Inventaire d'archives : Archives liées à la construction de l'ensemble universitaire de Jussieu (Paris 5°Arr.) 1956-1994, Service constructeur des...

Titre :

Archives liées à la construction de l'ensemble universitaire de Jussieu (Paris 5°Arr.) 1956-1994, Service constructeur des académies de la région Île-de-France (SCARIF)

Contenu :

Ce fonds du SCARIF regroupe les document produits et reçus par le service entre 1956 et 1994 et se rapportant à la construction du campus universitaire de Jussieu. Pour comprendre la structure et le classement de ce fonds, il est utile de connaître quelques éléments concernant ce chantier. Le campus de Jussieu est l'un des trois sites prévus pour accueillir la faculté des sciences de Paris. Situé sur les anciennes Halles au vins de Paris, la construction de la nouvelle faculté des sciences de Paris est décidée le 12 février 1958 par le président du Conseil. Le choix du lieu est entériné en 1946, mais les travaux ne commencent que plus de dix ans plus tard, alors que le campus d'Orsay a déjà été ouvert et que celui de Villetaneuse est déjà en projet. Le retard est en grande partie dû à l'opposition des marchands de vin de s'installer à Bercy. La première tranche de travaux commence en 1958 pour s'achever en 1961, le campus étant inauguré dès 1959. La deuxième tranche est réalisée entre 1964 et 1968, mais l'ensemble reste à ce jour inachevé. Le projet initial fut abandonné en 1972, faute de subventions, d'où l'apparition de bâtiments préfabriqués pour pallier le manque de locaux.
Le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Marie Berthoin, joint à Roger Seassal, architecte de la faculté, trois nouveaux architectes : Urbain Cassan, Louis Madeline et René Coulon. Cette faculté devant principalement abriter les laboratoires de sciences, ces architectes sont choisis en raison de leur expérience dans ce domaine. Urbain Cassan (1890-1979) a construit de nombreux bâtiments pour l'administration et commencé la faculté d'Orsay ; Madeline (1882-1962) est chargé, avec Debat-Ponsan, de celle de médecine de la rue des Saint-Pères à Paris, et Coulon (1908-1997) a surtout travaillé dans le secteur industriel : laboratoires de recherche de la sidérurgie, des Charbonnages de France, de Saint-Gobain et aussi de la faculté d'Orsay. Sous la pression des besoins de la faculté, et pour permettre de désengorger les locaux de la Sorbonne devenus trop exigus, est ainsi construit le premier bâtiment le long du quai Saint-Bernard en 1958, puis le long de la rue Cuvier, l'année suivante. Les travaux sont terminés en 1961, année où Marc Zamansky (1916-1996) succède à Joseph Pérès comme doyen de la faculté. Ces bâtiments de 65 000 m² sont couramment appelés « barres de Cassan ».
En 1962, André Malraux, alors ministre des affaires culturelles, demande à visiter le chantier et décide d'intégrer Édouard Albert (1910-1968) à l'équipe des architectes. Après l'immeuble de la rue Croulebarbe, réalisé en 1960 avec Robert Boileau et Jacques Henri-Labourdette, il a construit les bureaux d'Air France à Orly. Le plan de masse définitif est approuvé en 1963 et la première réunion de chantier se tient un an plus tard, le 17 février 1964. La future faculté des sciences envisagée par Édouard Albert se présente sous la forme d'un quadrilatère de 275m sur 333m délimité par le quai Saint-Bernard, la rue Cuvier, la rue Jussieu et la rue des Fossés Saint-Bernard. L'ensemble des bâtiments forme un damier, appelé aujourd'hui « Gril d'Albert », comprenant 21 cours de 45m sur 33m, plus une cour d'honneur de 108m sur 84m. Chacune des cours a une destination particulière. Elles sont aménagées et comprennent différents locaux en sous-sols, la surface entre les bâtiments est normalement réservés aux espaces verts. Les corps des bâtiments ont été organisés sur plusieurs niveaux ; le sous-sol, le niveau Saint-Bernard, le niveau de la dalle surmontée de cinq étages. Parallèlement, Édouard Albert édifie une tour de 24m de côté, haute de 85m qui surplombe la cour d'honneur et la faculté toute entière. Il s'agit de la tour Zamansky. Cette disposition, inspirée du palais de l'Escurial à Madrid, obéissait principalement à deux exigences : un ensemble qui pouvait être construit de façon progressive et une spécialisation des bâtiments dont les études avaient démontré que le L constituait la forme la plus adaptée pour créer une unité : la branche courte abritant l'enseignement, la plus longue la recherche.
