Inventaire d'archives : Université Paris-Diderot : archives de Jean-Pierre Frangi, directeur de l'unité fonctionnelle Environnement et du laboratoire...

Titre :

Université Paris-Diderot : archives de Jean-Pierre Frangi, directeur de l'unité fonctionnelle Environnement et du laboratoire Environnement et développement (1978-2006)

Contenu :

Le fonds est particulièrement intéressant pour son contenu et son caractère historique étant donné que ni l'UF Environnement, ni le LED ne subsistent plus à ce jour et ont été refondus dans divers UFR de l'Université Paris Diderot.
Dans son ensemble, ce fonds renseigne sur la manière dont s'est développée une formation en environnement dans une université française, de surcroît la seule parisienne, parmi les pionnières en la matière. Il souligne ses remises en question et ses réflexions pour l'avenir, en témoigne la nombreuse documentation administrative (statuts, budgets, demandes d'habilitations...) et pédagogique sur la formation (programmes, supports de cours, conseils de perfectionnement). Il montre, de plus, la manière dont des équipes de disciplines différentes sont parvenues à s'unir pour créer une formation pluridisciplinaire. Ce fonds renseigne par ailleurs sur la création et le développement d'un laboratoire scientifique lié à la thématique de l'environnement.
 : Table des sigles
ADEME : Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie
CNRS : Centre national de la recherche scientifique
DEA : diplôme d'études approfondies
DESS : diplôme d'études supérieures spécialisées
DEUG : diplôme d'études universitaires générales
DRT : diplôme de recherche technologique
ETES : environnement-temps-espace-sociétés
GHSS : géographie, histoire et sciences sociales
IMAGEO : images des géographes
IPGP : Institut de physique du globe de Paris
IUP : institut universitaire professionnalisé
LED : laboratoire environnement développement
LEDMA : laboratoire environnement et développement des marges arides
MST : maîtrise sciences et techniques
PRIMEQUAL : programme de recherche inter-organisme pour une meilleure qualité de l'air à l'échelle locale
PRODIG : pôle de recherche pour l'organisation et la diffusion de l'information géographique
STEP : sciences de la terre, de l'environnement et des planètes
UF : unité fonctionnelle
UFR : unité de formation et de recherche

Cote :

20190433/1-20190433/35

Publication :

Archives nationales
2019
Pierrefitte-sur-Seine

Informations sur le producteur :

