époque sont pour la plupart créées à New York et sur la côte Est des Etats-Unis, dans des espaces alternatifs et des universités.
En 1976, Robert Wilson la choisit pour le rôle principal d'un opéra composé par Philip Glass, « Einstein on the beach », lui permettant d'accéder à une reconnaissance internationale. Son « Solo for character on 3 diagonals », composé pour cet opéra, est sa première création sur la musique du compositeur minimaliste. Elle entame aussi une collaboration suivie avec le metteur en scène avec qui elle crée comme interprète « Dialog » (1977), « I was sitting on my patio this guy appeared I thought I was hallucinating » (1978) et « Vidéo 50 » (1978). Lors de la reprise de "Einstein on the Beach" en 1984, elle chorégraphie les « Field dances » des actes II et III.
Son travail chorégraphique connaît une inflexion à partir de 1977 lorsqu'elle abandonne les espaces alternatifs pour investir le théâtre. En 1979, elle crée « Dance » en collaboration avec le compositeur Philip Glass et l'artiste Sol LeWitt. Cette œuvre séminale initie une série de collaborations entre sa compagnie, des artistes (Robert Mapplethorpe, Frank Gehry, Tadashi Kawamata, notamment) et des compositeurs (John Adams, György Ligeti, Henryk Gorecki, notamment) qui se poursuivent jusqu'en 2002.
Parallèlement, plusieurs compagnies lui commandent des œuvres originales. Parmi celles-ci, on peut citer le Ballet de l'Opéra de Paris, le Pacific Northwest Ballet, le Ballet du Deutsche Oper Berlin, le Ballet de l'Opéra de Lyon, la compagnie Rambert, le Bayerisches Staatsballett, les Ballets de Monte-Carlo ou encore le White Oak Dance Project de Mikhail Baryshnikov. Ces expériences font évoluer son style chorégraphique. Elle n'abandonne pas l'esthétique minimaliste mais développe une réflexion sur le corps de ballet, ses outils et ses codes. Elle explique à la journaliste Lois Draegin du « New York Time » en 1986 : « Au cours des cinq dernières années, mon vocabulaire a été construit pour inclure beaucoup de pas classiques », note-t-elle. « Si vous analysez tout mouvement que je crée, vous pouvez toujours trouver des positions classiques. Et maintenant, j'ai tendance à étendre mon vocabulaire plus dans cette direction, en utilisant des danseurs qui ont eu une formation plus classique. Mais, ajoute-t-elle, je maintiens toujours une dynamique complètement différente ».
Lucinda Childs s'intéresse également à l'opéra. Elle chorégraphie notamment, sur des mises en scène de Luc Bondy, la production de « Salomé », créée à Salzbourg en 1992 et présentée au Royal Opera Covent Garden en 1995, ainsi que celle de « Macbeth » pour le Scottish Opera en 1999. Elle collabore avec le metteur en scène Peter Stein sur la production « Moïse und Aron » (1995) avec le Nederlandse Opera.
En 1995, Lucinda Childs met en scène son premier opéra, « Zaïde », pour le Théâtre de la Monnaie. Elle dirige ainsi huit productions d'opéra jusqu'en 2016 comme par exemple cette nouvelle production de « Dr Atomic » de John Adams en 2014, qu'elle crée pour l'Opéra du Rhin.
A partir de 1996, elle collabore à nouveau avec le metteur en scène Robert Wilson en tant qu'interprète, dans sa production de « La Maladie de la mort » de Marguerite Duras avec Michel Piccoli. En 1998, elle participe à l'opéra « White raven », créé par Philip Glass et Robert Wilson.
Lucinda Childs recrée sa compagnie en 2009 avec laquelle elle remonte « Dance » (1979) et « Available light » (1983), questionnant les enjeux esthétiques liés à la transmission de son répertoire chorégraphique. En 2016, une exposition de ses archives est organisée conjointement par le Centre national de la danse et la Galerie Thaddaeus Ropac (Pantin). De nombreuses pièces des années 1960 et 1970 sont remontées à cette occasion et notamment quelques-uns de ses solos interprétés par sa nièce Ruth Childs.
Elle reçoit aux Etats-Unis de nombreuses récompenses pour son travail et ses différentes collaborations. En France, la chorégraphe est promue du rang d'officier à commandant de l'ordre des Arts et Lettres.
Biographie établie en très grande partie à partir de celle de Lou Forster, in « Lucinda Childs : Nothing personal, 1963-1989 », exposition au Centre national de la danse et à la Galerie Thaddaeus Ropac / Pantin, 2016.

Informations sur l'acquisition :