Le choix d'André Malraux s'est porté sur Édouard Albert car il était l'un des rares architectes à avoir intégré dans ses réalisations des œuvres d'art d'artistes contemporains. De nombreux artistes sont en effet associés au projet pour réaliser des œuvres sur le campus, dans le respect de la loi du 1% artistique. Cette loi prévoit qu'1% des sommes consacrées par l'État pour chaque construction scolaire ou universitaire doit être consacré à la réalisation d'une œuvre d'art contemporain intégrée au projet architectural.
Le campus de Jussieu n'est cependant pas réalisé selon les projet d'Édouard Albert car celui-ci disparaît prématurément en 1968. A sa mort, un nouvel architecte, Constantin de Gortchakoff, rejoint René Coulon et Urbain Cassan. Le Gril d'Albert reste inachevé : 37,5 barres et 24 rotondes sont construites au lieu des 55 barres et 34 rotondes prévues. Le projet initial prévoyait d'accueillir 20 000 étudiants ; à la fin de la construction du campus, la faculté en reçoit déjà 30 000. À la suite de la loi Faure (12 novembre 1968), la faculté des sciences laisse sa place, en 1971, à deux nouvelles universités : Paris VI, pour sa partie scientifique, et Paris VII, université interdisciplinaire rassemblant disciplines littéraires et scientifiques.
L'amiante a été abondamment utilisée à Jussieu du fait de ses propriétés naturelles exceptionnelles. En effet, cette roche mécaniquement très résistante présente la caractéristique de supporter de très forte températures. Sous forme de flocage, elle constitue un excellent isolant thermique qui permet bien sûr d'éviter les déperditions, mais surtout de protéger les structures, notamment métalliques, contre les incendies. Les flocages constituent également un bon absorbant acoustique. Ces caractéristiques ont conduit les constructeurs du campus à l'utiliser selon toutes les combinaisons possibles. En outre, cette roche utilisé sous forme fibreuse de calorifugeage ou de flocage, s'est avérée être très cancérigène.
En 1973, la construction du campus s'arrête de manière brutale, interruption due en grande partie au premier choc pétrolier. L'œuvre d'Albert reste donc inachevée. Cependant en 1989, un groupe constitué de représentants des université de Paris VI et Paris VII, de l'Institut du monde arabe, de la ville de Paris et du rectorat est animé par le Vice-chancelier des universités de Paris et François Guy. Il y est défendu l'idée d'un campus ouvert sur la ville et est affirmé la volonté d'y implanter des commerces et de renforcer les infrastructures sportives. Le Vice-chancelier et François Guy s'entendent sur un programme « visant non pas à accueillir plus d'étudiants mais à les accueillir mieux, dans un campus à l'architecture harmonieuse et achevée ». En 1992, est donc lancé un concours d'architecture, dont le cœur principal est le projet d'agrandissement et de regroupement des bibliothèques de sciences et la création d'une bibliothèque de lettres.
Ce fonds présente tous les aspects des constructions universitaires : projet, études, appel d'offres, attributions des budgets. On y trouvera tous les types de documents qui conditionnent une construction et ses aménagements : rapports d'architectes, plans, notes, marchés, mémoires de travaux...
Ce fonds offre l'intérêt d'une vision d'ensemble de la construction du campus de Jussieu. La correspondance s'avère très riche puisque le SCARIF est en effet le point de convergence entre le courrier des architectes, des universitaires, du rectorat et du ministère de l'Éducation nationale.
Tables des sigles :
ABF Architectes des bâtiments de France.
APD Avant-projet définitif
CCAP Cahier des clauses administratives particulières.
CCTP Cahier des clauses techniques particulières.
CGBF Conseil général des bâtiments de France.
CLIC Comité loisirs informations culture
CROIAEP Commission régionale des opérations immobilières de l'architecture et des espaces protégés.
DCE Dossier de consultation des entreprises.
DOE Dossier des ouvrages exécutés.
EDF Électricité de France.
IMA Institut du monde arabe.
OMA Office for metropolitain architecture
SAD Société d'aménagement et de développement.
SAD Société auxiliaire de distribution
SASLA Société d'approvisionnement Saint-Lazare
SCAP Service constructeur de l'académie de Paris
SCARP Service constructeur des académies de la région parisienne
SCARIF Service constructeur des académies de la région Île-de-France.
SETEC Société d'études techniques et économiques
TPE Travaux publics de l'État
UER Unité d'enseignement et de recherche.
VRD Voirie et réseaux divers.