Université Paris Diderot
Unité Fonctionnelle (UF) Environnement
Laboratoire Environnement Développement (LED)
Jean-Pierre Frangi
Voir la notice « Université Paris Diderot ».
Jean-Pierre Frangi (1952-)
Jean-Pierre Frangi est un physicien né en 1952 à Marseille.
Déjà sensible aux questions liées à l'environnement, il soutient en 1979 un doctorat de 3e cycle « Énergie et pollution » à l'université Paris Diderot. Il part ensuite à Niamey (Niger) comme volontaire au service national pour le compte du ministère de la Coopération entre 1979 et 1987. À cette période, il participe à la création de l'université de Niamey et y dispense des cours en tant qu'assistant et maître-assistant. En 1987, Jean-Pierre Frangi revient en France et est nommé maître de conférences à l'université Paris 7. Il soutient un an plus tard un doctorat d'État ès sciences, spécialité physique de l'atmosphère, à l'université de Toulouse 3 Paul-Sabatier, puis repart pour trois ans enseigner en qualité de maître de conférences à l'université de Niamey (1988-1991).
En 1991, Jean-Pierre Frangi revient à l'université Paris 7, où il est rattaché à l'unité de formation et de recherche (UFR) de physique en tant que maître de conférences, puis obtient en 1993 le grade de professeur affecté à l'institut universitaire professionnalisé (IUP) « Génie de l'environnement », où il dispense des cours de physique appliquée à l'environnement. En parallèle de cela, il anime le diplôme d'études approfondies (DEA) « Environnement-temps-espace-sociétés » (ETES) et le diplôme de recherche technologique (DRT) « Écotechnologies », et participe au tutorat de stages (maîtrise, DEA, diplôme d'études supérieures spécialisées [DESS]), au suivi en entreprise des étudiants de DRT, ainsi qu'à la conduite des projets industriels des étudiants de master.
Lors de sa carrière d'enseignant-chercheur, Jean-Pierre Frangi accède également à des postes à responsabilités :
- 1993-1996 : directeur adjoint de l'UF environnement ;
- 1993-2017 : directeur de l'IUP génie de l'environnement ;
- 1994-2004 : directeur du laboratoire environnement et développement ;
- 1996-1999 : directeur de l'UF environnement ;
- 1996-1999 : responsable du DEA ETES (pour l'université Paris 7) ;
- 1996-2008 : directeur du DRT « Écotechnologies » ;
- 2004-2017 : responsable de la spécialité génie de l'environnement et industrie du master sciences de la terre, de l'environnement et des planètes ;
- 2008-2017 : chargé de mission délégué au développement durable auprès du président de l'université Paris 7 ;
- 2008-2017 : chargé de la valorisation à l'Institut de physique du globe de Paris (IPGP).
Jean-Pierre Frangi s'est intéressé à l'environnement physique des basses couches de l'atmosphère de la surface du sol, c'est-à-dire au bilan énergétique de la surface, aux mesures à travers des nouveaux capteurs pour l'environnement et, conjointement, aux thématiques davantage industrielles des 41 DRT qu'il a encadrés. Grâce à ses recherches, dont certaines ont été brevetées, il a reçu de nombreuses distinctions, telles que le prix Norbert Gerbier-Mumm décerné par le conseil exécutif de l'Organisation météorologique mondiale en 1989 ou les prix des techniques innovantes pour l'environnement de 2005 et 2006 décernés par l'ADEME Pollutec.
L'enseignement de l'environnement à l'université Paris Diderot
Département d'environnement (1972-1988)
L'université Paris 7 a été créée en 1970-1971. C'est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPCSCP), qui favorise la pluridisciplinarité dans les enseignements dispensés en sciences, lettres et sciences humaines et médecine.
Dès la loi Faure de 1968, l'enseignement de l'environnement a suscité un grand intérêt de la part des universités. La thématique de l'environnement répondait aux velléités de décloisonnement des composantes de l'Université Paris 7. En effet, la formation en environnement fait la jointure entre plusieurs disciplines : la physique, les sciences de la terre, la chimie, la biologie et la géographie. C'est pourquoi l'université Paris 7 s'est positionnée parmi les universités pionnières en la matière en proposant une formation d'abord généraliste avec la création du département d'environnement avant 1973.