Informations sur les modalités d'entrée
Donation
Historique de conservation :
Historique de la conservation
Après avoir déposé une sélection de films réalisés à partir de ses œuvres et d'enregistrements vidéo de plusieurs de ses spectacles auprès de l'association Cinémathèque de la danse, Lucinda Childs se rapprocha du Centre national de la danse (CND) après l'absorption-fusion par ce dernier de l'association fin 2012, afin d'envisager le versement au CND de ses archives artistiques et des archives de sa compagnie la Lucinda Childs Dance Company.
Dans le même temps où elle préparait la transmission de sa pièce majeure “Dance” au Ballet de l'Opéra de Lyon, mais aussi la transmission de ses solos des années 1960 à sa nièce, la danseuse Ruth Childs, la reprise de plusieurs œuvres de son répertoire pour une tournée internationale et la préparation d'un futur « portrait » dans le cadre du Festival d'automne à Paris, l'artiste souhaitait en effet assurer la conservation et l'accessibilité de ses archives et notamment des matériaux de création qu'elle était précisément en train de remettre en action pour ces projets de transmission et de remontage.
De son côté, le CND avait publié en 2013, sous le titre “Lucinda Childs. Temps / Danse”, la première monographie consacrée à la chorégraphe, écrite par Corinne Rondeau, et avait pu ainsi prendre la mesure de l'intérêt majeur que présentaient les traces et documents issus de ou consubstantiels à son travail de création.
Après de nombreux échanges destinés à croiser les intentions et réflexions de la chorégraphe et les conceptions et méthodologies en matière d'archives liées à la danse à l'œuvre au sein de la médiathèque du CND, un premier séjour de Laurent Sebillotte, son directeur, chez Lucinda Childs, à Martha's Vineyard (Massachusetts, États-Unis), s'est déroulé en janvier 2015. Ce séjour – qui coïncidait avec la présence sur place du chercheur Lou Forster*, venu étudier les archives de la chorégraphe – a permis d'en prendre la mesure, d'en étudier les contours et l'organisation. Ce temps de résidence permit de détecter les documents essentiels, parfois isolés ou à l'inverse enfouis dans des dossiers, ceux qui présentaient des caractéristiques particulières, et les ensembles constitués dont il s'agissait de comprendre la logique de rassemblement. De même, fut clarifiée et explicitée l'articulation entre les archives « personnelles » de l'artiste et celles devant être plutôt définies comme les archives de sa compagnie.
Dès lors, plusieurs scénarios de versement ont été envisagés avec Lucinda Childs afin qu'elle puisse nourrir son choix final, en fonction de ses besoins propres d'exploitation des archives pour ses projets artistiques à venir, de ses souhaits de valorisation, et de sa manière d'envisager la mémoire de ses œuvres et de ses compagnonnages artistiques.
Un second séjour a eu lieu en septembre 2015, toujours avec Lou Forster, qui a permis à Laurent Sebillotte de dresser un macro-inventaire des archives destinées à entrer dans les collections du CND en même temps que les documents du fonds à transmettre étaient rassemblés, préparés et conditionnés pour leur déménagement et leur versement.
Au total, ce sont 36 grands cartons, 7 conditionnements de documents graphiques et affiches, et 2 caisses de documents audiovisuels (env. 2,1 m3) qui ont été transportés depuis la côte Est des États-Unis jusqu'à Pantin, grâce au soutien de la Galerie Thaddaeus Ropac en mars 2016, permettant à la fois la disponibilité sur le sol français des éléments destinés à être présentés dans la grande exposition organisée conjointement par la Galerie et le CND à Pantin, à l'automne 2016, et le versement définitif au CND, au-delà des seuls documents présentés dans l'exposition, de l'ensemble du fonds d'archives liées à la chorégraphe désormais constitué.
Une convention de donation a été signée en juin 2016 par Lucinda Childs et Mathilde Monnier, alors directrice générale du CND, lors de la présence de la chorégraphe américaine à Pantin où elle était invitée à donner un workshop dans le cadre de la manifestation Camping.
*Né à Paris en 1988, actuellement chargé d'étude et de recherche à l'Institut national d'histoire de l'art (INHA) pour le domaine Histoire des disciplines et des techniques artistiques, prépare une thèse de doctorat autour des pratiques graphiques et chorégraphiques de Lucinda Childs, dans le cadre de l'École doctorale de l'École des hautes études en sciences sociales, sous la direction de Béatrice Fraenkel et de Carrie Lambert-Beatty. Il a assuré le commissariat de l'exposition rétrospective “Lucinda Childs, Nothing Personal (1963-1989)”, consacrée à l'œuvre de la chorégraphe américaine présentée au Centre national de la danse (CND) et à la Galerie Thaddaeus Ropac, Pantin, du 23 septembre au 18 décembre 2016, dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, pour accompagner le don des archives de l'artiste au CND (à jour, septembre 2020).

Conditions d'accès :

Statut juridique Archives privées

Conditions d'utilisation :

Conditions d'utilisation
Reproduction interdite

Description physique :

Description physique: Document d'archives
Nombre d'unités de niveau bas
Nombre d'unités de niveau bas: 1514

Ressources complémentaires :

Sources complémentaires
Sources internes
Fonds Arts Service International
Fonds Théâtre de la Ville
Entretien avec Lucinda Childs, vidéothèque de la Médiathèque du CND
Sources externes
Dossier numérique du Pew Center for Arts and Heritage : "A steady Pulse : restaging Lucinda Childs, 1963-78"
http://danceworkbook.pcah.us/asteadypulse/

Références bibliographiques :

Bibliographie
- Lucinda Childs : Temps, Danse / Corinne Rondeau . - Pantin : Centre national de la danse, 2013.
- Lucinda Childs, nothing personal, 1963-1989 : exposition Centre national de la danse 24 septembre-17 décembre. Galerie Thaddeus Ropac, Pantin 24 septembre-7 janvier / textes Lou Forster ; réalisation Centre national de la danse et Galerie Thaddeus Ropac .- Pantin : Centre national de la danse ; Galerie Thaddeus Ropac, 2016.
- Lucinda Childs / un film de Patrick Bensard.- [s.l.] : Lieurac productions ; Arte France ; Mezzo, 2006 ; Paris : Images de la culture
- Post scriptum : Lucinda Childs / un film de Patrick Bensard.- [s.l.] : Injam production ; Cinémathèque de la danse ; Mezzo, 2010
- "Lucinda Childs, les pas les plus simples" / interview par Béatrice Gross. IN Art press. Octobre 2016, n°437, p.36-42.

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Centre national de la dans - Département Patrimoine, audiovisuel et éditions

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRCND_CHIL

Personnes ou Institutions :

Lucinda Childs

Thèmes :

Danse post-moderne

Type de document :

Document d'archives

Où consulter le document :

Centre national de la Danse - Service des archives

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