Cote :

20140072/1-20140072/132

Publication :

Archives nationales
2015
Pierrefitte-sur-Seine

Informations sur le producteur :

Rectorat de Paris et services inter académiques, Service constructeur des académies de la région Île-de-France (SCARIF).
Le service des constructions des académies de la région Île-de-France (SCARIF) s'est d'abord appelé service constructeur de l'académie de Paris (SCAP), puis service constructeur des académies de la région parisienne (SCARP) avant de devenir le SCARIF par arrêté du 8 mai 1981.
Le SCAP a été créé en application du protocole interministériel passé le 26 juin 1959 entre les quatre ministères de l'Éducation nationale, des Finances et affaires économiques, des Travaux publics et des transports, et de la Construction.
La circulaire ministérielle du 29 juillet 1959 précise les missions et attributions du service, dont l'objectif était de « décentraliser la conduite des opérations [de constructions scolaires et universitaires] en faisant appel au concours d'échelons départementaux ayant vocation administrative ». Le service constructeur joue un rôle important dans le choix des terrains, il représente l'État maître d'ouvrage pour les opérations d'État et assure la conduite des opérations. Pour les opérations subventionnées, il « suit et active » les travaux au titre du contrôle. Au stade du lancement et de l'exécution, c'est lui qui conduit les opérations. Mais le SCAP ne joue ni le rôle de l'entrepreneur ni celui du maître d'œuvre, l'architecte conserve tous ses droits. Il doit essentiellement assurer la jonction entre les maîtres d'œuvre et les utilisateurs des constructions, instruire, suivre et contrôler, selon le cas, les opérations de lancement et de réalisation des travaux.
Cependant, ce n'est qu'en 1965 qu'un arrêté ministériel (8 juin) vient organiser le SCAP et officialiser son existence. Le chef du service constructeur de l'académie de Paris est le représentant permanent du maître de l'ouvrage pour l'élaboration et la réalisation des opérations d'investissement. Le recteur de l'académie de Paris est autorisé à lui déléguer sa signature pour tous les actes nécessaires à l'accomplissement de ses fonctions.
L'arrêté du 8 mai 1981, remplaçant celui de 1965, précise les attributions et les compétences du SCARIF : « Le SCARIF exerce le rôle et la qualité de maître d'ouvrage dans les opérations d'investissement concernant l'enseignement du second degré, l'enseignement supérieur et les établissements sportifs d'État. Sa compétence territoriale s'étend au département de la Seine pour l'enseignement du second degré, et à l'ensemble des trois académies de Paris, Créteil et Versailles pour l'enseignement supérieur » (Annuaire rectoral de 1981). Les opérations visées sont essentiellement des opérations de construction, d'aménagement, de rénovation et de maintenance. L'originalité d'un tel service réside dans le fait qu'il mêle personnel technique - ingénieurs des ponts et chaussées et des travaux publics de l'État (TPE) mis à la disposition du ministère de l'Éducation nationale, assistants techniques des TPE, cadres techniques non titulaires - et personnel administratif mis à la disposition du service par les rectorats de son ressort. Le chef du service, qui devient directeur à partir de 1981, a toujours été un ingénieur des Ponts et chaussées.