Par la suite, le département d'environnement s'oriente davantage vers les formations industrielle et technique avec la création de la maîtrise sciences et techniques (MST) protection de l'environnement en 1975. Elle donne une formation scientifique de base en écologie, physique, chimie et biologie appliquée à l'environnement et à la gestion avec une spécialisation en fin de cursus. Le département d'environnement offre également la possibilité de poursuivre une formation de DEA énergie et pollution en association avec l'UFR de chimie.
Formations accessibles au département d'environnement avec :
- niveau bac : première année de diplôme d'études universitaires générales (DEUG) + certificat préparatoire à la maîtrise,
- bac +1 : deuxième année de DEUG + stage + certificat préparatoire à la maîtrise,
- bac +2 : première année de MST protection de l'environnement,
- bac +3 : deuxième année de MST protection de l'environnement (spécialisation soit en physico-chimie du milieu naturel, soit écologie et agriculture),
- bac +4 : DEA énergie et pollution ou cinquième année d'ingénieur.
UF gestion et protection de l'environnement, puis UF environnement (1988-1999)
L'UF gestion et protection de l'environnement est née de la fusion des deux départements « Environnement » et « Espace et milieux » en 1988 par délibération du conseil d'administration de l'université. Il s'agit d'une mise en conformité avec la loi Savary de 1984, le département espace et milieux n'ayant jamais eu d'existence légale.
Contrairement aux UFR, créées en 1984, qui sont des composantes associant des départements de formation et des laboratoires de recherche se rapportant à un champ disciplinaire plus ou moins large, les UF sont des structures internes à l'université davantage tournées vers l'enseignement et qui n'ont pas été régies par la législation.
En 1991, l'UF gestion et protection de l'environnement est dissoute pour laisser place à l'UF environnement.
L'UF environnement a, selon les statuts de 1995, pour mission « d'organiser les enseignements, de promouvoir les recherches et d'assurer le recensement et la diffusion des connaissances relatifs à l'étude, la gestion et la protection de l'environnement ». Elle comprend des missions d'enseignement de premier, second et troisième cycles et promeut les collaborations, ainsi que les contacts avec les milieux professionnels et les organismes compétents. Elle exerce également des missions de recherche dans la promotion des thèmes d'études et de recherche articulés avec les programmes de formation et participe à la constitution et gestion d'équipes à caractère pluridisciplinaire toujours selon les statuts de 1995.
À partir de 1993, l'UF environnement est doté d'un IUP gestion et génie de l'environnement dirigé par Jean-Pierre Frangi. Créés en 1991 à l'initiative de Claude Allègre, les IUP ont été les premiers cursus à imposer une culture professionnalisante à l'université avec pour principes, novateurs à l'époque : la sélection des étudiants, une proximité avec les entreprises et la mise en place d'un label de qualité. Ils prennent, de fait, la place des MST.
Il s'agit d'une formation initiale et continue d'ingénieur-maître aux métiers de l'environnement spécialisée dans le génie physique, chimique et biologique. L'IUP a pour vocation de former des praticiens polyvalents généralistes de l'environnement et de traiter des problèmes techniques spécifiques à l'environnement et à l'aménagement. Il s'agit de deux options articulées autour d'un tronc commun portant sur l'analyse des systèmes vivants en interaction avec les milieux. La première, espace et milieux, est orientée vers le traitement des problèmes écologiques, hydrogéologiques, géodynamiques, paysagers, ruraux et urbains et d'aménagement. La seconde, génie de l'environnement, est orientée vers les problèmes relevant de la physico-chimie des milieux (pollution de l'air, de l'eau et des sols).
L'IUP est actuellement composé du master professionnel Risques et Environnement, parcours Génie de l'Environnement et Industrie (ouvert en 2004).
L'UF environnement offre également la possibilité de poursuivre par des formations du second et du troisième cycle.
Deux DESS s'inscrivent dans le prolongement de l'IUP : le DESS gestion de l'environnement (anciennement espace et milieux avant 1998) et le DESS génie de l'environnement.