Informations sur l'acquisition :

Versement en 2014
Historique de conservation :
L'établissement de cet instrument de recherche a été permis grâce à une convention relative à la valorisation des sources d'archives établie dans le cadre du 40ème anniversaire des universités d'Île-de-France. Cette convention a concerné plus particulièrement une opération de valorisation cofinancée par les universités Paris-I Panthéon Sorbonne, Paris-VI Pierre et Marie Curie, Paris-VII Paris Diderot et par l'université de Nanterre La Défense à hauteur de 5 000 euros chacune.

Description :

Critères de sélection :
L'essentiel des éliminations concerne des dossiers de marchés de travaux et d'opérations ne portant pas sur des modifications de la structure des bâtiments et n'intéressant pas l'histoire de l'architecture, de l'art ou des techniques, de la protection de l'environnement ou de l'aménagement du territoire au sens de l'instruction DAF/DPACI/RES/2009/018 chapitre marchés publics (4.1.2.1.). Les documents concernant les travaux récurrents auxquels sont soumis les bâtiments (entretien courant, menus travaux, maintenance et sécurité) ont également été éliminés comme le préconise l'instruction (chapitre marchés publics 4.1.2.2. et chapitre patrimoine mobilier, immobilier et foncier 1.3., durée d'utilité administrative de 10 ans).
Mise en forme :
Le plan s'organise autour de deux axes essentiels. Dans un premier temps, les travaux de construction du gril et des barres et, dans un second temps, ceux du parachèvement et de l'extension.
Le premier chapitre regroupe les documents relatifs à la construction du gril et des barres. Toutefois, ayant fait l'objet d'un précédent versement, les archives concernant les travaux de construction des « barres de Cassan » sont peu représentées dans ce fonds. Il subsiste cependant quelques plans, de la correspondance et quelques pièces officielles. Ce premier chapitre se divise en plusieurs sous-partie. On trouve tout d'abord les documents relatifs à la construction des bâtiments et au suivi des travaux et ensuite les archives concernant l'aménagement des locaux. Il faut noter que les documents relatifs aux travaux de décoration du gril ne font pas l'objet d'une sous-partie propre mais sont intégrés aux travaux d'équipement du campus. En effet, le rôle joué par le SCARIF est identique qu'il s'agisse de travaux de construction ou de décoration. De plus, la décoration du gril, réalisée dans la perspective d'une parfaite intégration des arts, fut conçue, dès l'origine, comme un élément à part entière de l'architecture. Cependant, certains documents, comme les procès-verbaux des réunions de coordination, ont été classés dans ce chapitre alors qu'ils dépassent la barrière chronologique de celle-ci (début des années 1970). Ce choix a été opéré ainsi pour ne pas diviser les dossiers et pour respecter la cohérence du fonds. Pour finir, on trouve dans cette partie les dossiers concernant le désamiantage des bâtiments. Il s'agit principalement de dossiers de marchés concernant le traitement de l'amiante mais également un peu de correspondance et de tracts syndicaux sur le sujet.
Enfin, le second chapitre est consacré aux travaux de parachèvement et d'extension du campus qui ont eu lieu à partir de la fin des années 1970. Cette partie se divise également en sous-partie avec tout d'abord des documents concernant l'établissement des programmes de construction dont plusieurs études et projets de parachèvement. Enfin, une autre sous-partie contient les archives se rapportant à la réalisation des travaux de parachèvement et d'extension. On trouve notamment des dossiers concernant les installations sportives, les projets de finition des pignons, l'aménagement du jardin et du parvis et le concours pour la construction des bibliothèques de Jussieu.

Conditions d'accès :

Les conditions d'accès à ce fonds d'archives sont régies par le livre II du code du patrimoine. L'ensemble des documents de ce fonds est librement et immédiatement communicable.

Conditions d'utilisation :

Conditions d'utilisation soumises au règlement de la salle de lecture.

Description physique :

Importance matérielle :
10,2 ml répartis dans 34 cartons de type Dimab (132 articles).

Ressources complémentaires :

: Fonds conservés aux Archives nationales
19780017/1-228 Rectorat de Paris et services Interacadémiques ; Division d'Enseignements Supérieurs ; Division Financière des Enseignements Supérieurs ; Bureau Financement des Constructions
Marchés de construction : pièces comptables et contrats (1964-1974).
19780522/1-144 Éducation nationale ; Direction Équipement Scolaire, Universitaire et Sportif - Direction Équipement.
Constructions scolaires et universitaires : marchés, dossiers par établissement, correspondance administrative, courrier parlementaire, pièces comptables, dossiers présentés au concours "conception-construction" (1950-1970).
19780613/1-16 Éducation nationale ; Direction Équipement Scolaire, Universitaire et Sportif - Direction Équipement.
Constructions scolaires et universitaires : dossiers par établissement, correspondance, pièces comptables (1950-1970).
19780614/1-477 Éducation nationale ; Direction Équipement Scolaire, Universitaire et Sportif - Direction Équipement.
Constructions scolaires et universitaires : marchés, dossiers par établissement, correspondance administrative, courrier parlementaire, dossiers présentés au concours "conception-construction" (1950-1970).
19790796/1-306 Éducation nationale ; Direction Équipement Scolaire, Universitaire et Sportif - Direction Équipement.
Constructions scolaires et universitaires (établissements sportifs inclus) : dossiers par établissement, correspondance administrative, courrier parlementaire, procès-verbaux de la commission consultative des marchés et du conseil général des bâtiments de France, pièces comptables (1953-1970).
19920045/1-76 Rectorat de Paris et services Interacadémiques, Service Constructions des Académies de la Région d'Île-de-France.
Opérations immobilières : construction, grosses réparations ou aménagements d'établissements scolaires (second degré) ou universitaires (1960-1982).
20020521/1-2 Éducation nationale ; Services directement rattachés au Ministre de l'Éducation ; Cabinet de Jack Lang, ministre de l'éducation nationale de 2000 à 2002.
Dossiers de Christian Dupavillon, chargé de mission pour l'architecture. Représentations figurées des projets architecturaux du campus de Jussieu, du réaménagement de la zone d'aménagement concertée Paris-rive gauche et de l'aménagement de l'hôtel de Rochechouart (ministère de l'Éducation nationale) (2001).
20030410/ 56-175Gestion des bâtiments universitaires.
Bâtiments des facultés de Paris (lettres, sciences, droit, médecine, pharmacie) et de leurs annexes (1876-1974).
20030537/1-13 Éducation nationale ; Services directement rattachés au Ministre de l'Éducation ; Cabinet de Jack Lang, ministre de l'Éducation nationale de 2000 à 2002.
Dossiers de Quang-dang Tran, conseiller technique chargé de la gestion et de la rénovation des locaux de l'Éducation nationale, et notamment du site de Jussieu.
Discours ; projet de loi de modernisation sociale ; décentralisation : schémas de services collectifs ; aménagement du territoire ; réglementation ; parc immobilier du ministère de l'Éducation nationale : gestion, sécurité, amiante ; logements étudiants ; corse (1987-2002).
20060126/1-10 Rectorat de Paris et services Interacadémiques, Service inter- académique des examens et concours.
Dossiers de marchés d'opérations immobilières relatives à l'enseignement supérieur (1972-1982).
20070282/1-35 Éducation nationale ; Direction de la programmation et du développement ; Sous-direction des constructions et du développement régional ; Bureau de l'aménagement du territoire et des relations avec les collectivité territoriales
Aménagement du territoire et implantations universitaires (1986-2001).
20080252/1-2 Éducation nationale ; services directement rattachés au ministre de l'éducation ; cabinet de Gilles de Robien, ministre de l'Éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche de 2005 à2007. Dossiers de Bénédicte Durand, conseillère technique chargée de l'enseignement supérieur.
Intégration des instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) dans les universités.
Rénovation et désamiantage du campus de Jussieu (2004-2006).
Fonds conservés aux Archives de Paris :
Un document de format et de support particulier a été extrait des dossiers du versement 20140072 et a fait l'objet d'un versement à part :
  • 20140073 pour le document hors format : une maquette du campus de format 119,5 cm X 73,5 cm X 20,5 cm.
Le lien avec son dossier d'origine est préservé grâce à une note précisant le numéro d'article auquel le document se rattache.