Ouvert en 1997, le DEA ETES a pour objectif d'approfondir les connaissances scientifiques en environnement et d'acquérir des méthodes d'analyse et de représentation des systèmes environnementaux à diverses échelles de temps et d'espace. C'est un DEA national dirigé conjointement par les universités d'Orléans, Paris 1, 4 et 7, l'École nationale supérieure de Lyon, l'Office de la recherche scientifique et technique outre-mer (ORSTOM ; aujourd'hui Institut de recherche pour le développement) et le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN).
En 1998, un DRT « Écotechnologies » est mis en place. Il se déroule en deux années universitaires (jusqu'au niveau bac+6) et comporte une initiation à la recherche d'au minimum 6 mois et la réalisation d'une recherche finalisée sur un sujet proposé par une entreprise ou un organisme et co-dirigé par un laboratoire d'accueil du DRT. Le sujet de recherche et le déroulement du travail sont définis conjointement par l'entreprise d'accueil et le laboratoire universitaire. L'IUP et le DRT sont liés dans la mesure où le DRT est le prolongement de l'IUP. De ce fait, une partie du partenariat professionnel du DRT est issue de l'IUP. Ce diplôme disparaît au profit du master dans le cadre de la réforme licence-master-doctorat (LMD) en 2002.
Formations accessibles à l'UF environnement avec :
- niveau bac : première année de DEUG ou DUT ou BTS ou classes préparatoires,
- bac +1 : première année d'IUP (+ deuxième année de DEUG),
- bac +2 : deuxième année d'IUP (licence),
- bac +3 : troisième année d'IUP (maîtrise),
- bac +4 : DESS espace et milieux ou DESS génie de l'environnement ou DEA ETES ou DRT « Écotechnologies ».
Au cours des années 1997 et 1998, la présidence de l'université Paris 7 émet la volonté de supprimer l'UF environnement, n'ayant plus d'existence légale bien que délivrant encore des diplômes nationaux. Après des tentatives de conversion de l'UF en département, son existence prend fin en 1999. Elle est entièrement intégrée dans :
- les UFR existantes de sciences physiques de la terre (puis sciences de la terre, de l'environnement et des planètes ou STEP) pour l'IUP et le DRT,
- l'UFR géographie, histoire et sciences sociales (GHSS) pour le DESS espace et milieux,
- l'UFR de chimie pour le DESS gestion de l'environnement,
- et enfin l'université d'Orléans pour le DEA ETES.
Liste des directeurs successifs :
Département environnement
- 1974-1982 : Jacques Vigneron
- 1982-1986 : Louis Petit
- 1986-1988 : Bernard Tissier
UF gestion et protection de l'environnement
- 1988-1990 : Renaud Vié Le Sage
- 1990-1991 : Yvette Dewolf (administratrice provisoire)
UF environnement
- 1991-1996 : Yvette Dewolf
- 1996-1999 : Jean-Pierre Frangi
Laboratoire environnement et développement (1994-2004)
Le LED est une jeune équipe (JE441) et équipe d'accueil (EA 3511) ; il est créé en 1994 et porté par Jean-Pierre Frangi. Il est créé après un premier projet non déposé de laboratoire intitulé laboratoire « Environnement et développement des marges arides » (LEDMA) regroupant à la fois des physiciens de l'UF environnement et des géographes (images des géographes ou IMAGEO) autour d'un thème commun : l'environnement dans les marges arides, véritable prolongement de la coopération entre les disciplines dans son versant scientifique. Le projet s'est transformé pour donner vie à deux laboratoires distincts :
- le pôle de recherche pour l'organisation et la diffusion de l'information géographique (PRODIG) en 1995,
- et le LED constitué uniquement de physiciens avec Jean-Pierre Frangi à sa tête.
Le LED est formé de trois pôles (physique de l'environnement, interactions géodynamique-environnement et gestion des ressources renouvelables et développement) s'intéressant aux processus physiques à l'interface sol-atmosphère, au transfert radiatif en relation avec la télédétection spatiale et au cycle de l'eau. L'équipe est engagée dans des actions de recherches et des programmes nationaux et internationaux sur l'érosion éolienne, l'agrométéorologie et la gestion de l'eau (en particulier en partenariat avec l'entreprise béarnaise Agroclim), la cartographie de la pollution de l'air (ville de Paris, PRIMEQUAL : programme de recherche inter-organisme pour une meilleure qualité de l'air à l'échelle locale), ainsi que la réflectance des couverts végétaux (projet Xstar). Par ailleurs, son personnel est impliqué dans l'enseignement des différents cursus de l'UF environnement.
En 1999, le laboratoire est définitivement rattaché à l'UFR STEP et, en 2004, les équipes du LED sont incorporées au sein de l'IPGP mettant fin au laboratoire.