Références bibliographiques :

CHERRUET Sébastien, , université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2011, mémoire de Master 2 sous la direction de MASSU Claude. La création architecturale à l'épreuve de la technique : l'œuvre d'Édouard Albert
COLLECTIF EN COEDITION AVEC LA CITE INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE DE PARIS, Réhabiliter les édifices métalliques emblématiques du XXe siècle, l'œil d'or, 2008.
COUR DES COMPTES , , La Documentation française, Paris, 2011. Le campus de Jussieu : les dérives d'une réhabilitation mal conduite
DELORME Franck, « Le premiers bâtiments de la faculté des sciences de Jussieu, 1956-1960. Une architecture universitaire méconnue dans le paysage des berges de la Seine », publication des actes à paraître en 2015. Colloque de l'université de Paris aux universités franciliennes,
FOSSIER Gaby, AZZOLA Olivier, , Paris, 2007. Université Paris Diderot-Paris VII, fondation-refondation, 1963-2007
HOTTIN Christian « Jussieu, l'inachevée... cinquante ans de projets pour la "faculté des sciences de Paris-Centre". » n°13, 2007. Livraison d'histoire de l'architecture,
MARREY Bernard, , Paris, Éditions du Centre Pompidou, 1998. Édouard Albert
OBOUSSIER Dominique, , université Paris I Panthéon-Sorbonne, 1982, thèse de 3ème cycle, sous la direction de LE BOT Marc. Le centre universitaire Jussieu, place Jussieu Paris : étude architecturale et urbanistique ou la recherche de l'architecture de la faculté des Sciences de la Monarchie de Juillet à nos jours
PERIPHERIQUES, Paris, Birkhäuser , 2007. Jussieu atrium,
PILORGET Corinne, , université Paris 5 René Descartes, 2003, thèse sous la direction de Marcel Goldberg. Évaluation de l'exposition à l'amiante dans l'étude épidémiologique des personnels du campus de Jussieu : réalisation d'une matrice Lieux-Emplois-Exposition
ROCHE Annette, « Le 1 %, de la faculté des sciences de Paris à l'université Pierre et Marie Curie : inventaire, restauration, valorisation d'un patrimoine artistique méconnu », n°17, 2011. In Situ Revue des Patrimoines,
SCHNEYDER Philippe, LE CHEVALIER Jean, MARREY Bernard, Paris, Sens et Tonka, 1993. Campus universitaire de Jussieu : naissance d'une grande bibliothèque,

Localisation physique :

Pierrefitte-sur-Seine

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives nationales

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAN_IR_053847

Archives nationales

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