Informations sur l'acquisition :

Versement en 2019.
Historique de conservation :
Il s'agit d'archives collectées et conservées par Jean-Pierre Frangi dans le cadre de ses fonctions de directeur au sein de l'UF environnement et du LED. Ce sont des archives qu'il a conservées dans son bureau dans le bâtiment Lamarck sur le campus Paris Rive Gauche, après le déménagement du campus de Jussieu en 2007.
Ces archives ont été versées au Bureau des archives de l'université Paris Diderot par Jean-Pierre Frangi en 2017 à son départ en retraite, en deux versements successifs : 870W (20 mars) et 902W (7 décembre).

Description :

Évolutions :
Le fonds est ouvert, le producteur conservant d'autres archives dans son bureau. Elles sont susceptibles d'être versées en complément après le départ de Jean-Pierre Frangi.
Critères de sélection :
Le fonds mesurait initialement 5,8 mètres linéaires (870W : 5,5 ; 902W : 0,3). Suite au traitement, 1,65 mètres linéaires ont été éliminés au total :
- 0,45 mètre linéaire de factures, de bons de commande, de comptes rendus des conseils d'administration de l'université, de candidatures à un poste, de thèses non annotées ;
- 1,20 mètres linéaires de doublons, de brouillons, de documentation et de documents inexploitables ou sans intérêt historique ou scientifique.
Actuellement, le fonds mesure 4,5 m. l. en raison de son conditionnement spécifique dans des boîtes de type « Dimab ».
Certains documents ont été conservés, alors qu'ils auraient dû être éliminés selon les textes réglementaires, notamment l'instruction de tri et de conservation des archives des services et établissements concourant à l'Éducation nationale (DPACI/RES/2005/003), tels que les copies d'examen. Le choix a en effet été fait de les conserver en raison de leur intérêt historique, la formation n'existant plus, et en raison de leur faible volumétrie.
Mise en forme :
Le classement de ce fonds, effectué en 2017, s'articule autour de trois grands axes, calqués sur les trois principaux producteurs :
- l'UF Environnement (articles 20190433/1-23),
- le LED (articles 20190433/24-34)
- et Jean-Pierre Frangi en tant que directeur de recherche (articles 20190433/35).
Pour les deux premières structures, ont d'abord été placées les archives purement administratives de création et de gestion (articles 20190433/1-13 et 20190433/24-25), puis celles relatives au cœur d'activité de chaque entité : l'enseignement pour l'UF (articles 20190433/14-23), la recherche pour le LED (20190433/26-34). Parfois, il n'a pas été aisé de distinguer la documentation de l'une ou de l'autre entité. En leur sein se trouvaient des documents mélangés à la fois de l'UF (entendons aussi ceux de l'IUP et du DRT) et du LED, ce qui montre la proximité des dossiers de ces entités réunies par la personne de Jean-Pierre Frangi, ce qui a parfois rendu le classement complexe. Cela vaut également pour certains dossiers où les dates se chevauchent, par exemple les articles 20190433/33-34. Mais pour une question de respect du fonds, nous les avons laissés tels quels.
Lorsque l'objet et les typologies sur plusieurs années étaient identiques, un classement chronologique a pu être mis en place. Cela concerne en particulier les documents de gestion.

Conditions d'accès :

Les conditions d'accès à ce fonds d'archives publiques sont soumises à la loi n° 2008-696 du 15 juillet 2008 (codifiée dans le livre II du code du Patrimoine) relative aux archives.
En vertu de cette loi, l'ensemble des documents est librement communicable, à l'exception des articles 20190433/11, 20190433/13, 20190433/15-20190433/16, 20190433/18, 20190433/20, 20190433/22, 20190433/31 et 20190433/34 communicables à l'expiration d'un délai de 50 ans au titre de la protection de la vie privée, et de l'article 20190433/10 communicable à l'expiration d'un délai de 75 ans pour cause d'une procédure judiciaire.

Conditions d'utilisation :

Reproduction selon le règlement de la salle de lecture.

Description physique :

Importance matérielle :
4,5 mètres linéaires ; 15 cartons de type « Dimab » ; 35 articles.

Ressources complémentaires :

 : Université Paris Diderot (Paris, 13e)
D'autres fonds d'archives complémentaires versés au Bureau des archives de l'université Paris Diderot sont susceptibles d'intéresser le lecteur :
- 49W : bureau de la recherche : contrats hors secteur médical (1995-1998) ;
- 243W : vice-présidence sciences, médecine, lettres : UF environnement, habilitation IUP (1998) ;
- 358W : Diderot valorisation : contrats de recherche terminés (1990-2009) ;
- 587W : direction d'appui à la recherche et à l'innovation : brevets abandonnés (1985-2011) ;
- 635W : UFR sciences de la terre, de l'environnement et des planètes (1996-2013) ;
- 782W : UFR sciences de la terre, de l'environnement et des planètes (1975-2009).
- Fonds de la présidence (classement en cours).
- Fonds du vice-président François Bruhat (classement en cours).
De plus, les fonds d'archives des institutions et entreprises ayant eu des activités en commun avec les principaux producteurs du fonds pourraient intéresser le lecteur : ceux du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, du ministère de l'Environnement, du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) ou bien encore le Centre de recherches en environnement terrestre et planétaire.

Localisation physique :

Pierrefitte-sur-Seine

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives nationales

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAN_IR_059390

Archives nationales

Liens